Selon un communiqué parvenu à notre rédaction, le Ministère de l’Intérieur, des Collectivités Locales et des Transports (MICLT) a procédé, ce lundi à Alger, au […]
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La première Conférence Internationale sur la Nutrition s'est ouverte, samedi 27 septembre 2025, à Cotonou au Sofitel Marina. Sous la conduite du Président de la République, Monsieur Patrice TALON, l'évènement à réuni quelques leaders internationaux, des experts, des partenaires techniques et financiers. Ce rassemblement a pour but d'apporter des solutions nouvelles pour surmonter les défis de la nutrition et de la sécurité alimentaire.
« La santé, l'éducation et la productivité des générations futures dépendent de notre capacité à garantir à chaque enfant, chaque femme et chaque homme une alimentation saine et équilibrée », a déclaré le chef de l'État, à l'ouverture de la conférence.
Le président Patrice Talon rappelle à tous que la nutrition est un facteur essentiel du développement humain. En tenant compte du développement cognitif, le Bénin n'a pas manqué de démontrer son engagement pour la qualité de la nutrition. C'est dans ce sens qu'il ajoute : « Nourrir nos enfants n'est pas une option, c'est un impératif ».
Les travaux de cette conférence permettront d'identifier les moyens d'action concrètes et durables, en renforçant la gouvernance nationale à l'implication accrue des communautés locales, en passant par une meilleure coopération entre les secteurs de la santé, de l'éducation et de l'agriculture. « La lutte contre la malnutrition est une responsabilité partagée. Aucun pays ne peut, à lui seul, faire face aux défis que pose ce fléau », a-t-il rappelé.
Le Président Talon n'a pas manquer de souligner les efforts déjà entrepris par le Bénin à travers notamment le Programme National d'Alimentation Scolaire Intégré (PNASI), qui assure chaque jour un repas de qualité à des centaines de milliers d'écoliers, ainsi que la création de l'Agence Nationale de l'Alimentation et de la Nutrition (ANAN), chargée de coordonner les politiques publiques dans le secteur. Le chef de l'Etat a notamment insisté sur la nécessité d'intensifier les partenariats et la coopération internationale, afin de mobiliser des ressources financières et techniques à la hauteur des enjeux.
Par son implication, le Bénin se positionne comme un acteur majeur dans la recherche de solution pour une meilleure nutrition dans le monde surtout sur le continent africain.
Marina HOUENOU(Stag)
La FIFA a infligé une sanction à l'Afrique du Sud pour avoir aligné un joueur inéligible lors de son match contre le Lesotho, le 21 mars dernier. La rencontre, initialement remportée 2-1 par les Sud-Africains, est désormais comptabilisée comme une victoire 3-0 pour le Lesotho.
La Fédération Sud-Africaine de Football (SAFA) a violé l'article 19 du Code disciplinaire de la FIFA et l'article 14 du règlement des qualifications, selon une décision de la FIFA rendue ce 29 septembre 2025.
En cause : la présence sur le terrain de Teboho Mokoena lors de la rencontre contre le Lesotho le 21 mars dernier, alors que le joueur ne remplissait pas les critères d'éligibilité.
Une défaite par forfait (0-3) et 10 000 francs suisses d'amende ont été infligées à la Fédération Sud-Africaine (SAFA).
Le joueur écope, quant à lui, d'un avertissement.
L'Afrique du Sud chute de 17 à 14 points à cause de cette sanction de la FIFA.
Une aubaine pour le Bénin, qui totalise également 14 points, mais avec une meilleure différence de buts. Les Guépards s'installent donc en tête du groupe à deux journées de la fin des qualifications pour le Mondial 2026.
Le suspense est total.
M. M.
Classement actualisé du groupe de qualification
1er : Bénin – 14 pts (+4)
2ᵉ : Afrique du Sud – 14 pts (+3)
3ᵉ : Nigéria – 11 pts (+2)
4ᵉ : Rwanda – 11 pts (0)
5ᵉ : Lesotho – 9 pts (-6)
6ᵉ : Zimbabwe – 4 pts (-6)
La Confédération des institutions financières d'Afrique de l'Ouest (CIF) et la Coopération suisse renouvellent leur collaboration dans le cadre du programme de renforcement de la résilience socio-économique des populations ouest-africaines grâce à la digitalisation des coopératives financières (DigiCoop-WA+). Des contrats de performance ont été signés avec les réseaux membres et les compagnies d'assurance membres de la CIF, le vendredi 26 septembre 2025 à Cotonou, lors du lancement officiel de la deuxième phase du programme DigiCoop-WA+.
Dans son engagement à soutenir l'inclusion économique, sociale et financière dans la zone UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine), la CIF en partenariat avec la Coopération suisse a procédé au lancement officiel de la phase 2 du programme DigiCoop-WA+. L'ambition affichée pour cette seconde phase qui s'étend sur une période de 4 ans, (2025 à juillet 2029), est de collecter 300 milliards de francs CFA et d'accompagner les besoins de financement à hauteur de 80 milliards de francs CFA.
Renforcer la résilience socio-économique des populations à faible revenu
La deuxième phase du projet DigiCoop-WA+ vise à renforcer la résilience socio-économique des populations à faible revenu, notamment les femmes, les jeunes, les personnes vivant avec un handicap et les petits exploitants agricoles en Afrique de l'Ouest, à travers l'offre des services financiers et non financiers numériques. Il s'agira de contribuer à la création des conditions favorables à une croissance économique plus inclusive en réponse aux ODD (Objectifs de développement 1, 2, 5 et 8), avec une transversalité sur 5 autres objectifs de développement durable.
De façon spécifique, le projet permettra aux populations d'accéder facilement aux produits et services financiers numériques et non financiers ; d'accroître les opportunités économiques des femmes et des jeunes à développer l'entreprenariat, même dans les « contextes fragiles » ; d'accroître la productivité agricole ; de faciliter l'accès au marché des petits producteurs grâce aux innovations technologiques ; et enfin, contribuer à réduire l'insécurité alimentaire en Afrique de l'Ouest.
Selon les projections faites, un million de personnes pourront bénéficier à terme, de services numériques grâce à la digitalisation, soit 55% de femmes, 40% de jeunes et 10% de petits producteurs. 80% des bénéficiaires verront leurs capacités renforcées en éducation financière et non financière ; et 250.000 autres personnes, notamment des femmes et des jeunes, pourront également renforcer leurs capacités en entrepreneuriat.
Enfin, dans le secteur agricole, 100.000 petits producteurs pourront bénéficier du financement agricole grâce au digital ; ce qui permettra d'impacter positivement les rendements agricoles de 50% de l'effectif à hauteur de 25% au moins.
Après une première phase qui a permis de soutenir les réseaux membres dans leur mission en faveur de l'inclusion financière, cette seconde phase du programme selon le président de la CIF, va au-delà des questions de digitalisation des coopératives financières. « Nous donnons une place importante au financement de l'agriculture et des PME, qui sont les secteurs porteurs de l'emploi, générateurs de sécurité alimentaire dans nos États », a souligné Mathieu SOGLONOU, Directeur général de la CIF. En procédant à la signature des accords de performance, la CIF d'après ses explications, entend « responsabiliser davantage » ses réseaux et ses compagnies d'assurance sur les rôles que leur incombe le programme DigiCoop-WA+ pour l'atteinte des « résultats communs ».
Pour Stéphanie GUHA, Cheffe de coopération suppléante du bureau de coopération suisse au Bénin, représentante de la coopération suisse, cette seconde phase marque une étape déterminante de « l'engagement commun » entre la Suisse et la CIF en faveur de l'inclusion financière et du renforcement de la résilience socio-économique des populations en Afrique de l'ouest. Se référant aux objectifs fixés, Stéphanie GUHA souligne qu'ils traduisent les priorités stratégiques de la Suisse à savoir, la sécurité alimentaire et le développement agricole ; l'innovation digitale ; l'équité et l'inclusion ; et la durabilité environnementale, en réduisant l'empreinte écologique des services financiers.
« En cofinançant le programme DigiCoop-Wa+, la Suisse partage une vision commune avec la CIF d'une inclusion financière élargie, équitable et durable, répondant aux aspirations des personnes vulnérables qui, trop souvent, restent à la marge du système financier classique », a-t-elle précisé en réitérant l'engagement de la coopération suisse à accompagner le processus dans « un esprit de partenariat et de redevabilité mutuelle ». Stéphanie GUHA a formulé le vœu d'une collaboration avec le Fonds national de développement agricole (FNDA), partenaire de la Suisse au Bénin sur l'inclusion financière.
Après avoir exprimé leur gratitude à la Suisse, les représentants du Conseil d'administration de la CIF et du Collège des directeurs généraux ont rassuré jouer leur partition pour l'atteinte des objectifs de cette seconde phase de DigiCoop-WA+.
D'un montant total de 7,694 milliards de francs CFA, cette seconde phase du programme regroupe les réseaux coopératifs de 5 pays de l'UEMOA à savoir, le RCPB du Burkina Faso, Kafo Jiginew et Nyèsigiso du Mali, FUCEC-TOGO du Togo, l'UM-PAMECAS du Sénégal, et la FECECAM-BENIN du Bénin.
F. A. A.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a annoncé, ce lundi sur les ondes de la Radio nationale, que l’Algérie […]
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L'Assemblée nationale du Bénin, à travers le Caucus des parlementaires pour l'élimination du paludisme, a organisé, vendredi 26 septembre 2025, une réunion multipartite de haut niveau pour le financement durable en faveur de l'élimination du paludisme, du VIH/Sida, de la tuberculose et du renforcement du système de santé. Un plaidoyer a été fait à cette occasion pour la 8ᵉ reconstitution des ressources du Fonds mondial, dans le cadre de la lutte contre ces pandémies.
Le Caucus des parlementaires pour l'élimination du paludisme fait un plaidoyer pour la huitième reconstitution des ressources du Fonds mondial. Une réunion multipartite de haut niveau a été tenue, vendredi 26 septembre dernier, à Cotonou, pour le financement durable en faveur de l'élimination du paludisme, du VIH/Sida, de la tuberculose et du renforcement du système de santé.
L'objectif de cette rencontre est de réfléchir avec le gouvernement, la société civile, le secteur privé et les partenaires techniques et financiers à la manière de jouer pleinement leur rôle dans le cadre de la lutte contre les grandes pandémies. L'initiative vise à réduire la mortalité due au VIH, à la tuberculose et au paludisme de 64 % d'ici 2029.
Plusieurs panels de discussion sur des thématiques telles que, l'état actuel des financements provenant du Fonds mondial ; les gaps liés au retrait des subventions américaines et aux coupes budgétaires du Fonds mondial ; l'impact des maladies sur les communautés sous l'angle des droits humains, de l'équité et du genre ; les grandes priorités des programmes de santé ciblés pour le prochain cycle ; et la réflexion collective autour du cofinancement du cycle 2027-2029, ont été présentés aux participants.
Les travaux de cette réunion ont été sanctionnés par un message de plaidoyer des parlementaires du Bénin pour la 8ᵉ reconstitution des ressources du Fonds mondial, lu par l'honorable Natondé AKÉ. Ils ont réitéré leur engagement à sauver des vies, protéger les communautés et construire une Afrique résiliente et en meilleure santé. Les élus du peuple ont également réaffirmé leur détermination à renforcer et accroître non seulement les ressources domestiques pour la santé, en particulier pour le financement durable de l'élimination du paludisme, du VIH et de la tuberculose, mais aussi, de soutenir les réformes et les lois garantissant un système de santé plus solide, plus équitable et plus accessible à tous les citoyens.
Profitant de l'occasion de ces assises, les parlementaires ont lancé un appel à tous les donateurs, missions diplomatiques, membres de la diaspora, gouvernements partenaires, investisseurs philanthropiques africains et leaders du secteur privé pour un engagement accru dans ce combat commun.
F. A. A.
Le Royaume-Uni envisage de resserrer l’accès au statut de résident permanent, en ajoutant des critères comme un niveau d’anglais avancé et la participation à des […]
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