Les candidats au test de recrutement de 250 assistants en position de probatoire des universités publiques du Bénin ont affronté les épreuves écrites ce samedi 25 octobre 2025 au CEG Sainte Rita de Cotonou. Le top a été donné par la ministre du travail et de la fonction publique, Adidjatou Mathys, assistée de ses collègues en charge de l'enseignement supérieur et de la santé.
Le processus de recrutement de 250 assistants en positon de probatoire dans les universités publiques du Bénin est lancé samedi 25 octobre 2025.
Pour cette phase écrite, 1 070 candidats dont 218 femmes et une personne en situation de handicap ont affronté les différentes épreuves. Ces candidats proviennent de 9 grands domaines disciplinaires à savoir : les lettres, langues et arts ; les sciences agronomiques ; les sciences de l'éducation et de la formation ; les sciences de la santé ; les sciences de l'Homme et de la société ; les sciences économiques et de Gestion ; les sciences et technologies ; les sciences juridiques, politiques et administratives et STAPS (Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives).
Pour la ministre du travail et de la fonction publique, le processus de recrutement de ces assistants se fera en eux étapes. « Une épreuve écrite suivie d'un entretien oral, avec une note éliminatoire et une note plancher pour l'admission », a précisé Adidjatou Mathys. Cette réforme à l'en croire, vise à garantir la qualité de l'enseignement supérieur béninois et à valoriser le mérite académique.
Examinant l'effectif pléthore de jeunes docteurs dans les universités, le test de recrutement selon la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, reflète l'engagement de l'Exécutif béninois pour « un système universitaire crédible et performant ».
« Sur les 250 postes ouverts, environ un cinquième est réservé aux hospitalo-universitaires, soit une quarantaine de postes », a précisé le ministre de la santé. Selon Benjamin Hounkpatin, ces recrutements renforceront la qualité des soins, la formation et la recherche médicale au Bénin.
La ministre conseiller aux enseignements secondaire et supérieur et à la recherche scientifique, Sèdami Mèdégan Fagla était également au lancement officiel des épreuves.
F. A. A.
Ce dimanche, MTN Bénin a apporté son soutien à une marche de sensibilisation organisée dans le cadre d' Octobre Rose, une campagne dédiée à la lutte contre le cancer du sein. L'objectif : encourager les femmes à se faire dépister et promouvoir la solidarité autour de cette cause majeure de santé publique.
Plusieurs centaines de femmes, venues des différents arrondissements de Cotonou et des communes environnantes, ont défilé sur le boulevard de la Marina, vêtues de tee-shirts blancs arborant le symbole d'Octobre Rose. Cette marche symbolique visait à sensibiliser la population à l'importance du dépistage précoce, à soutenir les personnes atteintes et à célébrer la solidarité à travers des activités sportives.
L'initiative de “La Marche Rose by PAM”, soutenue par MTN Bénin, est née de deux simples publications sur les réseaux sociaux, destinées à rendre hommage à des proches victimes du cancer du sein. « Ce n'était pas un projet structuré au départ. Tout est parti de deux posts devenus viraux », explique Pamela d'Almeida, promotrice de l'événement.
Grâce à l'engouement suscité et au soutien de plusieurs partenaires, dont MTN Bénin, l'idée a rapidement pris forme. Les participantes ont parcouru l'itinéraire allant de la place Bio Guera à la place de l'Amazone, avant de rejoindre l'espace “Bambou Numérique” sur la plage. Là, elles ont pris part à des activités sportives et récréatives, suivies de séances de dépistage dans un espace décoré aux couleurs de MTN.
« Après le dépistage, celles qui présenteront des signes ou anomalies seront orientées vers les centres de santé appropriés pour un suivi approfondi », a précisé Pamela d'Almeida.
Elle a également souligné que la sensibilisation ne devait pas se limiter au mois d'octobre : « Ce n'est pas seulement Octobre Rose qui doit porter ce message. Il faut sensibiliser toute l'année, jusqu'à la fin de l'année et même au-delà. »
Fière du succès de cette première édition, Pamela d'Almeida s'engage à pérenniser l'initiative : « La Marche Rose by PAM, c'est devenu ma cause. Nous devons la reprendre chaque année, c'est une obligation. »
Ce dimanche, MTN Bénin a apporté son soutien à une marche de sensibilisation organisée dans le cadre d' Octobre Rose, une campagne dédiée à la lutte contre le cancer du sein. L'objectif : encourager les femmes à se faire dépister et promouvoir la solidarité autour de cette cause majeure de santé publique.
Plusieurs centaines de femmes, venues des différents arrondissements de Cotonou et des communes environnantes, ont défilé sur le boulevard de la Marina, vêtues de tee-shirts blancs arborant le symbole d'Octobre Rose. Cette marche symbolique visait à sensibiliser la population à l'importance du dépistage précoce, à soutenir les personnes atteintes et à célébrer la solidarité à travers des activités sportives.
L'initiative de “La Marche Rose”, soutenue par MTN Bénin, est née de deux simples publications sur les réseaux sociaux, destinées à rendre hommage à des proches victimes du cancer du sein. « Ce n'était pas un projet structuré au départ. Tout est parti de deux posts devenus viraux », explique Pamela d'Almeida, promotrice de l'événement.
Grâce à l'engouement suscité et au soutien de plusieurs partenaires, dont MTN Bénin, l'idée a rapidement pris forme. Les participantes ont parcouru l'itinéraire allant de la place Bio Guera à la place de l'Amazone, avant de rejoindre l'espace “Bambou Numérique” sur la plage. Là, elles ont pris part à des activités sportives et récréatives, suivies de séances de dépistage dans un espace décoré aux couleurs de MTN.
« Après le dépistage, celles qui présenteront des signes ou anomalies seront orientées vers les centres de santé appropriés pour un suivi approfondi », a précisé Pamela d'Almeida.
Elle a également souligné que la sensibilisation ne devait pas se limiter au mois d'octobre : « Ce n'est pas seulement Octobre Rose qui doit porter ce message. Il faut sensibiliser toute l'année, jusqu'à la fin de l'année et même au-delà. »
Fière du succès de cette première édition, Pamela d'Almeida s'engage à pérenniser l'initiative : « La Marche Rose, c'est devenu ma cause. Nous devons la reprendre chaque année, c'est une obligation. »
Au terme d'une opération d'envergure menée par la directrice départementale de la Police républicaine de l'Atlantique, 82 personnes dont 11 femmes ont été interpellés pour criminalité et usage de consommation de produits psychotropes dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 octobre 2025 à Godomey dans la commune d'Abomey-Calavi.
Malgré l'interdiction de la chicha dans les espaces publics, notamment les bars, certains promoteurs continuent d'en faire usage. La Police au cours d'une opération d'envergure a interpellé plusieurs consommateurs dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 octobre 2025, dans un bar situé à Cocotomey, un quartier de l'arrondissement de Godomey, dans la commune d'Abomey-Calavi. A travers la chicha, les mis en cause selon des sources policières, s'adonnaient à la consommation de produits psychotropes.
L'opération dite "coup de poing" qui visait principalement l'usage illicite de produits psychotropes ainsi que la cybercriminalité, a permis d'appréhender 82 personnes dont 11 femmes. Sur lieux, 65 chichas ont été saisies. L'examen de ces instruments a révélé que les mis en cause consommaient de produits psychotropes, le chanvre indien notamment à travers la chicha. Des cas de criminalité ont été également révélés parmi les personnes interpellées. En garde-à-vue depuis quelques heures, ils seront bientôt présentés aux juridictions compétentes qui décideront de leur sort.
F. A. A.
Dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 octobre 2025, une vaste opération policière a permis d'interpeller 17 individus dont 7 femmes à Parakou. Ils sont suspectés des faits présumés de proxénétisme, de complicité et détention d'armes blanches.
A Parakou comme dans tout le département du Borgou, la Police républicaine réaffirme sa détermination à lutter contre le proxénétisme et la toxicomanie. Ces maisons closes, souvent considérées comme des lieux de commercialisation de produits psychotropes ont reçu la visite des hommes en uniforme dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 octobre 2025. Une vaste opération menée dans les quartiers Gaah, Kpébié et Titirou, dans le 1er arrondissement, a permis d'interpeller 17 suspects dont 07 femmes. Parmi les mis en cause, figure un récidiviste notoire recherché pour des cas de vols et de cambriolages dans la ville.
Au cours de l'opération ayant conduit à leur interpellation, 10 motocyclettes d'origine douteuse ont été saisies par les forces de l'ordre.
Dans le cadre de la lutte contre le proxénétisme et la toxicomanie, des propriétaires et promoteurs qui tirent profit de cette activité illicite ont été interpellés et déférés devant la justice. Malgré les arrestations successives, certaines personnes continuent de multiplier ces maisons de tolérance.
La Police, réitérant son engagement à les poursuivre, les a invités à une cessation immédiate d'activité.
F. A. A.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme a jugé deux hommes dans des affaires distinctes pour atteinte sexuelle sur mineure. Ils ont été condamnés à 2 ans et 10 ans de prison.
Condamnation par la CRIET dans des affaires d'atteinte sur mineure. La première affaire oppose le ministère public, l'Institut national de la femme, et l'accusé Gounadon Victorien, conducteur de taxi-moto âgé de 49 ans. Les faits se sont déroulés en octobre 2023, au quartier Sodjêatinmè à Cotonou. L'accusé est l'oncle de la victime vivant sous le même toit.
Il a invité sa nièce âgée de 6 ans dans sa chambre. L'ayant conduit sur la douche, il a abusé sexuellement d'elle. L'acte a été révélé à la mère le lendemain. Poursuivi pour atteinte sexuelle sur mineure, Gounadon Victorien est condamné en premier le 21 février 2024 à 10 ans d'emprisonnement dont 7 ans fermes, 1 million d'amende et au 1 franc symbolique à l'INF. Il a fait appel. Le 26 juin 2024, la chambre d'appel de la CRIET a confirmé la décision.
Pour la deuxième affaire, les faits remontent en février 2021 au quartier Djadjo, à Abomey-Calavi. Âgé de 48 ans, Raphaël Ahonon, maître maçon, a abusé d'une écolière de 12 ans. L'écolière rentrait des cours. Il a été interpellé par Raphaël sous prétexte d'une commission. Il a conduit la victime sur une terrasse et a abusé sexuellement d'elle. Poursuivi pour atteinte sexuelle sur mineure, il a été condamné le 19 avril 2021 à 24 mois de prison ferme. Il a fait appel, mais son recours a été rejeté pour dépôt hors délai.
A.A.A
La République de Guinée accueillera, le mercredi 19 novembre 2025, au Palais du Peuple à Conakry, le Forum parlementaire africain sur la Couverture Santé Universelle (CSU). C'est une rencontre de haut niveau consacrée à la mise en œuvre effective du droit à la santé pour tous sur le continent africain.
Placée sous le haut patronage de S.E. le Général Mamadi Doumbouya, Président de la Transition, Chef de l'État, Chef Suprême des Armées, et organisée sous la présidence du Dr Dansa Kourouma, Président du Conseil National de la Transition (CNT), cette édition marquera une étape déterminante dans le processus de constitutionnalisation du droit à la santé et dans l'affirmation de la souveraineté sanitaire africaine.
En inscrivant la Couverture Santé Universelle dans sa Constitution en septembre 2025, la Guinée assume son rôle pionnier en Afrique de l'ouest et renforce son engagement envers le droit à la santé. Ce choix audacieux témoigne d'une volonté politique forte de placer la santé au cœur du développement national, comme bien public et pilier de la justice sociale, de la cohésion et de la souveraineté. Cette initiative s'inscrit également dans le cadre du Programme Simandou 2040, le programme de développement socio-économique durable et responsable de la République de Guinée, qui place la santé parmi ses piliers stratégiques.
L'événement rassemblera les plus hautes autorités nationales aux côtés de parlementaires guinéens et africains. Y prendront également part des représentants de haut niveau de la Commission de l'Union Africaine, de l'AUDA-NEPAD, d'Africa CDC, de l'Agence Africaine du Médicament (AMA) et de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Les principales institutions financières africaines et internationales, dont la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque mondiale, le Fonds mondial et Gavi, seront également présentes, de même que des représentants d'organisations de la société civile, de mutualités de santé, du secteur privé, de la diaspora et des milieux universitaires.
L'ouverture solennelle du forum sera présidée conjointement par S.E. le Président de la République de Guinée et le Président de l'Assemblée Nationale. Plusieurs panels de haut niveau aborderont ensuite les enjeux de gouvernance, de financement durable et d'innovations technologiques pour accélérer la réalisation de la Couverture Santé Universelle en Afrique.
« Ce forum a pour ambition de traduire en actes l'engagement constitutionnel de notre pays en faveur du droit à la santé. Il s'agit désormais de mettre en place les mécanismes législatifs, institutionnels et financiers qui permettront à chaque Guinéen d'accéder à une couverture santé universelle réelle, équitable et durable. En réunissant les parlementaires, les ministres, nos partenaires et les institutions africaines, nous posons les fondations d'un système de santé solidaire et souverain, au service de la population », déclare Dr Dansa Kourouma, Président du Conseil National de la Transition (CNT).
Les travaux du Forum aboutiront à l'adoption officielle de la Déclaration de Conakry, un texte fondateur qui fixera les principes, les engagements et les prochaines étapes d'un mouvement parlementaire africain en faveur de la Couverture Santé Universelle. Cette déclaration sera présentée lors des prochains sommets de l'Union Africaine.
Le calendrier de la Coupe d'Afrique des Nations Maroc 2025 a été dévoilé.
Le Maroc, pays hôte, ouvrira le bal face aux Comores le dimanche 21 décembre à Casablanca. Pendant dix jours, les meilleures sélections du continent s'affronteront dans une phase de groupes dense avant la phase finale, prévue du 3 au 18 janvier 2026. Voici le calendrier complet.
CAN MAROC 2025
Calendrier de la phase de poules :
Dimanche 21 décembre
Groupe A : Maroc-Comores (20h)
Lundi 22 décembre
Groupe A : Mali-Zambie (15h)
Groupe B : Afrique du Sud-Angola (18h)
Groupe B : Egypte-Zimbabwe (21h)
Mardi 23 décembre
Groupe D : RC Congo-Bénin (13h30)
Groupe D : Sénégal-Botswana (16h)
Groupe C : Nigéria-Tanzanie (18h30)
Groupe C : Tunisie-Ouganda (21h)
Mercredi 24 décembre
Groupe E : Burkina Faso-Guinée équatoriale (13h30)
Groupe E : Algérie-Soudan (16h)
Groupe F : Côte d'Ivoire-Mozambique (18h30)
Groupe F : Cameroun-Gabon (21h)
Vendredi 26 décembre
Groupe B : Angola-Zimbabwe (13h30)
Groupe B : Egypte-Afrique du Sud (16h)
Groupe A : Zambie-Comores (18h30)
Groupe A : Maroc-Mali (21h)
Samedi 27 décembre
Groupe D : Bénin-Botswana (13h30)
Groupe D : Sénégal-RD Congo (16h)
Groupe C : Ouganda-Tanzanie (18h30)
Groupe C : Nigeria-Tunisie (21h)
Dimanche 28 décembre
Groupe F : Gabon-Mozambique (13h30)
Groupe E : Guinée équatoriale-Soudan (16h)
Groupe E : Algérie-Burkina Faso (18h30)
Groupe F : Côte d'Ivoire-Cameroun (21h)
Lundi 29 décembre
Groupe B : Zimbabwe-Afrique du Sud (17h)
Groupe B : Angola-Egypte (17h)
Groupe A : Zambie-Maroc (20h)
Groupe A : Comores-Mali (20h)
Mardi 30 décembre
Groupe C : Ouganda-Nigeria (17h)
Groupe C : Tanzanie-Tunisie (17h)
Groupe D : Botswana-RD Congo (20h)
Groupe D : Bénin-Sénégal (20h)
Mercredi 31 décembre
Groupe E : Guinée équatoriale-Algérie (17h)
Groupe E : Soudan-Burkina Faso (17h)
Groupe F : Gabon-Côte d'Ivoire (20h30)
Groupe F : Mozambique-Cameroun (20h30)
— -
Calendrier de la phase finale :
Huitièmes de finale
Samedi 3 janvier 2026
1er du groupe D - 3e du groupe B/E/F (17h)
2e groupe A - 2e groupe C (20h)
Dimanche 4 janvier
1er groupe A - 3e du groupe C/D/E (17h)
2e groupe B - 2e groupe F (20h)
Lundi 5 janvier
1er groupe B - 3e du groupe A/C/D (17h)
1er groupe C - 3e du A/C/D (20h)
Mardi 6 janvier
1er du groupe E - 2e du groupe D (17h)
1er du groupe F - 2e du groupe E (20h)
Quarts de finale
Vendredi 9 janvier (17h et 20h)
Samedi 10 janvier (17h et 20h)
Demi-finales
Mercredi 14 janvier (18h et 21h)
Match pour la 3e place
Samedi 17 janvier à 17h
Finale
Dimanche 18 janvier à 20h
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Le Bénin s'est incliné 2-0 ce vendredi 24 octobre 2025 face au Nigeria au stade de Kégué à Lomé, lors du match aller du dernier tour des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations féminine 2026.
Les Amazones, dirigées par Abdoulaye Ouzérou, ont été rapidement débordées par les dix fois championnes d'Afrique, vendredi 24 octobre 2025, lors du match aller du dernier tour des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations féminine 2026.
Les Super Falcons ont pris l'avantage dès la 24e minute grâce à un joli lob de Chinwendu Ihezuo, servie par Deborah Abiodun.
Juste avant la pause, le Nigeria a creusé l'écart. Esther Okoronkwo (45+2e) a doublé la mise après une nouvelle offrande de Deborah Abiodun, très inspirée. À la mi-temps, le score était déjà de 0-2.
Malgré quelques sursauts en seconde période, les Béninoises n'ont pas réussi à réduire la marque. Les Super Falcons ont géré tranquillement leur avance jusqu'au coup de sifflet final.
Avec ce succès, le Nigeria prend une sérieuse option pour la qualification avant le match retour prévu le mardi 28 octobre 2025 au stade MKO Abiola d'Abeokuta (Nigeria).
Les Amazones devront réaliser un exploit pour renverser la situation et espérer décrocher leur billet pour la CAN féminine 2026.
M. M.
L'hôtel Azalaï de Cotonou abrite du 27 au 29 octobre 2025, le Colloque International sur les Avancées Scientifiques en Santé Sexuelle et Reproductive (CIAS-SSR). Les objectifs et les résultats attendus de cette rencontre ont été présentés lors d'une conférence de presse, vendredi 24 octobre, à Cotonou.
Plus de 400 participants d'une vingtaine de pays d'Afrique, d'Europe et d'Amérique sont attendus au Colloque International sur les Avancées Scientifiques en Santé Sexuelle et Reproductive (CIAS-SSR) du 27 au 29 octobre à Cotonou. Il est placé sous le thème « Droits et Santé Sexuelle et Reproductive : accélérer les progrès vers l'atteinte des ODD 2030 en Afrique ». Co-organisé par l'Association Béninoise pour la Promotion de la Famille (ABPF) et l'Agence belge de coopération internationale (Enabel), en partenariat avec plusieurs organisations nationales et internationales, ce colloque se veut un cadre d'échanges et d'engagement en faveur des droits et de la santé sexuelle et reproductive (DSSR) sur le continent.
« Nous faisons face à des défis persistants liés aux droits en santé sexuelle et reproductive. Il est clair qu'aujourd'hui, nous devons définir des stratégies plus audacieuses qui intègrent des innovations pour que les défis qui sont liés à ce domaine soient relevés », a déclaré Comlan Christian AGBOZO, directeur exécutif de l'Association Béninoise pour la Promotion de la Famille (ABPF). Selon lui, malgré des engagements multiples, les Objectifs de Développement Durable (ODD) 3 et 5 relatifs à la santé et à l'égalité des sexes n'avancent pas au rythme souhaité. « Nous n'avons pas suffisamment de données probantes pour pouvoir aligner nos stratégies et maximiser l'impact de nos interventions », a relevé le directeur exécutif de l'ABPF. Ce colloque vise justement à combler ce vide en réunissant chercheurs, décideurs et acteurs de terrain pour faire des recommandations concrètes afin d'accélérer les progrès vers l'atteinte des ODD 2030 en Afrique.
Financement durable des systèmes de SSR
Pour Dr Élysée SOMASSE, expert santé à Enabel, ce colloque s'inscrit dans un contexte international marqué par la réduction des financements en matière de droits sexuels et reproductifs. « Quand on parle des droits sexuels et reproductifs, ce n'est pas qu'on est en train juste de revendiquer des droits pour une catégorie donnée de la population, c'est plus large que ça. C'est une vraie question de développement », a-t-il soutenu. Il insiste sur la nécessité de trouver de nouveaux financements afin de relever les défis.
Ce colloque est un moment clé pour analyser les progrès réalisés et les défis persistants pour l'atteinte des ODD 2030 en lien avec les DSSR en Afrique ; partager les innovations et les dernières avancées scientifiques et bonnes pratiques sur la SSR ; favoriser l'élaboration de recommandations africaines pour l'intégration des bonnes pratiques, innovations et susciter l'engagement et les réflexions pour des financements durables en faveur des DSSR en Afrique. Les discussions s'articuleront autour de quatre axes stratégiques tels que les droits, l'équité et l'accès à la SSR pour les jeunes et populations vulnérables ; la réduction de la mortalité maternelle et néonatale à travers l'innovation et la qualité des soins ; le leadership et l'autonomisation des femmes et des jeunes ; et le financement durable des systèmes de SSR.
Dr Aziza AZIZ- SULEYMAN, experte genre et santé à Enabel, a rappelé que la santé n'est pas qu'un service, mais un droit humain fondamental. Elle a salué l'implication du Ministère de la Santé, de l'Ambassade des Pays-Bas, de l'Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS), de l'UNFPA et autres.
Trois jours pour agir et s'engager
Selon le programme officiel, le 27 octobre sera consacré à une journée pré-colloque axée sur le renforcement des capacités des jeunes chercheurs, professionnels de santé et acteurs de la société civile. Le lancement du colloque aura lieu le 28 octobre, suivi de panels, d'ateliers thématiques et d'espaces d'exposition autour de quatre axes principaux.
Les conclusions déboucheront sur un recueil d'articles scientifiques et un ensemble de recommandations politiques africaines, et un pacte d'engagements collectifs visant à renforcer la place de la SSR dans les priorités nationales et régionales. Les résolutions seront portées à la Conférence Internationale sur la Planification Familiale (ICFP 2025).
Akpédjé Ayosso
Le Bénin a réalisé des bonds significatifs dans le secteur de l'agriculture pendant la période 2015-2024. Ces performances exceptionnelles, fruit des réformes structurelles et des investissements massifs engagés dans ce secteur sous le régime du chef de l'Etat Patrice TALON, hissent le pays au premier rang dans l'espace CEDEAO.
Le Bénin, leader de l'agriculture dans la zone CEDEAO. Les résultats de la 5e Revue biennale des sept (07) engagements pris par les Chefs d'État à Malabo pour la transformation accélérée de l'agriculture en Afrique, positionnent le pays au premier rang dans la sous-région ouest-africaine, et à la 5e place dans toute l'Afrique.
Selon les résultats de cette revue, le Bénin a obtenu un score de 7,15/10, la meilleure performance et le meilleur score en Afrique de l'Ouest au cours de la période 2015-2024. Ce résultat représente un progrès exceptionnel de +66% depuis 2015 (passant de 4,3 à 7,15 en 2024).
Pour y parvenir, les investissements dans le secteur agricole ont atteint 10,89% des dépenses générales de l'État en 2024, dépassant ainsi la cible de 10% fixée par l'Union Africaine (UA). Ce qui a permis d'obtenir des productions remarquables dans plusieurs filières, notamment le coton où le pays s'est affirmé comme le Premier producteur en Afrique avec une production de 638000 T en 2024. Ces performances exceptionnelles ont été également enregistrées dans plusieurs autres filières telles que le soja, le riz, le maïs, l'anacarde, l'ananas, poisson et viande.
Cette augmentation de la production dans ces filières agricoles est soutenue par une transformation industrielle portée par la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), hub industriel béninois en pleine expansion. Les capacités de transformation de cette zone économique spéciale sont estimées à 360000 T pour le soja, 185 000 T pour le cajou, et 40 000 T pour la fibre de coton.
Résultats remarquables dans certaines filières
– Coton : Premier producteur continental, avec une production de 638000 T en 2024, multipliée par 2,4 ;
– Soja : Une production de 652454 T en 2024, soit une multiplication par 4,2 depuis 2015 ;
– Riz : 525000 T en 2022, la production a été multipliée par 2,6 ;
– Maïs : 02 millions de tonnes en 2024, contre 1,3 millions en 2015 ;
– Anacarde (Noix de Cajou) : 213000 T en 2024, soit une multiplication par 2,3 ;
– Ananas : 483539 T en 2024, une augmentation de 98% ;
– Poisson et Viande : 229000 T en 2024 (augmentation de 75%), tandis que celle de viande est de 225000 T en 2024 (augmentation de 99%).
F. A. A.
La liste des candidats préselectionnés, à l'issue de la phase sportive, du concours de recutement de 150 fonctionnaires de la douane au titre de 2024, a été rendue publique ce vendredi 24 octobre 2025. Les candidats concernés sont ainsi autorisés à prendre part aux tests psychotechniques qui se dérouleront ultérieurement. LISTE...
Au Bénin, une boulangère a été rattrappée par une dette, vieille de quatre (04) ans, qu'elle pensait éteinte par la prescription biennale prévue en droit commercial. Voici les faits et la décision du Tribunal.
La propriétaire d'une boulangerie au quartier Akogbato (Cotonou) s'est fait livrer à crédit, en 2020, des sacs de farine de blé pour la production de pains.
En 2021, la boulangère est expulsée du site pour non-paiement de loyer. Celle-ci est obligée de déplacer la boulangerie sur son propre local situé à 500 mètres de l'ancien site. Alors qu'elle restait devoir la somme de 1.834.500 FCFA au fournisseur, la boulangère n'a pu faire tourner les machines durant plusieurs mois.
Ce n'est qu'après deux ans environ qu'elle a repris lesdites activités. Malgré la mise en activité de la boulangerie, la dette n'a pas été soldée. Ceci nonobstant plusieurs relances.
En 2024, le fournisseur de farine reçoit des transferts Mobile Money respectifs de 2.000 FCFA le 4 juillet et 5.000 FCFA le 8 juillet. « Ce qui a ramené le solde à un million huit cent vingt-sept mille cinq cents (1 827 500) francs CFA » . « Depuis ce temps et malgré plusieurs relances amiables », le solde est demeuré impayé.
Le fournisseur a saisi, le 20 mai 2025, le Tribunal de commerce de Cotonou pour obtenir paiement de son dû.
Lors du procès, la boulangère invoque la prescription de deux ans prévue par l'article 301 de l'Acte uniforme OHADA sur le droit commercial, et refuse de s'acquitter de la dette.
Pour le fournisseur, cette exception est infondée en droit comme en fait. Selon ses moyens, la prescription est interrompue notamment par une reconnaissance de dette de la part du débiteur, conformément au même article de l'Acte uniforme OHADA sur le droit commercial.
Le Tribunal, dans son jugement N° 104/2025/CJ2-PC/S1/TCC, rendu le 16 octobre 2025, a rejeté les moyens de la boulangère. « La reconnaissance par le débiteur du droit de celui contre lequel il prescrivait interrompt le délai de prescription », a indiqué le juge. Il note qu'en octobre 2021, la boulangère avait reconnu, au téléphone, devoir « environ 1,6 million de francs CFA » à son fournisseur. De plus, les « versements volontaires établissent sans équivoque la volonté de ne pas se prévaloir de la prescription acquise et de reconnaître l'existence de la dette », selon le Tribunal.
Par conséquent, la boulangère a été condamnée à payer 1.827.500 de FCFA à son fournisseur de farine de blé, avec intérêts légaux à compter d'octobre 2024.
Ce jugement du Tribunal de commerce de Cotonou rappelle une règle constante mais souvent méconnue. La prescription biennale ne protège plus le débiteur qui reconnaît sa dette ou effectue un paiement, même minime, après expiration du délai de quatre ans.
Marc MENSAH
Les robinets d'Akpakpa sont à sec. L'eau, source de vie, devient un luxe pour les habitants de ce quartier de Cotonou confrontés depuis quelque temps à une pénurie persistante.
Au quartier Akpakpa à Cotonou, le désarroi est palpable. Les habitants font face à des coupures d'eau de plus en plus fréquentes. « Nous souffrons. L'eau est souvent coupée dans le quartier. Parfois, elle ne revient qu'à des heures tardives, vers 2 heures du matin. Pour pallier le manque, nous faisons des réserves », confie un conducteur de taxi-moto, communément appelé zémidjan.
Un peu plus loin, un travailleur du secteur informel avoue s'être adapté à son quotidien. « En période de coupure, je préfère ne pas me doucher le soir. Je garde l'eau pour le matin », confie-t-il.
Cette situation impacte fortement les activités économiques locales, notamment les restauratrices. Faute d'eau, elles peinent à poursuivre leurs activités. Prudence, vendeuse d'Atassi (riz aux haricots), témoigne : « quand nos réserves sont épuisées, on ne peut plus cuisiner. Parfois, on utilise l'eau du puits. On n'a pas le choix ».
Même constat du côté des élèves. Maelis, en classe de CM2, raconte : « La coupure d'eau me dérange beaucoup. Parfois, je ne peux pas me laver le matin avant d'aller à l'école. Quand il n'y a plus d'eau, mes parents achètent des packs de “pure water” (l'eau en sachet) pour qu'on se débrouille. Et quand tout est fini, on va puiser l'eau du puits chez les voisins ».
Pour d'autres, cette solution de secours devient un poids financier. « Acheter des packs d'eau revient trop cher. À la longue, mieux vaut encore consommer l'eau du puits », confie Jean (nom d'emprunt).
Entre réserves improvisées et recours à des sources d'eau de qualité douteuse, les habitants d'Akpakpa tirent la sonnette d'alarme. Tous espèrent un retour rapide à une distribution d'eau potable stable et continue.
Marina HOUENOU (Stagiaire)
Nommé nonce apostolique auprès du Burkina Faso et du Niger en août dernier par le pape Léon XIV, Mgr Eric Soviguidi, a été accueilli, jeudi 23 octobre 2025 par le clergé béninois et de nombreux fidèles catholiques venus célébrer son retour au Bénin.
Chants, danses et ferveur à l'aéroport Cardinal Bernardin Gantin de Cotonou ce jeudi 23 octobre 2025. C'est le retour de Mgr Eric Soviguidi sur sa terre natale avant son départ en mission. Le prélat béninois a été nommé nonce apostolique auprès du Burkina Faso et du Niger en août dernier par le pape Léon XIV.
S'adressant à la presse locale, le nouveau nonce apostolique confie : « on n'est jamais prêt à recevoir une telle nouvelle. C'est à la fois un bouleversement et une grâce. Je rends grâce au Seigneur et je lui demande son aide pour porter cette responsabilité ».
Mgr Eric Soviguidi devient le troisième Béninois à servir comme représentant du Saint-Siège. « Chaque Eglise particulière apporte sa contribution à l'Eglise universelle. C'est beau que le Pape fasse appel à des fils de différentes nations », a-t-il ajouté, saluant ses prédécesseurs Mgr Pascal N'koué (Nonce apostolique au Panama) et Mgr Dieudonné Datonou (Nonce apostolique au Burundi).
Le nouveau nonce apostolique auprès du Burkina Faso et du Niger sera consacré le 15 novembre prochain à la paroisse Sacré-coeur de Cotonou. Son choix d'être ordonné à Cotonou se veut un geste de fidélité et de proximité avec son Église d'origine. « Nous sommes au service du Saint-Siège, mais je tenais à ce que cette consécration se fasse ici, au Bénin. On n'y a jamais vu l'ordination d'un nonce. Je suis attaché à mon pays et à mon Église locale », a-t-il expliqué.
Avant de s'envoler vers sa nouvelle mission diplomatique, Mgr Eric Soviguidi place son ministère sous le signe de la paix et de la fraternité. « Je pense que c'est ensemble que le chemin se fera pour que la paix soit consolidée dans ces deux pays, avec foi et détermination », a affirmé le nouveau nonce apostolique auprès du Burkina Faso et du Niger.
M. M.
Le tribunal de première instance d'Abomey-Calavi a jugé un homme pour des faits d'abus de confiance ce vendredi 24 octobre 2025.
Un homme âgé de la cinquantaine est poursuivi devant le tribunal d'Abomey-Calavi pour des faits d'abus de confiance. Le prévenu, un partenaire d'affaires d'une femme, victime dans le dossier, va chercher des marchandises dans le magasin de celle-ci qu'il revend et restitue par la suite les sous. Mais après la dernière opération, il a fait usage de subterfuge et n'a pas versé les recettes. Le montant total des marchandises en cause est estimé à 10 millions de francs CFA.
Le ministère public requiert à son encontre, une peine de 60 mois de prison ferme, une amende de 500 000 francs CFA, et une somme de 5 040 000 francs CFA à la victime aux titres des dommages et intérêts.
Le délibéré est renvoyé au 7 novembre 2025.
F. A. A.
Le tribunal de première instance d'Abomey-Calavi a condamné, ce vendredi 24 octobre 2025, deux jeunes hommes dans une affaire de vol d'ustensiles de cuisine. L'un des prévenus a été reconnu coupable des faits de vol, et le second, pour recel de chose volée.
Une affaire de vol d'ustensiles de cuisine impliquant deux jeunes hommes a été examinée à l'audience correctionnelle de flagrant délit du tribunal de première instance d'Abomey-Calavi ce vendredi 24 octobre 2025. Selon les déclarations à la barre, le principal accusé s'est introduit par effraction au domicile de la victime et y a soustrait des ustensiles de cuisine qu'il a vendus à un acheteur de ferrailles communément appelé ‘'Gankpogblégblé''. Le montant du préjudice selon la victime et son conseil, est estimé à 500 000 francs CFA.
A la barre, les mis en cause n'ont pas nié les faits mis à leur charge. L'acheteur de ferrailles a dédommagé la victime à hauteur de 100 000 francs CFA.
Le ministère public requiert contre le principal accusé, une peine de 18 mois de prison ferme et une amende de 100 000 francs CFA.
Contre l'acheteur de ferrailles, le magistrat a requis 6 mois de prison avec sursis, une amende de 20 000 francs CFA, et le paiement de la somme de 100 000 francs CFA à la victime pour toute cause de préjudice.
Délibérant, le tribunal condamne le principal accusé à une peine de 24 mois de prison dont 18 ferme, et une amende de 100 000 francs CFA.
L'acheteur de ferrailles quant à lui, a écopé d'une peine de 6 mois de prison avec sursis, et une amande de 100 000 francs CFA.
F. A. A.
Une enquête pour vol d'animaux domestiques a pris une tournure inattendue à Covè. Trois personnes, dont une femme, ont été interpellées, et la police a saisi plus de deux millions de FCFA de faux billets.
A la suite d'une plainte reçue lundi 20 octobre 2025 et « faisant état d'un cas de vol de lapins et de dindons au quartier Yénawa » dans la commune de Covè, la Police républicaine a ouvert une enquête.
« L'enquête menée avec diligence a conduit à l'interpellation d'un coauteur du vol ». Avec sa collaboration, une descente a été effectuée au domicile du cerveau présumé de la bande, « un repris de justice, qui à la vue des forces de l'ordre, a pris la clé des champs abandonnant derrière lui une motocyclette ».
La police a ensuite retrouvé le receleur, également « un repris de justice ».
Lors de la perquisition, la police a saisi « plusieurs animaux domestiques issus de vol, un sac contenant une somme de deux millions deux cent vingt-neuf mille (2.229.000) FCFA de faux billets de banque en coupures de 500F, 1000F, 2000F, 5000F et 10 000F ainsi qu'une machine et des produits entrant dans la fabrication de faux billets de banque ».
Au petit matin du 21 octobre 2025, l'auteur principal, jusque-là en cavale, a été retrouvé et interpellé.
Au total, trois personnes dont une femme ont été arrêtées.
Le receleur et fabricant présumé de faux billets est « toujours activement recherché », précise la Direction générale de la Police républicaine sur son site internet.
M. M.
Trois (03) individus ont été interpellés, mercredi 22 octobre 2025 au quartier Agori dans la commune d'Abomey-Calavi, pour trafic de produits psychotropes.
A la suite d'informations selon lesquelles « un individu déjà recherché pour plusieurs cas de trafic de produits psychotropes serait en pleine commercialisation d'une autre cargaison avec deux de ses comparses », la police a effectuée une descente dans une maison au quartier Agori, commune d'Abomey-Calavi.
L'opération menée, mercredi 22 octobre 2025, a permis de saisir « vingt-neuf (29) boulettes de produits psychotropes, plus de cent cinquante (150) comprimés de diverses catégories, onze (11) paquets de sachets transparents servant à emballer les produits psychotropes, un brouilleur, des pièces d'identité d'origine douteuse ainsi qu'une somme de trois cent quarante-quatre mille cinq cents (344.500) F CFA issue de la vente de ces substances ».
Les prévenus ont été placés en garde à vue pour la suite des investigations, selon la Police.
M. M.