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Central Europe

Bódis László: vállalati innovációs pályázatok indulnak 182 milliárd forint értékben a GINOP Pluszban

EU Pályázati Portál - Fri, 09/05/2025 - 11:40
Budapest, 2025. szeptember 5. - A következő napokban két vállalati innovációs pályázat indul, összesen 182 milliárd forint értékben a GINOP Pluszban - mondta a Kulturális és Innovációs Minisztérium (KIM) innovációért felelős helyettes államtitkára pénteken sajtótájékoztatón Budapesten.

L'UP-R et le BR désignent Romuald Wadagni pour succéder à Patrice Talon

24 Heures au Bénin - Sun, 08/31/2025 - 05:07

Romuald Wadagni sera le candidat de la mouvance présidentielle à la prochaine élection d'avril 2026. L'actuel ministre d'État chargé de l'Économie et des Finances a été désigné à l'issue d'un conclave tenu ces derniers jours par les partis de la majorité, l'Union Progressiste pour le Renouveau (UPR) et le Bloc Républicain (BR).

Le choix de la coalition au pouvoir, validé par le président Patrice Talon, met fin aux spéculations qui entouraient sa succession. Romuald Wadagni apparaît ainsi comme le profil retenu pour incarner la continuité des réformes engagées depuis 2016, tout en apportant l'image d'une relève générationnelle.

Selon les acteurs de la majorité, cette désignation traduit la volonté de concilier jeunesse, compétence et expérience gouvernementale. Ministre des Finances depuis 2016, Romuald Wadagni s'est imposé comme l'un des piliers de la politique économique du régime de la Rupture.

Si ce choix venait à être confirmé par les urnes, il constituerait une première dans l'histoire du renouveau démocratique béninois : pour la première fois, un candidat officiellement investi par une coalition politique accéderait à la magistrature suprême.

Judicaël ZOHOUN

Categories: Afrique, Central Europe

Rentrée scolaire 2025-2026 et échéances électorales de 2026

24 Heures au Bénin - Sun, 08/31/2025 - 03:17

« Pour un programme politique porté par une vision de stabilité et de continuité constructive du système éducatif béninois »

Le 15 septembre, comme à chaque année, de milliers d'élèves et d'enseignants reprendront le chemin des classes. Occasion de nous rappeler que l'éducation nationale est un projet de souveraineté, un tremplin par excellence au travers duquel chaque citoyen réalise l'importance de bâtir ensemble l'avenir de notre pays.

Occasion toute aussi belle de réfléchir à notre système éducatif, miroir de notre société, révélateur des forces et des fragilités de notre vision de l'avenir national, de celui du Bénin.

Occasion ultime de souligner que le Bénin a fait de l'école, l'un des piliers de sa construction :

Des investissements significatifs

En 2023, 19,04% des dépenses publiques étaient dédiées au secteur éducatif, bien au-dessus de la moyenne mondiale de 13,95% (voir The GlobalEconomy). Entre 2016 et 2021, le taux de couverture électrique est passé de 20% à 35% dans les écoles primaires. Ce taux est de 78% pour les écoles secondaires en 2021 (Voir Fonds Monétaire International).

Des progrès notables dans l'accès à l'éducation

En 2022, le taux net de scolarisation au primaire est de 90,39% (Voir UNESCO). Quant à lui, le taux d'inscription au secondaire a progressé en passant d'environ 59% en 2000 en 77% en 2023 (Voir Banque Mondiale). Le nombre d'enseignants formés dans les écoles primaires est passé de 70 % à 75 % entre 2016 et 2021 et a doublé pour les enseignants du premier cycle du secondaire, passant de 18 % à 36 % (Voir Fonds Monétaire International). Le ratio élèves/enseignant qualifié dans les écoles primaires a considérablement diminué, passant de près de 60 élèves par enseignant qualifié en 2016 à environ 49 élèves par enseignant qualifié en 2021 (Voir Fonds Monétaire International). Par ailleurs, grâce à un programme financé par le Global Partnership for Education (GPE) et la Banque mondiale (2020-2023), le Bénin a formé plus de 46 000 enseignants pour améliorer les capacités des élèves en lecture et en mathématiques en début de primaire (Voir Global Partnership for Education).

Des améliorations conséquentes dans l'apprentissage

Par exemple, en 2014, seulement 10 % des élèves du cours préparatoire (CP) avaient dépassé le niveau minimal de compétence en lecture, mais en 2019, cette proportion était passée à 38 % (Voir PASEC 2019). En mathématiques, 34 % de ces élèves avaient un niveau de compétences supérieur au niveau minimal en 2014, comparativement à 62 % en 2019 (Voir PASEC 2019). Le taux de passage au primaire est passé de 68% en 2017 à environ 78% en 2023 (Voir Global Partnership for Education).
Ces progrès en appellent à redoubler d'efforts pour maintenir le cap de la transformation du système éducatif béninois. Nul ne se voilerait la face sur les immenses défis qui persistent en termes d'effectifs dans les classes, d'infrastructures, de personnel enseignant qualifié, d'inadéquation entre les programmes de formation et les besoins réels de l'économie et de la société béninoises, de disparités régionales, etc.

Des défis qui nous invitent à des réflexions profondes et méthodiques pour repenser notre système éducatif.

Car l'éducation est bien plus qu'un service public : elle est une question de souveraineté nationale. Elle est une cause nationale qui nous concerne tous, sans distinction de région, de condition sociale ou de parti politique.

Former des citoyens éclairés, créatifs, et capables de répondre aux enjeux du XXIe siècle, voilà le vrai projet politique pour les prochaines années.

Offrir aux enfants de ce pays une éducation de qualité, c'est poser les bases d'une société béninoise plus juste, plus prospère et plus unie.

Le Bénin a déjà montré sa capacité à relever de grands défis, à les transformer en opportunités. La volonté politique est là, les programmes montrent leur efficacité, et les résultats sont tangibles.

Il nous appartient de poursuivre les efforts collectifs pour bâtir une école béninoise plus inclusive, plus adaptée aux besoins de notre temps et plus ouverte sur le monde. Une école béninoise, véritable levier d'émancipation et de transformation sociale.

Poursuivre notre engagement collectif en termes :

• d'investissement dans les infrastructures scolaires, pour offrir à chaque enfant un cadre d'apprentissage digne. Nous devons augmenter les dépenses dans le secteur de l'éducation à 7% du Produit Intérieur Brut (PIB) d'ici 2030 pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) en mutualisant ressources publiques et privées.

• de valorisation des enseignants sur les plans de la formation et de la qualification, de la rémunération etc., car il n'y a pas d'école de qualité sans des enseignants bien formés et motivés. Nous devons continuer à former et soutenir les enseignants, en investissant davantage dans les instituts de formation, en les accompagnant avec des outils et évaluations régulières.

• de modernisation des programmes pour les adapter aux réalités et aux défis du pays : emploi, numérique, démocratie, aménagement du territoire, développement humain durable, etc. Nous devons accentuer la mise en œuvre de programmes de pédagogie structurée et le maillage formation-métier en fédérant tous les acteurs (États, collectivités, secteur privé, partenaires internationaux, société civile).

• d'égalité des chances et d'équité pour que chaque enfant de ce pays puisse avoir accès à une éducation de qualité. Nous devrons réduire les écarts, en ciblant davantage les filles et les zones rurales en renforçant les programmes de bourses, de cantines scolaires, d'infrastructures socio-sanitaires.

Ainsi, le 15 septembre, lorsque les cloches de la rentrée retentiront, rappelons-nous qu'elles ne sonnent pas seulement pour marquer le début d'une année scolaire. Elles résonnent comme un appel à la responsabilité collective : celle de donner à nos enfants les clés de leur avenir et de celui du Bénin.

L'école béninoise est un trésor collectif. Elle est le lieu où se forgent la curiosité, le savoir, les valeurs citoyennes qui font vivre notre démocratie. Chaque enfant qu'elle forme et accompagne vers la connaissance constitue une pierre posée dans l'édifice de notre avenir national.

En ce sens, en cette veille des échéances électorales de 2026, cette rentrée du 15 septembre doit marquer un nouveau tournant dans notre engagement à bâtir une école performante et inclusive.

Elle doit être le début et le symbole de notre adhésion à un programme politique d'une école béninoise au service de l'ambition d'un Bénin uni et prospère.

Un programme politique porté par la stabilité du système éducatif, inscrivant son action dans une continuité constructive, fondée sur des objectifs partagés.

Un programme politique ancré dans des réformes éducatives de long terme, offrant le temps au monde de l'éducation de les discuter, de les approprier et de les assimiler.

Un programme politique fondé sur la concertation avec les acteurs autour des questions de revalorisation du métier d'enseignant (avec une politique claire et durable de rémunération et d'évolution de carrière), de gestion des effectifs et des infrastructures (avec une meilleure planification et un dialogue étroit avec les communautés locales).

Un programme politique mettant l'école béninoise au service des défis du 21e siècle : valorisation des compétences psychosociales (en préparant les élèves à coopérer, s'adapter aux changements et à développer leur esprit critique), intégration du numérique et de l'intelligence artificielle (en développant une stratégie numérique ambitieuse au service de l'éducation et de la réduction des inégalités).

Seule trajectoire à notre sens pour faire de l'écol béninoise, un espace d'apprentissage, d'espérance et de progrès partagé.

Dr Chedrak Chembessi

Professeur des Universités

Co-fondateur du Collectif AGORA 229

Categories: Afrique, Central Europe

Ahouanwanou renonce aux Mondiaux d'athlétisme au Japon ‎

24 Heures au Bénin - Sun, 08/31/2025 - 00:47

Odile Ahouanwanou ne participera pas aux 20ᵉ championnats du monde d'athlétisme, prévus du 13 au 21 septembre à Tokyo.

‎Qualifiée grâce à son titre de championne d'Afrique aux 20ᵉ championnats du monde d'athlétisme, prévus du 13 au 21 septembre au Japon, Odile Ahouanwanou ne participera pas à la compétition.

‎L'athlète a expliqué, vendredi 29 août, qu'elle n'était « pas prête physiquement » pour représenter le Bénin. « Je continue mes efforts », a-t-elle écrit sur Facebook, remerciant ses soutiens.

‎Plus de 2 000 athlètes de près de 200 pays sont attendus au Japan National Stadium. Au programme : 49 épreuves, dans la plus grande compétition d'athlétisme après les Jeux olympiques.

Le 26 août dernier, l'athlète s'est engagée en politique. Elle a annoncé son adhésion au Mouvement des Élites engagées pour l'émancipation du Bénin (Moele-Bénin).

‎M. M.

Categories: Afrique, Central Europe

Le Manifeste 2025 lancé au Maroc le 4 septembre

24 Heures au Bénin - Sun, 08/31/2025 - 00:45

African Global Health et Diplomatic Courier organisent, les 4 et 5 septembre 2025, un symposium de haut niveau à l'Hôtel Four Seasons de Casablanca (Maroc). Un nouveau Manifeste sera lancé au cours de cette rencontre qui va réunir des leaders africains et internationaux pour explorer l'innovation en matière de gouvernance et la coopération Sud–Sud.

La rencontre qui se déroule à casablanca, les 4 et 5 septembre, va explorer l'approche émergente de l'Afrique en matière de gouvernance par la réduction des risques, un modèle pragmatique fondé sur la solidarité, l'inclusivité et la résilience.

L'événement qui se déroule sous la houlette de Maroc Newspaper, marquera le lancement officiel de « Harm Reduction – The Manifesto 2025 », un nouvel ouvrage aux éditions ORION qui marque la voix de l'Afrique et du global South créant des ponts de travail en connexion avec le monde. Cet ouvrage amplifie les voix d'experts africains et internationaux appelant à des systèmes de gouvernance plus justes, plus efficaces et fondés sur des données probantes.

Dans un contexte de crises mondiales qui se chevauchent — du changement climatique aux urgences sanitaires en passant par les migrations massives — l'Afrique propose un modèle tourné vers l'avenir, ancré dans les principes de la réduction des risques.

Initialement née dans le champ de la santé publique, cette approche est aujourd'hui réinventée pour orienter les politiques, les institutions et la coopération internationale.

Le symposium réunira des responsables gouvernementaux, des leaders de la santé publique, des diplomates et des acteurs du changement afin d'examiner comment ce prisme de gouvernance peut inspirer de nouvelles formes de coopération Sud–Sud et des systèmes publics plus résilients.

Le symposium va aborder plusieurs thèmes dont Le financement innovant et les alliances pragmatiques ; La diplomatie culturelle et les partenariats internationaux ; et Des solutions de gouvernance face aux défis mondiaux.

« L'Afrique ne se contente pas de réagir aux crises ; elle propose un modèle capable d'inspirer le monde. La réduction des risques appliquée à la gouvernance est notre réponse concrète aux défis d'aujourd'hui et de demain », a déclaré Dr. Imane Kendili, Présidente d'African Global Health et hôte de la rencontre.

« Nous parlons souvent de réinventer les systèmes, mais ce manifeste fait plus qu'imaginer : il trace un cadre audacieux et concret qui place la dignité humaine et la coopération au centre de la gouvernance », a déclaré Ana C. Rold, Fondatrice et PDG de Diplomatic Courier et co-organisatrice de l'événement.

Le symposium est organisé par AGH et Diplomatic Courier.
African Global Health (AGH) est une organisation non gouvernementale basée au Maroc qui promeut les pratiques de réduction des risques, la gouvernance inclusive et la coopération Sud–Sud à travers l'Afrique.
Diplomatic Courier est une organisation médiatique mondiale spécialisée dans les affaires internationales et une plateforme de rencontres mettant en lumière l'innovation, la diplomatie et les solutions aux défis les plus pressants du monde.

Categories: Afrique, Central Europe

Frontière Gibraltar-Espagne : « le dernier mur d’Europe occidentale » disparaîtra en 2026

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 16:46

Les contrôles le long de la frontière de 1,2 km qui sépare l’Espagne et Gibraltar devraient cesser en janvier 2026 pour les 15 000 travailleurs frontaliers qui la traversent chaque jour depuis l’Espagne, rapporte le quotidien espagnol El País.

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L’Ocean Viking visé par des tirs des garde-côtes libyens

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 15:57

Dimanche 24 août, des centaines de coups de feu ont été tirés depuis un bateau des garde-côtes libyens en direction de l’Ocean Viking, un navire de l’ONG SOS Méditerrannée, dans les eaux internationales. Aucun mort ou blessé n’est à déplorer, mais le navire a été lourdement endommagé.

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Où se tiendrait un éventuel sommet Poutine-Zelensky ?

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 14:58

Plusieurs villes dans le monde sont citées comme lieux possibles pour une éventuelle rencontre entre Donald Trump, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. Mais des obstacles de taille, notamment le mandat d’arrêt international lancé contre le président russe, compliquent la situation.

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La mort en direct du streameur Jean Pormanove révèle les failles du DSA 

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 14:02

Jusqu’à la semaine dernière, la plateforme Kick n’avait pas désigné de représentant légal dans l’UE — une obligation essentielle dans le cadre du règlement européen sur les services numériques (Digital Services Act, DSA) destinée à mieux faire appliquer la loi aux entités basées en dehors de l’Union.

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« Un choix délibéré » qui a permis d’éviter une guerre commerciale : Ursula von der Leyen défend son accord avec Donald Trump

Euractiv.fr - Mon, 08/25/2025 - 09:55

La présidente de la Commission européenne a défendu l’accord conclu avec Donald Trump, estimant qu’il s’agit d’une décision « délibérée » qui a permis d’éviter une guerre commerciale totale entre l’UE et les États-Unis.

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Wetterindexversicherungen als Instrument der Förderung sozial-ökologischer Resilienz gegenüber dem Klimawandel

Ländliche Gemeinschaften sind besonders anfällig für Wetterschwankungen und die Zerstörung von Ökosystemen. Bisher haben sich Landwirt*innen entweder allein oder gemeinschaftlich durch verschiedene Risikomanagement-Strategien an Klimaschwankungen und Wetterextreme angepasst. Der Klimawandel verstärkt jedoch die Häufigkeit und Intensität extremer Wetterereignisse und verschärft die Umweltzerstörung.
Als Ergänzung zu konventionellen Risikomanagementstrategien werden nun marktbasierte Risikotransferinstrumente entwickelt, um ländliche Haushalte vor den erhöhten Klimarisiken zu schützen. Lösungen zum Risikotransfer spielen eine zentrale Rolle in der globalen Klima- und Entwicklungsagenda. Internationale und regionale Initiativen wie die InsuResilience Global Partnership unterstützen gefährdete Entwicklungsländer dabei, ihre finanzielle Absicherung durch Klimarisiko-Finanzierung und -Versicherungen zu erhöhen. Dazu zählen auch innovative Systeme auf Mikroebene wie Wetterindexversicherungen.
Seit rund zehn Jahren sind indexbasierte Wetterversicherungen zentraler Bestandteil der Debatte zu Klimaresilienz. Solche Systeme entschädigen die Versicherten auf Grundlage eines vordefinierten Wetterindexes und nicht wie bei traditionellen Versicherungen auf Grundlage von Einzelschäden. Daher birgt dieses Instrument mehrere Vorteile. Es ist zum Beispiel zeit- und kosteneffektiv und hat ein geringeres subjektives Risiko.
Obwohl Wetterindexversicherungen deshalb vielversprechend sind, erweist sich die Ausgestaltung und Förderung in Entwicklungsländern oft als schwierig. Erstens mangelt es besonders den ärmsten ländlichen Gemeinschaften, die Klimarisiken ausgesetzt sind, am Zugang zu erschwinglichen Versicherungen. Zweitens tragen Anbieter von Versicherungen aufgrund der zunehmenden Häufigkeit und Schwere von Wetterextremen ein erhöhtes Risiko für größere Schäden, während Rückversicherungsleistungen oft fehlen. Und drittens wird den Umweltfolgen von Wetterindex-Mikroversicherungen in Forschung und Politik bislang wenig Aufmerksamkeit geschenkt. Dabei sind der Schutz der Umwelt und der Aufbau ökologischer Resilienz entscheidende politische Aspekte des Klimarisikomanagements in ländlichen Regionen, in denen die Armen überproportional von Ökosystemgütern und -leistungen abhängen, da es ihnen oft an alternativen Lebensgrundlagen fehlt.
Dieses Papier erörtert auf Grundlage der Ergebnisse einer Auswertung der vorliegenden Literatur zu Wetterindexversicherungen sowie von Feldforschungen die wichtigsten Herausforderungen für Mikroversicherungen. Es entwickelt Empfehlungen für die Entwicklungszusammenarbeit, Regierungen und Versicherungen zur Ausgestaltung verbesserter Klimarisikoversicherungen. Der Fokus liegt speziell auf Wetterindexversicherungen für die arme ländliche Bevölkerung auf Mikroebene. Es ist dringend nötig, das Wissen über die potenziellen positiven und negativen Umweltfolgen von Wetterversicherungen zu erweitern und verschiedenste Klimarisikomanagement-Strategien für die Armen zu entwickeln, einschließlich Mechanismen zur sozialen Sicherung.

Europa sollte die Zusammenarbeit mit dem Nahen Osten und Nordafrika stärker auf die Gesellschaftsverträge fokussieren

2021 ist ein wichtiges Jahr für die Zusammenarbeit Europas mit seinen Nachbarn im Nahen Osten und in Nordafrika (MENA). Die Corona-Pandemie zwang die Europäische Union (EU) bei der Erstellung ihres neuen Mehrjahreshaushalts, die politischen, wirtschaftlichen und sozialen Prioritäten ihrer Kooperation mit den MENA-Ländern sowie die ihrer Mitgliedstaaten zu überdenken. Ihr Potenzial, die Beziehungen zwischen Staat und Gesellschaft in den MENA-Ländern positiv zu beeinflussen, hat sie aber noch längst nicht ausgeschöpft. Die jüngste Mitteilung zur Europäischen Nachbarschaftspolitik (ENP) Süd vom Februar 2021 kündigt eine „neue Agenda“ für die Zusammenarbeit mit den MENA-Ländern an. Offensichtliche Zielkonflikte bleiben aber unausgesprochen, v.a. die Unvereinbarkeit des Strebens nach liberal-demokratischen und Wirtschaftsreformen, mehr Rechenschaftspflicht und der Achtung von Menschenrechten durch die MENA-Regierungen auf der einen Seite und einer restriktiven Handelspolitik der EU, Migrationssteuerung und sicherheitspolitischer Kooperation auf der anderen. Zudem mangelt es an bilateraler Koordination zwischen den EU-Mitgliedstaaten. Das Konzept des Gesellschaftsvertrags könnte helfen, diese Konflikte zu überwinden. Sie sind unvermeidlich, wenn inter-nationale Kooperation v.a. kurz- bis mittelfristige Ziele wie Migrationssteuerung, Resilienzförderung und Privatinvestitionen verfolgt. In autoritären Kontexten wird dadurch aber oft der Staat zu Lasten der Gesellschaft gestärkt, was zu Spannungen führt und nicht zur angestrebten Stabilität. Gesellschaftsverträge stärker zu beachten führt zu einer längerfristigen Perspektive. Sie beruhen auf der Erbringung von 3 „P“s durch den Staat: Protection (Schutz der Bürger), Provision (wirtschaftliche und soziale Dienstleistungen) und Participation (Teilhabe der Gesellschaft an Entscheidungen).
Das Konzept des Gesellschaftsvertrags kann Orientierung bei der gemeinsamen Ausrichtung und Organisation der Politik der EU und ihrer Mitgliedstaaten geben. Es verdeutlicht, wie die drei „P“s bei der Verbesserung des sozialen Zusammenhalts, der innerstaatlichen Beziehungen und der politischen Stabilität zusammenwirken. Dadurch hilft es, die Wirksamkeit, Kohärenz und Koordination der MENA-Politik der EU und ihrer Mitgliedstaaten zu verbessern. Einige Mitglieder fokussieren hierin auf Handel und Investitionen, andere auf politische Reformen und Menschenrechte und wieder andere auf Migrationssteuerung. Eine längerfristige Perspektive würde verdeutlichen, dass nachhaltigere Gesellschaftsverträge in den MENA-Ländern alle diesen Zielen dienlich sind. Alle Maßnahmen der Europäer sollten daher auf Reformen abzielen, die die Gesellschaftsverträge der MENA-Länder für alle Vertragsparteien, also Regierungen und gesellschaftliche Gruppen, akzeptabler machen. Im Idealfall werden solche Reformen von den Parteien auf Augenhöhe ausgehandelt. In der Praxis ist die Verhandlungsmacht der Gesellschaft aber oft begrenzt – weshalb europäische Politik die Gesellschaften stets mindestens so sehr stärken sollte wie die Regierungen. In diesem Papier werden vier Bereiche der Zusammenarbeit erörtert, die wirkungsvolle Treiber für Veränderungen in den Gesellschaftsverträgen darstellen: (i) Konfliktlösung, Friedenskonsolidierung und Wiederaufbau; (ii) Wiederaufbau nach der Corona-Pandemie: Gesundheit und soziale Absicherung; (iii) Partizipation auf lokaler, regionaler und nationaler Ebene; sowie (iv) Migration und Mobilität zum gegenseitigen Nutzen.

Demokratie schützen: Die Relevanz internationaler Demokratieförderung für Amtszeitbeschränkungen

Die Frage, ob und wie sich Demokratie durch internationale Unterstützung fördern und schützen lässt, hat jüngst an Relevanz gewonnen. Zum einen hat der Abzug der NATO-Truppen aus Afghanistan eine öffentliche Debatte über die Grenzen von Demokratieförderung neu entfacht. Zum anderen wächst der Bedarf an internationalem Demokratieschutz angesichts zunehmender Autokratisierungstrends weltweit. Forschungsergebnisse des DIE zeigen: Wirksame Unterstützung von Demokratie ist möglich. Dabei sind sowohl der Schutz von zentralen demokratischen Institutionen wie Amtszeitbeschränkungen von Machthabern als auch die Förderung von demokratischen Kräften, die sich Autokratisierungsversuchen proaktiv widersetzen, zentral.
Seit 2010 zeichnen sich Autokratisierungstrends dadurch aus, dass sie bereits erreichte Demokratisierungserfolge oft schleichend erodieren und Autokratien festigen. Umgehungen und Aufhebungen präsidentieller Amtszeitbeschränkungen durch amtierende Präsidenten gehören zum typischen „Autokratisierungsbaukasten“. Amtszeitverlängerungen schränken demokratische Kontrolle ein und weiten die präsidentielle Macht aus.
Demokratieförderung und -schutz spielen eine relevante Rolle für den Erhalt präsidentieller Amtszeitbeschränkungen und damit für den Schutz von Demokratie. Sie tragen dazu bei, „Überlebenschancen“ von Amtszeitbeschränkungen zu verbessern. Je mehr internationale Demokratieförderung bereitgestellt wird, desto geringer das Risiko, dass Amtszeitbeschränkungen umgangen werden. Eine DIE-Analyse ergab z. B., dass eine moderat hohe Demokratieförderung von durchschnittlich US$ 2,50 pro Kopf über vier Jahre hinweg das Risiko der Umgehung einer präsidentiellen Amtszeitbeschränkung im Schnitt halbiert.
Basierend auf einer quantitativen Analyse und Fallstudien ergeben sich die folgenden Empfehlungen für internationale Demokratieförderer:
• Demokratieförderung und -schutz komplementär einsetzen. Einerseits gilt es, Demokratie stetig zu fördern, da die Organisations- und Oppositionsfähigkeit politischer und zivilgesellschaftlicher Akteure nur langfristig aufgebaut werden können. Anderseits müssen Demokratieschützer in politischen Krisen auch mit Ad-hoc-Maßnahmen und diplomatischen Mitteln kurzfristig reagieren.
• Demokratieförderung ist eine Risikoinvestition, die sich lohnt. Ob es gelingt, Demokratie langfristig zu fördern und vor Autokratisierung zu schützen, hängt vor allem von heimischen Kräften und Institutionen ab. Auch für sie sind politische Krisen ergebnisoffen. Während Untätigkeit Autokraten eher in die Hände spielt, birgt kontextsensibles Engagement immerhin die Möglichkeit, einen Beitrag zum Erhalt von Demokratie zu leisten.
• Demokratieschutz durch regionale Organisationen stärken. Regionalorganisationen wie die ECOWAS oder AU bieten regionalpolitische Strukturen, die helfen können, deeskalierend zu wirken und glaubwürdige Verpflichtungen vonseiten der Amtsinhaber zu gewährleisten. Internationale Geber könnten sich daher in demokratiekritischen Situationen mit Regionalorganisationen wirksam abstimmen.

Prioritäten für eine entwicklungsfreundliche Ausgestaltung des CO2-Grenzausgleichsmechanismus der EU

Am 14. Juli 2021 hat die EU-Kommission den CO2-Grenzausgleichsmechanismus (Carbon Border Adjustment Mechanism, CBAM) als Teil ihres klimapolitischen Fit-for-55-Pakets vorgestellt. Die EU-Kommission hatte dieses handelspolitische Instrument 2019 im Rahmen des Green Deals angekündigt, um ambitioniertere klimapolitische Ziele umsetzen zu können, ohne dass energieintensive Sektoren ihre Emissionen ins Ausland verlagern (Carbon Leakage). Die CBAM-Vorlage sieht vor, Einfuhren in bestimmten energieintensiven EU-Sektoren mit einer zum CO2-Gehalt proportionalen Abgabe zu belasten: Der CBAM-Entwurf erweitert das bestehende EU-Emissionshandelssystem dahingehend, dass Importeure für im Ausland erworbene Güter aus besonders energieintensiven Sektoren (Stahl, Zement, Strom, Dünger und Aluminium) zum Kauf von CO2-Zertifikaten auf Basis von Emissionsdaten aus dem Ausland verpflichtet werden. Der CBAM soll vor allem eine ambitionierte Klimapolitik der EU befördern. Doch die aktuelle EU-Vorlage erweckt den Eindruck, dass es in erster Linie um die Verbesserung der heimischen Wettbewerbsfähigkeit geht – auf Kosten klimapolitischer Effektivität und auch auf Kosten einer entwicklungspolitischen Perspektive.
Die Gesetzesvorlage muss nun im Detail durch die EU-Mitgliedstaaten und das Europäische Parlament ausbuchstabiert werden. Dabei müssen neben der klimapolitischen Effektivität und der Vereinbarkeit mit WTO-Recht die Auswirkungen auf die europäischen Handelspartner und insbesondere auch die armen Entwicklungsländer berücksichtigt werden. Für viele Entwicklungsländer sind infolge des CBAM zusätzliche Exportkosten zu erwarten. Die EU sollte die damit verbundenen Nachteile für Entwicklungsländer sorgfältig bewerten und auf eine entwicklungsfreundliche Ausgestaltung des CBAM hinwirken. Der CBAM sollte im weiteren Gesetzgebungsverfahren der EU entsprechend nachgebessert werden.
• Die EU muss sicherstellen, dass arme Länder nicht negativ vom CO2-Grenzausgleich belastet werden. Least
Developed Countries (LDCs) sollten vom CBAM ausgenommen bleiben.
• Die EU sollte die vom CBAM betroffenen Entwicklungsländer gezielt unterstützen, z. B. durch Kapazitätsaufbau in Bezug auf die Umsetzung des CBAM und Möglichkeiten der CO2-Minderung in den betroffenen Sektoren.
• Die EU sollte Partnerländer mit niedrigen und mittleren Einkommen bei der Dekarbonisierung ihrer Fertigungsindustrien unterstützen.
• Die EU sollte die Einnahmen des CO2-Grenzausgleichs im Sinne eines revenue recyclings überwiegend für klimapolitische Zwecke im Ausland verausgaben.
Bei der Weiterentwicklung des CBAM sollten die betroffenen Länder durch Konsultationen und diplomatischen Austausch zukünftig stärker eingebunden werden.

Kommunale Entwicklungspolitik in Deutschland: Stand und Perspektiven

Zunehmend und auf vielfältige Art und Weise zeigen deutsche Kommunen im In- und Ausland entwicklungspolitisches Engagement. Über die Hintergründe und Ausgestaltung ihres Engagements aber ist sehr wenig bekannt.
Vor diesem Hintergrund hat das Deutsche Institut für Entwicklungspolitik (DIE) eine Bestandsaufnahme der Kommunalen Entwicklungspolitik (KEpol) in Deutschland gemacht. Finanziert wurde sie von der Servicestelle Kommunen in der Einen Welt (SKEW). Auf Grundlage einer bereits 2009 vom DIE durchgeführten Studie (Fröhlich & Lämmlin, 2009) sollten Entwicklungstrends in diesem kommunalen Politikfeld ausgemacht werden. Zu diesem Zweck führte das DIE in Kooperation mit dem Deutschen Evaluierungsinstitut der Entwicklungszusammenarbeit (DEval) eine deutschlandweite Befragung von Kommunen durch, die auch vertiefende qualitative Interviews mit Vertreter*innen von Kommunen und relevanten Bundes- und Länderinstitutionen umfasste.
Wie die Ergebnisse zeigen, wächst in Deutschland die KEpol infolge verbesserter politischer Rahmenbedingungen und beeinflusst durch veränderte globale Leitbilder (z. B. Agenda 2030). Bei größeren Kommunen ist der Anteil entwicklungspolitisch aktiver Kommunen deutlich höher als bei kleineren. Häufig konzentrieren sich kleinere Kommunen auf niedrigschwellige Aktivitäten mit geringeren Anforderungen an das Projektmanagement wie z.B. die Förderung von fairem Handel.
In einigen Fällen organisieren sie sich in Verbundprojekten. KEpol umfasst ein breites thematisches Spektrum, das von der Informations- und Bildungsarbeit bis hin zu vielfältigen Partnerschaften mit Kommunen im Globalen Süden reicht. Bei den Kooperationen der kommunalen Verwaltungen nehmen die Zahl und die Vielfalt der Akteure sowie ihre Funktionen zu. Sie agieren als Umsetzende, Multiplikator*innen und Vernetzende. Dem internationalen Engagement und den entsprechenden Aktivitäten der Kommunen liegt nicht zuletzt ein Eigeninteresse zugrunde. Beispielsweise, um international Verantwortung zu übernehmen
oder um für neue Mitarbeitende attraktiv zu sein.
Entwicklungspolitik ist eine gemeinsame Aufgabe von Bund, Ländern und Kommunen. KEpol gehört dabei zu den freiwilligen kommunalen Tätigkeiten und wird daher nicht überall praktiziert. Oft sind personelle Kapazitäten unzureichend und benötigte Kenntnisse über die diversen Themenfelder komplex. Zum Teil schätzen Kommunen den mit dem KEpol-Projektmanagement verbundenen Aufwand als zu hoch ein.
Nichtsdestotrotz leisten Kommunen durch ihr Engagement einen zentralen Beitrag zur transnationalen Nachhaltigkeitspolitik. Sie ermöglichen es insbesondere, die globalen Ziele kontextspezifisch umzusetzen beziehungsweise sie zu lokalisieren. Als spezifischen Vorteil bietet KEpol die Nähe zu den Bürger*innen und den direkten Kontakt zu lokalen Akteuren im In- und Ausland. Zurzeit ist allerdings der kommunale Beitrag gemessen an den gängigen Maßzahlen und Indikatoren der Entwicklungszusammenarbeit (EZ) (etwa der Official Development Assistance, ODA) noch zu wenig erkennbar. Kommunen weiterhin und vor allem unbürokratisch zu unterstützen ist wichtig, damit KEpol in aktiven und bislang noch nicht aktiven Kommunen ihr volles Potenzial entfalten kann.

Das Engagement von EU und China in der humanitären Hilfe: Unterschiedliche Ansätze, gemeinsame Interessen?

Langanhaltende Krisen und das vermehrte Auftreten von Naturkatastrophen führen dazu, dass eine nie dagewesene Zahl von Menschen auf humanitäre Hilfe angewiesen ist. Doch die Kluft zwischen dem Bedarf und den verfügbaren Mitteln der internationalen Gemeinschaft wird immer größer. Um diese Ressourcenlücke zu schließen, will die Europäische Union (EU) verstärkt sogenannte „Emerging Donors“ wie China, dazu ermutigen, ihre Finanzbeiträge zu erhöhen. Obgleich Chinas Beteiligung im internationalen humanitären System bislang zurückhaltend war, deutet sein verstärktes Engagement während der Corona-Pandemie auf eine veränderte Haltung hin. So hat China Hunderte Tonnen an persönlicher Schutzausrüstung (PSA) ins Ausland geliefert, medizinische Teams entsandt und 100 Millionen USD an die Weltgesundheitsorganisation (WHO) und die Vereinten Nationen (UN) gespendet.
Trotz der zunehmenden geopolitischen Spannungen zwischen China und der EU eröffnet der verstärkte humanitäre Einsatz Pekings die Möglichkeit für die EU, sich gemeinsam mit China im humanitären Sektor zu engagieren. Dabei sollte die EU eine langfristige Strategie für eine mögliche Zusammenarbeit im humanitären Bereich entwickeln. Ein Dialog, der die unterschiedlichen Ansätze beider Akteure berücksichtigt und sich auf Gemeinsamkeiten fokussiert, könnte die Tür zu einer möglichen Zusammenarbeit öffnen. Diese könnte nicht nur dazu beitragen, die Finanzierungslücke zu verkleinern, sondern würde auch das Potenzial für eine bessere Koordinierung bei der Bereitstellung von Hilfsmaßnahmen bergen.
China begreift humanitäre Hilfe als einen Bestandteil der Entwicklungszusammenarbeit, leistet den Großteil seiner Hilfe bilateral und engagiert sich hauptsächlich nach Naturkatastrophen. Die EU hingegen trennt ihre humanitäre Hilfe von Entwicklungszusammenarbeit und leistet humanitäre Hilfsmaßnahmen über Nichtregierungsorganisationen (NGOs), UN-Agenturen und das Internationale Komitee vom Roten Kreuz (IKRK).
Diese Analyse und Stellungnahme arbeitet die Merkmale der chinesischen humanitären Hilfe heraus und skizziert zwei Bereiche, auf die sich die EU in ihrem Bemühen um einen Dialog mit China konzentrieren könnte.
• Ernährungssicherheit: Ernährungsfragen und die Unterstützung bei der Lebensmittelversorgung stellen einen Schlüsselbereich des Engagements beider Akteure dar. Die EU sollte sich dafür einsetzen, dass China seine Beiträge zur globalen Ernährungssicherheit über das Welternährungsprogramm (World Food Programme – WFP) aufstockt. Damit könnte ein politischer Dialog darüber einhergehen, wie sich die Zusammenarbeit bei der Gewährleistung der Ernährungssicherheit intensivieren ließe.
• Vorausschauende humanitäre Hilfe: China hat besonders beim Umgang mit Naturkatastrophen eine große Expertise aufgebaut. Eine verbesserte Katastrophenvorsorge ist eine der Prioritäten im Strategieplan der Generaldirektion Europäischer Katastrophenschutz und humanitäre Hilfe (DG ECHO) für 2020–2024. Da beide Parteien ein Interesse an vorausschauender humanitärer Hilfe haben, kann der Wissensaustausch in diesem Bereich ein Wegbereiter für eine zukünftige Zusammenarbeit sein.

COVID-19 und Naturschutz: Strategien zur Krisenbewältigung für Mensch und Natur

Die Corona-Pandemie ist eine weltweite Gesundheitskrise, die eng mit der globalen Biodiversitätskrise verwoben ist. Sie entstand durch einen zoonotischen Erreger, der von Wildtieren auf den Menschen übersprang. Viren können sich in gestörten Ökosystemen leicht ausbreiten, und mit zunehmendem Kontakt zwischen Menschen und Wildtieren wächst das Risiko einer Übertragung. Der Naturschutz kann entscheidend dazu beitragen, das Risiko weiterer Pandemien zu verringern; gleichzeitig wirkt sich die aktuelle Pandemie in vielerlei Hinsicht auf den Naturschutz aus. In dieser Analyse und Stellungnahme schlagen wir Strategien zur Minderung der negativen Auswirkungen der Pandemie auf den Naturschutz im Globalen Süden vor. Viele Zoonosen haben dort ihren Ursprung, und die Lebensgrundlagen sind stark von natürlichen Ressourcen abhängig. Das Paper erläutert die wirtschaftlichen Auswirkungen der Pandemie auf Naturschutzgebiete sowie die spezifischen Folgen für den Tourismus und den Wildtier-handel – zwei Sektoren, die eng mit solchen Schutzgebieten verbunden sind.
Mit dem pandemiebedingten wirtschaftlichen Abschwung geraten die natürlichen Ressourcen in vielen Ländern unter Druck: Für den Naturschutz vorgesehene Mittel werden in den Gesundheitssektor umgeleitet, Länder senken ihre Naturschutzstandards, um die Wirtschaft anzukurbeln, und die arme Bevölkerung in ländlichen Regionen greift zum Überleben auf geschützte natürliche Ressourcen zurück. Diese Trends beschleunigen den Verlust der biologischen Vielfalt und der Ökosystemleistungen, schaffen günstige Bedingungen für das Auftreten von Zoonosen und bedrohen die Lebensgrundlagen der Menschen.
Vor der Corona-Pandemie war der naturnahe Tourismus eine Multi-Milliarden-Dollar-Industrie. Der vorübergehende Einbruch des Tourismus hat positive wie auch negative Auswirkungen auf die nachhaltige Entwicklung. Nachteile erleiden einerseits viele Angestellte im Tourismussektor, die ihren Arbeitsplatz und ihre Lebensgrundlage verloren haben. Außerdem ist eine wichtige Finanzierungsquelle für das Management von Schutzgebieten weggefallen. Andererseits hat der vorübergehend rückläufige Tourismus der Natur Zeit gegeben, sich zu erholen, während der Rückgang des internationalen Flugverkehrs die globalen Kohlenstoffemissionen dieses Sektors gesenkt hat.
Der Wildtierhandel – ein wichtiger Faktor in der Verbreitung von Zoonose-Erregern – wurde infolge der Pandemie in einigen Ländern verboten. Doch soziale Schutzmaßnahmen für lokale Gemeinschaften, die von Proteinen aus Wildtieren abhängig sind, fehlen noch weitgehend.
Um diese Herausforderungen zu bewältigen, empfehlen wir, den Naturschutz weiterhin ganz oben auf die internationale Agenda zu setzen, insbesondere inmitten der aktuellen globalen Gesundheitskrise, die sich mit der fortschreitenden Zerstörung von Ökosystemen schnell wiederholen könnte. Umweltgesetze müssen aufrechterhalten und Finanzmittel zur nachhaltigen Sicherung von Lebensgrundlagen zur Verfügung gestellt werden. Die Wiederbelebung des naturnahen Tourismus sollte unterstützt werden, da er nicht nur finanzielle Mittel für den Naturschutz, sondern auch Einkommen für lokale Gemeinden generieren kann. Gleichzeitig sollte die Tourismusindustrie ihren ökologischen Fußabdruck weiter reduzieren. Die Eindämmung des Wildtierhandels muss so gestaltet sein, dass der Proteinbedarf von Gemeinschaften gedeckt bleibt.

Welche Verteilungsfragen ergeben sich aus der Klimapolitik? Aktuelle Erkenntnisse aus Entwicklungsländern

Um katastrophale Folgen für Mensch und Natur zu vermeiden, sind entschlossene Maßnahmen zur Eindämmung des Klimawandels erforderlich. Trotz dieser Dringlichkeit reichen die derzeit umgesetzten und geplanten Maßnahmen zur Bekämpfung des Klimawandels nicht aus, um die 2015 in Paris festgelegten globalen Ziele zu erreichen. Ein Grund für die derzeit unzureichende Umsetzung sind die wahrgenommenen negativen Verteilungseffekte. Durch die Verteuerung von Gütern können Klimaschutzmaßnahmen sowohl die Armut als auch die Ungleichheit steigern. Darüber hinaus können sie zu Störungen auf Arbeitsmärkten und mehr Arbeitslosigkeit führen, insbesondere in Sektoren und Gebieten, die von fossilen Brennstoffen abhängig sind. Infolgedessen haben öffentliche Proteste in vielen Ländern die Umsetzung der Klimapolitik bisher blockiert oder verzögert.
Neue Forschungsansätze, die in dieser Analyse und Stellungnahme erörtert werden, sorgen langsam für eine Trendwen-de. Erstens hat sich gezeigt, dass eine CO2-Bepreisung in Entwicklungsländern im Gegensatz zu den hochentwickelten Volkswirtschaften nicht regressiv wirken muss. In eine ähnlich positive Richtung gehen Studien, wonach das Erreichen der Klimaziele zu einem geringen Nettozuwachs an Arbeitsplätzen führen wird. Dennoch werden sowohl der Effekt der CO2-Bepreisung als auch die Auswirkungen der Klimapolitik auf Arbeitsmärkte Verlierer*innen hervorbringen: Preiser-höhungen würden die Armut verschärfen, da einkommensschwächere Haushalte mehr Geld für die gleichen Güter aus-geben müssten; ebenso werden bestimmte Länder, Sektoren, Gebiete und Arbeitnehmer*innen (z. B. Geringqualifizierte) von Arbeitsplatzverlusten oder -störungen betroffen sein.
Zweitens können Haushalte und Arbeitnehmer*innen, die von der Klimapolitik beeinträchtigt sind, im Rahmen von Maßnahmen zur sozialen Sicherung entschädigt werden, um negative Verteilungseffekte abzufedern. Höhere Preise können auch durch Geldtransfers an Haushalte kompensiert werden, die nur durch einen Teil der Einnahmen aus klima-politischen Maßnahmen wie einer Kohlenstoffsteuer finanziert werden können. Ähnlich verhält es sich mit Arbeits-markteffekten: Maßnahmen zur sozialen Absicherung, insbesondere arbeitsmarktpolitische Maßnahmen wie Umschu-lungen und Arbeitslosenunterstützung, können deutlich dazu beitragen, die Bedürfnisse der negativ betroffenen Arbeit-nehmer*innen zu erfüllen.
Es ist klar, dass ökologische und soziale Ziele sich nicht gegenseitig ausschließen müssen. Mit einem geeigneten
Policy-Mix lassen sich sowohl Armut als auch Umweltzerstörung reduzieren. Diese politischen Auswirkungen müssen allerdings breiter kommuniziert werden, um die Akzeptanz von Klimapolitiken zu erhöhen. Dies wird teilweise bereits durch aktuelle Pläne wie den europäischen Green Deal erreicht. Aus Sicht der Forschung und Politik sind mehr Studien in Entwicklungsländern erforderlich, die auch Erkenntnisse über nicht-marktbezogene klimapolitische Maßnahmen her-vorbringen und über den kurzfristigen Effekt höherer Preise auf die Kaufkraft der Haushalte hinausgehen. Nicht zuletzt kann die internationale Zusammenarbeit eine wichtige Rolle bei der politischen Koordinierung, der Finanzierung und dem Aufbau von sozialen Sicherungssystemen in Ländern mit niedrigem Einkommen spielen.

Lösung komplexer Wasserprobleme durch Koordination jenseits des Staates – Erkenntnisse aus Südafrika

Diese Veröffentlichung stellt eine von sechs Analysen sektorenübergreifender Herausforderungen für Wasser-Governance dar, die als Teil des STEER-Forschungsprojekts durchgeführt wurden und deren Resultate in separaten Analysen und Stellungnahmen vorliegen.
Südafrikas Wassergesetzgebung ist international anerkannt für ihre ambitionierte Umsetzung des integrierten Wasserressourcenmanagements (IWRM). IWRM ist ein Konzept, das entwickelt wurde, um komplexe Herausforderungen im Bereich Wasser anzugehen, indem es die Beziehungen zwischen Land und Wasser berücksichtigt und den Wissensstand für andere Wasser nutzende Sektoren und Akteur*innen erweitert. Die Beteiligung von und Koordination zwischen Interessensvertreter*innen, Schlüsselaspekte des IWRM, stehen im Gegensatz zu einem hierarchischen Führungsstil, wie er von den meisten Regierungen praktiziert wird. Wir sehen drei Herausforderungen bei der Umsetzung von IWRM in Südafrika: Erstens, ein duales Governance-System: Die Landschaft der für das Einzugsgebietsmanagement relevanten südafrikanischen Organisationen besteht aus Organisationen des westlichen Governance- und des traditionellen Governance-Systems. Das westliche Governance-System umfasst Organisationen wie das Department of Water and Sanitation (DWS), das mit der Bewirtschaftung der Wasserressourcen beauftragt ist, und das Department of Cooperative Governance and Traditional Affairs, das sich mit der traditionellen Führung in verschiedenen Fragen einschließlich des Landmanagements abstimmt. Gegenwärtig arbeiten diese Organisationen in Land-Wasser-Fragen nicht im erforderlichen Maße zusammen. Zweitens, eine mangelnde Umsetzung der Wassergesetzgebung: Das südafrikanische Wassergesetz von 1998 sieht Behörden für Einzugsgebietsmanagement (Catchment Management Agencies, CMAs) als Netzwerk-Governance-Strukturen vor, die die Einzugsgebiete auf lokaler Ebene bewirtschaften und alle Wassernutzer*innen einbeziehen sollen. Doch nach über 20 Jahren sind diese Strukturen nicht umgesetzt worden. Dies ist auf einen Konflikt von Governance-Stilen zwischen den Stakeholder integrierenden CMAs und dem expertengesteuerten, hierarchischen DWS zurückzuführen. Drittens, Konflikt zwischen Governance-Stilen: In Ermangelung einer CMA haben sich im uMngeni-Einzugsgebiet mehrere informelle oder nicht gesetzlich verankerte Netzwerk-Governance-Strukturen entwickelt (z.B. Foren für Einzugsgebietsmanagement und die uMngeni Ecological Infrastructure Partnership). In einigen Fällen befinden sich Repräsentant*innen dieser Strukturen und Regierungsvertreter*innen im Konflikt über unterschiedliche Ansätze des Wissensmanagements und der Entscheidungsfindung; diese Unterschiede wurzeln in ihrem jeweiligen Governance-Stil. In den vergangenen Jahren hat das DWS einen Prozess zur Erarbeitung der formal notwendigen Strategie des Einzugsgebietsmanagements eingeleitet, der von den Stakeholdern verlangt, sich zu beteiligen und ihre Bedürfnisse zu formulieren. Dieser Prozess könnte zu einem vermittelnden Instrument für Konflikte zwischen den Akteur*innen werden.
Wir machen folgende Vorschläge:
1. Um IWRM umzusetzen ist die Integration der traditionellen Führungsebene in Planungsprozesse auf kulturell sensible Weise von entscheidender Bedeutung.
2. Netzwerkstrukturen – von der Regierung gestaltet oder selbst organisiert – können das zur Umsetzung von IWRM erforderliche Sozialkapital auf lokaler und regionaler Ebene schaffen.
3. Um zwischen vorhandenem hierarchischen und Netzwerk-Governance-Wissen zu vermitteln, sollten Managementstrategien auf einem hybriden Governance-Stil beruhen.

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