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La Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) a enregistré, ce mardi 14 octobre 2025, la candidature d'un autre duo de candidats. Il s'agit de Prince Anatole Ouinsavi et sa colistière Bello Agathe.
Un deuxième duo de candidats à la CENA dans la course pour la Marina. Prince Anatole Ouinsavi et sa colistière Bello Agathe se sont rendus dans les locaux de la Commission ce mardi pour le dépôt de son dossier à l'élection présidentielle de 2026. Cette candidature fait suite à celle du ticket de la mouvance présidentielle, Romuald Wadagni et Mariam Chabi Talata, qui a rempli ses formalités lundi dernier à la CENA.
La clôture du dépôt des dossiers de candidature est fixée à ce mardi à minuit.
Dans les prochains jours, la liste définitive des candidats autorisés à concourir sera connue, offrant un premier aperçu des forces en lice pour la présidentielle de 2026.
Le candidat Prince Anatole Ouinsavi est connu comme président du mouvement Union nationale de la jeunesse béninoise. Il a publié en 2020 un livre intitulé : “Bilan glorieux d'un président hors du commun : en 4 ans de pouvoir, 40 ans d'avancées”.
Ce duo a surpris tout le monde par l'annonce de sa candidature à la présidentielle 2026.
A. A. A
Un accident de circulation a eu lieu dans la nuit du lundi 13 octobre 2025 à Bohicon devant l'école primaire publique de Zakpo.
Un accident entraîne un mort et plusieurs blessés dans la commune de Bohicon.
D'après les informations, un véhicule de marque Lexus, en provenance du carrefour Zakpo et se dirigeant vers celui de Mokas, aurait perdu le contrôle. Il heurte plusieurs usagers de la voie. Cette cette collision fait un mort et plusieurs blessés. Ces derniers ont été conduits d'urgence au centre hospitalier de référence de la ville.
Marina HOUENOU (Stag)
Le secteur de l’hydraulique en Algérie continue de se mobiliser pour renforcer la sécurité hydrique du pays. Le ministre de l’Hydraulique, Taha Derbal, a révélé […]
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Le duo candidat des forces politiques de la mouvance présidentielle a déposé son dossier de candidature dans l'après-midi du lundi 13 octobre 2025. Le dossier fourni par le candidat Romuald Wadagni et sa colistière, Mariam-Chabi Talata est au complet et contient 120 parrainages.
Lundi 13 octobre 2025, veille de la date de clôture, seul le duo Romuald Wadagni et Mariam Chabi Talata a déposé son dossier de candidature pour la présidentielle 2026. Le dossier de ce duo, selon un technicien de la CENA, est au complet et contient 120 parrainages sur les 186 délivrés par la Commission électorale nationale autonome (CENA).
Ayant satisfait auxexigences de l'institution en charge de l'organisation des élections au Bénin, les deux candidats ont reçu des mains de Saca Lafia, président de la CENA, le récépissé provisoire.
Des sources proches de l'institution, l'examen approfondi des dossiers de candidature démarre mercredi 15 octobre. Les pièces communes des dossiers seront envoyées à la Cour constitutionnelle, qui organisera la visite médicale des duos, entre le 15 et le 22 octobre. Ce n'est qu'après cette étape que l'étude de fond va être finalisée, et les récépissés définitifs délivrés aux duos ayant satisfait à toutes les exigences.
La liste définitive des candidats retenus selon les projections de la CENA, sera publiée le 31 octobre 2025.
F. A. A.
Le parti "Les Démocrates" a enfin désigné, dans la matinée du mardi 14 octobre 2025, son duo de candidats pour la présidentielle de 2026. À l'issue d'une session extraordinaire marquée par de fortes tensions internes, Me Renaud Agbodjo et Jude Bonaventure Lodjou ont été retenus pour représenter la principale formation de l'opposition à la prochaine élection présidentielle. Mais à quelques heures de la clôture du dépôt des candidatures à la CENA, le duo fait face à un obstacle de taille : il ne dispose pas du nombre de parrainages requis.
Tout est parti d'un coup de tonnerre survenu ce lundi 13 octobre, lorsque le député Michel Sodjinou, membre du groupe parlementaire "Les Démocrates", a par exploit d'huissier, sommé le président Boni Yayi à lui rendre son parrainage. Tous les 28 parrainages du parti "Les Démocrates'" avaient été retirés à la CENA et remis au président Boni Yayi.
Saisi, le tribunal a statué publiquement et de manière contradictoire, ordonnant la restitution immédiate du formulaire de parrainage au député Sodjinou, et ce, « nonobstant toute voie de recours ». Une décision qui a profondément bouleversé les calculs du parti à quelques heures de la clôture du dépôt des dossiers.
Une candidature qui divise
Selon plusieurs sources, la désignation de Me Renaud Agbodjo à la tête du ticket présidentiel serait à l'origine de la crise. Le député Sodjinou aurait clairement fixé des conditions pour accorder son parrainage. La non-satisfaction de ses conditions a conduit au retrait de son parrainage. Ce qui prive le duo Agbodjo–Lodjou du nombre minimal de signatures exigées par la loi pour valider sa candidature. Plusieurs cadres affirment que « rien n'a changé » depuis le jugement du tribunal. Pire, des sources concordantes indiquent que d'autres députés du parti envisagent à leur tour de retirer leurs parrainages, en soutien à Michel Sodjinou.
La CENA clôture le dépôt des candidatures ce mardi 14 octobre à minuit. À l'heure où chaque minute compte, le parti ‘'Les Démocrates'' tente encore de sauver les meubles. Mais le temps joue contre lui : sans parrainages suffisants, le duo Agbodjo–Lodjou risque de voir son rêve présidentiel s'arrêter avant même d'avoir commencé.
A.A.A
Le chef de la Cellule de communication et porte-parole du Président de l'Assemblée nationale, Vitali BOTON, a animé une communication sur « L'impact des réseaux sociaux sur nos vies privées, nos pratiques professionnelles et nos carrières dans la fonction publique parlementaire ». La séance s'est déroulée, lundi 13 octobre 2025, lors de la cérémonie des couleurs et vise vise à sensibiliser le personnel parlementaire, civil et militaire, sur les valeurs civiques et morales.
Sensibiliser la communauté parlementaire sur les opportunités et les risques liés à l'usage des réseaux sociaux d'une part, et montrer comment elle peut en tirer de grands profits sans compromettre sa vie privée, sa réputation et sa carrière d'autre part, c'est l'objectif d'une communication animée ce lundi 13 octobre 2025, par le chef de la Cellule de communication et porte-parole du Président de l'Assemblée nationale.
Au cours de la séance d'échanges avec le personnel parlementaire, civil et militaire, Vitali BOTON a souligné que les réseaux sociaux, notamment Facebook, WhatsApp, Instagram, TikTok, X (ancien Twitter), LinkedIn et autres, façonnent les comportements, influencent l'image et orientent, souvent à l'insu de l'agent, le cours de sa carrière et de ses responsabilités.
Ces réseaux sociaux selon le communicateur, relève de l'explosion des nouvelles technologies de l'information et de la communication dont il est difficile de s'en passer. « Ils rythment nos relations privées, structurent nos pratiques professionnelles et influencent jusqu'à nos carrières dans la fonction publique. Dans une institution aussi sensible que l'Assemblée nationale, la question est encore plus cruciale, car chaque agent devient, malgré lui, un ambassadeur de l'image du Parlement », a fait observer Vitali BOTON.
L'hyperconnexion aux réseaux et ses impacts sur la vie privée
Selon le porte-parole du président de l'Assemblée nationale, les réseaux sociaux ont profondément transformé la manière de communiquer, de partager et même d'exister publiquement. Une hyperconnexion qui soulève des interrogations majeures sur « la notion même de vie privée ». Laquelle renvoie d'après lui, à « cet espace personnel où chacun devrait pouvoir préserver son intimité, ses opinions, ses émotions et certaines informations qui ne regardent que lui ».
« Or, sur les réseaux sociaux, la frontière entre sphère publique et sphère privée devient de plus en plus floue : ce que l'on publie, commente ou partage peut facilement échapper à notre contrôle et être vu, interprété ou exploité par autrui », a-t-il indiqué avant d'évoquer quelques aspects positifs relatifs entre autres au maintien du contact avec la famille, les amis, les camarades de promotion, et l'accès facile à des groupes d'entraide et de solidarité. « Les réseaux sociaux peuvent également constituer un outil de mémoire et de valorisation des moments de vie, offrant un espace d'expression pour partager ses passions, ses réussites ou ses engagements », a souligné Vitali BOTON.
Au sujet des aspects négatifs, il a relevé les « risques d'exposition involontaire de données personnelles, la perte de contrôle sur les contenus partagés, la traçabilité et le profilage numérique, l'atteinte à la réputation, la pression sociale et psychologique, la confusion entre sphère publique et sphère privée, le risque de cyberharcèlement et d'usurpation d'identité ».
Réseaux sociaux et pratiques professionnelles
En plus d'être des outils de communication personnelle, les réseaux sociaux selon le porte-parole du Président de l'Assemblée nationale, sont devenus « des instruments puissants pour le travail et la diffusion de l'information ».
Dans la fonction publique parlementaire, a-t-il fait savoir, l'impact des réseaux sociaux est particulièrement visible et double car, offrant des opportunités uniques, mais aussi des risques.
Du point de vue des opportunités, les réseaux sociaux selon Vitali BOTON, constituent « un outil puissant de travail et de communication ». Il a évoqué à titre illustratif, les journalistes et communicateurs parlementaires qui, grâce aux réseaux X, LinkedIn et Facebook, peuvent diffuser rapidement des informations officielles, des communiqués, etc. Un simple tweet pouvant toucher des milliers de citoyens en quelques minutes.
Les archivistes et documentalistes selon ses explications, peuvent utiliser les réseaux sociaux pour créer une bibliothèque numérique, facilitant ainsi l'accès du public et des chercheurs. Il en est de même pour les juristes et légistes de l'Assemblée nationale pour qui les plateformes sociales peuvent constituer « un outil de veille, d'échange professionnel et de vulgarisation du droit », favorisant à la fois la transparence, la collaboration et le rayonnement du travail législatif.
A côté de ces opportunités, il y a des risques. Et ces risques sont liés à la fuite d'informations sensibles, aux conflits d'intérêts et la perte de crédibilité, la désinformation et les fake news.
Les défis dans l'administration parlementaire
L'un des défis majeurs qu'impose l'usage des réseaux sociaux dans la fonction publique parlementaire selon Vitali BOTON, réside dans la frontière, souvent floue, entre vie privée et vie professionnelle. A cet effet, il est recommandé à la communauté parlementaire, l'observance de la prudence, de la retenue et de la conscience du rôle qu'elle incarne en ligne.
A l'en croire, plus les responsabilités sont élevées, plus cette frontière devient difficile à tracer. « Une simple prise de position du Secrétaire général administratif, même émise sur un compte personnel, pourrait être immédiatement interprétée comme la position officielle de l'Assemblée nationale. De même, un commentaire du porte-parole du Président de l'Assemblée nationale sera spontanément associé à l'opinion du Président lui-même. Et une réflexion partagée par le Directeur des services législatifs pourrait être reliée, à tort ou à raison, à un texte de loi en examen ou à une orientation législative du moment ».
Autant d'exemples qui, pour lui, illustrent la responsabilité particulière qui pèse sur chaque fonctionnaire parlementaire. « Ses paroles, ses gestes et ses publications dépassent souvent le cadre de la sphère privée. Servir une institution d'une telle envergure impose de considérer que sur les réseaux sociaux, l'on ne s'exprime pas « totalement » en son nom propre.
L'usage des réseaux sociaux dans la fonction publique parlementaire requiert une vigilance accrue. « La fonction publique parlementaire n'est pas une administration comme les autres : elle implique des devoirs de réserve, de neutralité et de loyauté renforcés. Dans ce contexte, les agents doivent toujours garder à l'esprit que leurs actions, même en ligne et à titre personnel, peuvent avoir un impact sur la réputation de l'Assemblée nationale.
Entre vie professionnelle et vie privée, la frontière est souvent ténue », a-t-conseillé avant d'exhorter les agents à quelques recommandations. Il s'agit de
– préserver la confidentialité et la sécurité des données ;
– respecter le devoir de réserve et la neutralité politique ;
– séparer vie professionnelle et vie privée ;
– faire preuve de discrétion et de modestie ;
– éviter toute confusion entre opinion personnelle et position institutionnelle ;
– vérifier systématiquement la fiabilité des informations partagées ;
– protéger son image et celle de l'institution ;
– s'abstenir de toute publication polémique ou émotionnelle ;
– contribuer positivement à l'image du Parlement ;
– participer aux formations et respecter la charte d'utilisation interne.
F. A. A.
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