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La mise en œuvre du Programme d'Assainissement Pluvial de Cotonou (PAPC) transforme peu à peu plusieurs quartiers de la ville. C'est le cas du quartier Ladji, autrefois insalubre, régulièrement inondé et enclavé.
Situé dans le 6e arrondissement, Ladji bénéficie désormais d'infrastructures modernes qui améliorent la mobilité et le cadre de vie. Grâce au financement de la Banque Européenne d'Investissement et à la coordination de la SIRAT SA, plusieurs ouvrages d'assainissement et aménagements urbains ont été réalisés.
Le PAPC a notamment permis la construction d'un collecteur primaire de près de 1,3 km et le pavage de 1,4 km de rues, soit environ 41.000 m². Lancés en février 2022, les travaux ont rencontré des défis techniques qui ont prolongé leur durée initiale de 12 mois. La supervision a été assurée par le groupement INROS-LACKNER/IGIP AFRIQUE/IGIP/DECO et le pool PAPC de la SIRAT, avec AGETUR pour la maîtrise d'ouvrage déléguée.
« Avant, la voie était impraticable. Personne ne pouvait traverser le rond-point Sainte-Cécile. C'était un calvaire », raconte Georges Gnonlonfoun, chef du quartier. Aujourd'hui, la circulation est fluide, la zone assainie, et de nouvelles activités économiques se sont développées. « Quand vous venez ici les soirs, c'est un autre marché. Aïmonlonfidé, Toyôyômè sont des agglomérations qui ont des constructions sur pilotis. Les jeunes viennent donc ici les soirs pour se distraire, et faire des achats », a indiqué le chef quartier de Ladji.
Le PAPC a également généré jusqu'à 65.000 emplois à l'échelle du programme. « Nous remercions le président Talon de nous avoir donné la possibilité de rentrer chez nous plus facilement. Aujourd'hui, le Bénin a changé. Les bas-fonds sont devenus de grandes voies », confie un riverain.
Malgré ces avancées, certaines voies restent à aménager et des défis structurels persistent, notamment en matière d'électricité et d'accès à l'eau potable. Le chef du quartier appelle les autorités à accompagner la population pour libérer les espaces réservés et protéger les infrastructures contre le vandalisme.
La première édition de la CAM Bénin s'est achevée dans une atmosphère de fête populaire, dimanche 14 décembre 2025, au Centre Sowéto à Cotonou. C'est avec la prestation des artistes "D Blue" et "Vano Baby".
Après un mois de matchs intenses, Akpakpa FootGoal Club a remporté la finale de la première édition de la CAM Bénin face à Kandi FootGoal Club (1-0). Le but a été inscrit dès la deuxième minute de jeu.
Mais bien après le coup de sifflet final, c'est la musique qui a pris le relais sur l'esplanade du Centre Séwoto à Cotonou ce dimanche 14 décembre 2025. Peu après 23h, Vano Baby, guest spécial et Brand Ambassador de la CAM, fait son entrée sous les acclamations. « Azéto Gbèdè » commence avec son titre "Nou towé lè", repris en chœur par les mélomanes.
Puis, silence radio !
« Vous êtes trop éloignés de moi ! », lance Vano Baby au public en langue fon. En quelques secondes, la foule se rapproche du podium, brouillant la frontière entre l'artiste et ses fans.
Le show reprend !
Les titres s'enchaînent dans une ambiance électrique. Madame, Côté, Weekend Mood, Do bandit min, Bô Ébi ou encore Fitè sont repris en chœur par un public compact, téléphones levés, lumières allumées. La communion est totale lorsque Vano Baby relance la foule sur C'est toi. L'artiste termine sa prestation, peu après minuit, avec Adigoué Gboum-Gboum et un autre titre en hommage à la femme.
Un peu plus tôt dans la soirée, l'artiste béninois de la musique urbaine "D Blue" avait déjà donné le ton, juste après la finale et la remise des récompenses.
La soirée avait démarré à 17 heures avec des animations folkloriques, avant le match de classement lancé à 17h45.
À 18h58, le public a assisté à une succession de tableaux culturels mêlant danse Têkê, Zinli et Guèlèdè, exécutés par le groupe Berceau Culture.
Un danseur Guèlèdè, portant trois pots de feu sur la tête, a suscité de longues salves d'applaudissements.
Prenant la parole avant la finale, la présidente du comité d'organisation, Ariane Eteka, a souligné la portée symbolique de l'événement. « Aujourd'hui, c'est la grande fête. C'est la fête des Béninois. C'est aussi la fête des Ivoiriens », a-t-elle déclaré, rappelant l'origine de la compétition.
Des figures du monde artistique dont le zookeur béninois Richard Flash et l'influenceur ivoirien Général Makosso, ont également marqué leur présence.
Akpakpa FootGoal Club, vainqueur de la CAM Bénin est reparti avec une enveloppe de 3 millions de FCFA, tandis que Kandi FootGoal Club, finaliste malheureux, a reçu 1 million de FCFA.
Lokossa FootGoal Club, gagnant du match de classement (3-2) face à Vêdoko FootGoal Club, a décroché la troisième place et 500 000 FCFA.
Des distinctions individuelles ont également été attribuées, avec 250 000 FCFA chacun pour le meilleur buteur et le meilleur joueur du tournoi.
Le vainqueur du jeu de pronostics en ligne a, lui, remporté un ordinateur de la marque béninoise Assuka Spirit.
Compagnie Africaine Morrison (CAM), est une compétition panafricaine qui a révolutionné le Football Petits Poteaux rebaptisé « FootGoal ». Héritée des éditions ivoiriennes, la formule associe sport, culture et communauté dans un format court. Avec huit clubs engagés, la CAM Bénin a mis en valeur les talents issus des quartiers et des villes. Cette première édition au Bénin s'est déroulée avec l'appui de plusieurs partenaires dont l'Agence de Développement de la Culturel (ADAC).
M. M.
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La Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) a entamé, lundi 8 décembre 2025, les opérations de préparation et d'emballage du matériel électoral pour les élections générales de 2026. Cette étape technique, appelée « colisage », a été renforcée par la réception, le mercredi 10 décembre, d'un important lot d'équipements au centre de colisage d'Akpakpa.
La CENA poursuit les préparatifs pour la bonne organisation des élections générales de 2026. L'institution a déjà reçu un important lot d'équipements tels que des cantines métalliques pour le transport sécurisé des procès-verbaux, des sacs et cotons pour les coordonnateurs locaux, ainsi que des encres, encreurs et autres articles indispensables au déroulement du vote. Le lot comprend également des pots de colle, cachets officiels, chasubles d'identification, lampes et piles pour les zones mal desservies, ainsi que du petit matériel de bureau comme stylos, marqueurs, ciseaux ou calculatrices.
Ces équipements visent à standardiser les procédures, assurer la fluidité du vote et garantir la fiabilité des résultats. Le processus de colisage permet de vérifier, trier et conditionner méthodiquement chaque article avant son envoi vers les différentes localités du pays. Ces préparatifs sont essentiels pour organiser des élections transparentes et apaisées, dans le respect des principes démocratiques.
A.A.A
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Currently, more than half of all countries and areas worldwide have a fertility rate below the replacement level of 2.1 births per woman. Credit: Shutterstock
By Joseph Chamie
PORTLAND, USA, Dec 15 2025 (IPS)
Will low fertility rates return to the replacement level of 2.1 births per woman any time soon? A simple answer to this vital demographic question is: unlikely.
A detailed answer about future fertility rates involves the complex interaction of various economic, social, developmental, cultural, and personal factors that influence fertility levels.
Among those factors are economic insecurity, financial pressures, marriage rates, childbearing ages, child mortality levels, contraceptive use, higher education, labor force participation, lifestyle choices, personal goals, concerns about the future, and finding a suitable spouse or partner for family life.
During the recent past, the world’s fertility rate declined significantly from 5.3 births per woman in 1963 to 2.3 births in 2023.
Currently, more than half of all countries and areas worldwide have a fertility rate below the replacement level of 2.1 births per woman. Among these low fertility countries are the world’s ten largest national economies (Figure 1).
Source: United Nations.
In contrast to countries with low fertility rates, sub-Saharan African countries have high fertility rates. Together these countries account for about one-third of the world’s current annual births, with that proportion projected to increase to nearly 40% by the mid-century.
Currently, two dozen countries in sub-Saharan Africa have fertility rates of 4 or more births per woman, with half of them having rates of 5 or more births per woman. Some of these countries, such as Chad, the Democratic Republic of the Congo, and Somalia, have the world’s highest fertility rates at about 6 births per woman (Figure 2).
Source: United Nations.
In countries with low fertility, many young adults choose to prioritize economic security over starting a family. This shift in priorities reflects the financial burden that comes with household expenses, such as housing, food, transportation, childcare, and education.
The average annual costs of raising a child can vary significantly from country to country because of differences in income, family structures, living expenses, and government subsidies. However, couples generally perceive raising children as a challenging and costly endeavor, given the expenses associated with housing, food, childcare, and education.
Besides the increasing age at which couples are choosing to marry, there has been a global decline in early childbearing. In more developed regions and in many less developed countries, such as China and India, the mean age of childbearing has risen by approximately three years since 1995.
Decreases in teenage pregnancies have also played a role in contributing to low fertility rates in many countries. For example, between 1994 and 2024, the worldwide adolescent birth rate declined from 74 to 38 births per 1,000 females aged 15 to 19 years.
Considering recent global trends and significant economic, social, developmental, cultural, and personal factors, it appears unlikely that today’s low fertility rates will return to the replacement level any time soon
In addition to delaying childbearing, many women are having fewer babies, with a significant number choosing not to have children at all. Although figures vary by region and generation, childlessness levels are rising, with approximately 40% or more of women by age 30 in developed countries remaining childless.
Using contraceptive methods is another significant contributor to low fertility rates. Various contraceptive options are available to prevent unintended pregnancy, including temporary or reversible and permanent methods. Worldwide, about half of women of reproductive age in 2022 were estimated to be using contraceptives, with 90% of them using a modern contraceptive method.
Higher education and increased female labor force participation are two additional factors contributing to low fertility rates. These factors raise the opportunity costs of childbearing, encourage delayed marriage and childbearing, and shift personal life priorities to career and personal development.
Over the past fifty years, the enrollment of women in higher education has increased worldwide. Women currently make up the majority of higher education students in 114 countries, while men out-number women in 57 countries. With respect to earning a bachelor’s degree, women have reached parity with men.
In many low fertility countries, there has a notable rise in the number of women joining the workforce. This trend is clear in more developed nations, where the percentage of economically active women has seen a significant increase in recent times. For instance, in Spain, the proportion of women in the labor force has more than doubled over the last fifty years, growing from around one in four to over half.
Another major factor contributing to low fertility rates is the significant global declines in infant and child mortality. Over the past fifty years, the global infant mortality rate has decreased from approximately 90 deaths per 1,000 births to 27 deaths and the mortality rate of children under age 5 has decreased from 132 deaths per 1,000 live births to 36 deaths.
Because of low fertility rates, many countries are experiencing more deaths than births, resulting in negative rates of population growth. These sustained negative rates of population growth are leading to population decline and demographic ageing.
The governments of many low fertility countries are implementing pro-natalist policies, incentives, and programs to increase birth rates. While these policies and programs may have some success in increasing low fertility rates slightly, historical data show that once a fertility rate drops below the replacement level, particularly to 1.5 births per woman or less, it remains low.
Population projections for countries with low fertility rates do not expect a return to the replacement level in the near future.
The world’s fertility rate is expected to continue declining throughout the 21st century. By 2100, the global fertility rate is projected to be below the replacement level at 1.8 births per woman.
The country population projections made by national governments and international organizations assume that fertility rates will remain below the replacement level. Consequently, many countries are projected to experience population decline by the mid-century (Figure 3).
Source: United Nations.
In 50 countries and areas, immigration is expected to help reduce the projected population decline caused by low fertility rates. However, without international migration, some countries, like Canada, France, the United Kingdom, and the United States, are also projected to see a decrease in population by 2050.
While many countries are experiencing a demographic struggle over international migration, the proportions of immigrants in these countries are reaching record highs. In the European Union, for example, the proportion of the foreign-born population is about 14%, a significant increase from 10% in 2010.
Similarly, in the United States, the foreign-born proportion is at a record high of nearly 16%, several times greater than the low of 5% in 1970. Additionally, in Canada, the foreign-born proportion has risen to a record high of close to a quarter of its population, surpassing the previous record of 22% in 1921. Australia also has a significant foreign-born population, especially recently from India and China, reaching close to a third of its population, substantially higher than the 24% in 2004.
Along with population declines, coupled in many instances with increased immigration, countries are also experiencing demographic ageing. The once youthful populations of the recent past are now being replaced by much older populations with increasing proportions of these individuals in retirement. Once again, as with population decline, the projected populations of many countries by the middle of the century would be older without international migration (Figure 4).
Source: United Nations.
In summary, considering recent global trends and significant economic, social, developmental, cultural, and personal factors, it appears unlikely that today’s low fertility rates will return to the replacement level any time soon.
As a result, ongoing low fertility rates are leading to population decline, demographic ageing, and, in many instances, the politically contentious issue of increased levels of the foreign-born population. Instead of hoping for a return to the demographics of the recent past, countries need to recognize the probable future demographics and confront the many challenges that arise from them.
Joseph Chamie is a consulting demographer, a former director of the United Nations Population Division, and author of many publications on population matters.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a maintenu la peine de 2 ans contre Steve Amoussou et requalifié les faits. C'est le verdict rendu ce 15 décembre 2025, après appel de la décision du tribunal.
La chambre d'appel de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme rend son verdict dans l'affaire Steve Amoussou. Ce dernier avait été condamné à 2 ans de prison ferme et 2 millions FCFA d'amende pour injure avec motivation politique, initiation et diffusion de fausses nouvelles.
En appel, le juge a maintenu la peine de 2 ans et requalifié les faits. Il est désormais condamné pour les faits de « harcèlement par le biais d'une communication électronique, publication de fausses nouvelles et incitation à la rébellion ».
Arrêté au Togo en août 2024, Steve Amoussou est soupçonné d'être à l'origine des chroniques diffusées sous le pseudonyme « Frère Hounvi ». L'intéressé a réfuté toute implication dans ces publications.
A.A.A
La Cour du pôle pénal économique et financier de Sidi M’hamed a prononcé ce lundi le 15 décembre les peines les plus lourdes à l’encontre […]
L’article Scandale IMETAL : la justice frappe d’une main de fer, lourdes peines contre les accusés est apparu en premier sur .
Le verdict du procès en appel du prévenu Steve Amoussou présenté comme le célèbre chroniqueur « Frère Hounvi » est tombé ce lundi 15 décembre 2025 devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Le juge de la Chambre des appels a donné raison au ministère public qui ne conteste pas la peine de prison mais la requalification des infractions faite par le premier juge.
Le prévenu est désormais fixé sur le sort de son procès en appel. Ce lundi 15 décembre 2025, la chambre des appels de la CRIET a annulé le jugement rendu sur la requalification des faits faite par le premier juge puis l'a condamné à 24 mois ferme et à 2000.000 FCFA d'amende.
En rendant son verdict ce lundi 15 décembre 2025, la chambre des appels a annulé la requalification des infractions faite par la chambre de jugement telles que : « injure avec motivation politique, initiation et diffusion de fausses nouvelles ». Le juge des appels de la CRIET a désormais retenu que Steve Amoussou est coupable des infractions de « harcèlement par le biais d'une communication électronique, initiation et diffusion de fausses nouvelles, et d'incitations à la rébellion » qui ont été retenues par le parquet spécial de la CRIET. Ses avocats disposent de trois jours pour pourvoi en cassation, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Lors du verdict prononcé le lundi 2 juin 2025, la chambre correctionnelle de la CRIET a requalifié les faits de « harcèlement par le biais d'une communication électronique, initiation et diffusion de fausses nouvelles, et d'incitations à la rébellion » en « injure avec motivation politique, initiation et diffusion de fausses nouvelles ».
Pour le ministère public lors de l'audience en appel du lundi 1er décembre 2025, le justiciable Steve Amoussou alias Frère Hounvi est bien coupable des faits de harcèlement par le biais d'une communication électronique, initiation et diffusion de fausses nouvelles, et d'incitations à la rébellion. Le parquet spécial n'était pas d'accord avec la requalification faite par la chambre correctionnelle mais ne conteste pas la peine de prison infligée à Steve Amoussou par le premier juge.
Steve Amoussou est en détention depuis août 2024, quelques jours après son arrestation au Togo, où il aurait été enlevé. Il est alors soupçonné d'être derrière le compte anonyme "Frère Hounvi", qui distille depuis des années des critiques acerbes envers le pouvoir du président Patrice Talon.
Lors du procès devant la chambre de jugement, Steve Amoussou a toujours nié être le fameux "Frère Hounvi", malgré les éléments à charge présentés par l'accusation. Ses avocats avaient également dénoncé les "conditions inhumaines" de son arrestation, estimant que son procès n'aurait jamais dû avoir lieu.