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Afrique

Polycentric water governance in Mongolia: is it fit to contain pollution from mining?

In Mongolia, a mining boom has significantly increased pressures on water resources, negatively affecting human health and ecosystems. In this chapter, we ask how polycentric water governance and the interaction of different modes of coordination play out in Mongolia and what this implies for the protection of rivers against pollution from mining. By presenting a case study from a developing and transitioning country, this chapter also contributes to a better understanding of how contextual factors affect different coordination modes. We find that protecting rivers from mining pollution remains a considerable challenge in Mongolia. While new rules and actors at the basin level have fostered cooperation among public-sector agencies, due to power asymmetries, public agencies tend to avoid direct cooperation with mining companies. Instead, interaction with mining operators mainly happens through different types of hierarchical interrelations, but their effectiveness is undermined through lobbying, collusion, and corruption. Next to power asymmetries, economic, political, cultural, and environmental contextual factors constrain mining pollution abatement.

Polycentric water governance in Mongolia: is it fit to contain pollution from mining?

In Mongolia, a mining boom has significantly increased pressures on water resources, negatively affecting human health and ecosystems. In this chapter, we ask how polycentric water governance and the interaction of different modes of coordination play out in Mongolia and what this implies for the protection of rivers against pollution from mining. By presenting a case study from a developing and transitioning country, this chapter also contributes to a better understanding of how contextual factors affect different coordination modes. We find that protecting rivers from mining pollution remains a considerable challenge in Mongolia. While new rules and actors at the basin level have fostered cooperation among public-sector agencies, due to power asymmetries, public agencies tend to avoid direct cooperation with mining companies. Instead, interaction with mining operators mainly happens through different types of hierarchical interrelations, but their effectiveness is undermined through lobbying, collusion, and corruption. Next to power asymmetries, economic, political, cultural, and environmental contextual factors constrain mining pollution abatement.

Accord d'exemption de visa entre le Bénin et les Emirats Arabes Unis

24 Heures au Bénin - Thu, 09/25/2025 - 11:43

Exemption mutuelle de visa pour les citoyens des des Emirats Arabes Unis et du Bénin. Le mémorandum d'accord a été signé par Son Excellence Cheikh Shakhbout bin Nahyan Al Nahyan, ministre d'État des Émirats Arabes Unis, et Son Excellence Olushegun Adjadi Bakari, ministre des Affaires étrangères de la République du Bénin, en marge de la 80e session de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York.

L'accord d'exemption mutuelle de visa entre les deux pays a été signé par Son Excellence Cheikh Shakhbout bin Nahyan Al Nahyan, ministre d'État des Émirats Arabes Unis, et Son Excellence Olushegun Adjadi Bakari, ministre des Affaires étrangères de la République du Bénin.

Cet accord vise à renforcer la coopération bilatérale et à faciliter la mobilité des personnes entre les deux nations. Il contribuera au développement des relations diplomatiques, économiques et touristiques entre les Émirats Arabes Unis et le Bénin.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts continus des Émirats pour élargir leur réseau de partenariats internationaux et promouvoir les échanges avec les pays africains.

Categories: Afrique

Des poursuites judiciaires annoncées pour les propos haineux

24 Heures au Bénin - Thu, 09/25/2025 - 11:21

Le gouvernement béninois réagit face à la multiplication des insultes et des propos excessifs échangés en ligne entre citoyens béninois et gabonais. A travers un communiqué publié ce mercredi 24 septembre 2025, le gouvernement annonce que des poursuites judiciaires seront engagées à l'encontre de toute personne proférant des invectives ou des propos outrageants envers les autorités, ou incitant à la haine.

Categories: Afrique

2 Unités spéciales pour sécuriser biens culturels et sites balnéaires

24 Heures au Bénin - Thu, 09/25/2025 - 11:20

Le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, Jean-Michel Abimbola a reçu, mercredi 24 septembre 2025, les deux nouvelles unités spéciales de la Police républicaine dédiées à la protection du patrimoine culturel et des sites balnéaires.‎

‎Le Directeur Général de la Police républicaine, les commandants de l'Unité spéciale de protection des biens culturels et de l'Unité spéciale de protection des sites balnéaires - zones côtières ont rencontré, mercredi 24 septembre 2025, le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts en compagnie des directeurs techniques du Ministère.

‎Face à ses hôtes, le ministre Jean-Michel Abimbola a souligné l'importance des investissements consentis pour faire du Bénin une destination sûre et prisée. Le Bénin investit près de 2 000 milliards de FCFA en quinze ans pour faire du pays une destination culturelle et touristique de référence en Afrique. « Ce niveau d'investissement public est inédit sur notre continent », a affirmé le ministre du Tourisme, de la culture et des arts.

‎D'ici 2030, le Bénin vise 4 millions de visiteurs par an. « Un seul visiteur déçu, c'est peut-être cinq ans de travail ruinés », a averti Jean-Michel Abimbola, soulignant l'importance de l'Unité spéciale de protection des biens culturels et de l'Unité spéciale de protection des sites balnéaires - zones côtières. Il a rappelé que la loi de 2021 sur la protection du patrimoine culturel prévoyait la création de ces unités. « À travers ces deux unités, nous allons avoir des protocoles de sécurité et sûreté des musées et des sites patrimoniaux », a expliqué le ministre. Pour Jean-Michel Abimbola, le tourisme est « un indicateur de développement ».

‎Le directeur général de la Police républicaine, Kokou Brice Allowanou, a présenté officiellement les deux commandants désignés à la suite de l'appropriation des textes réglementaires portant création desdites Unités. « Depuis 2016, le volet tourisme et culture a connu des réformes majeures… Il fallait que le volet sécurité accompagne », a-t-il expliqué.

‎Le commissaire Richard Akodandé, enseignant d'histoire et désormais commandant de l'unité spéciale de protection des biens culturels, a détaillé les premières actions menées depuis mars 2025. À ses côtés, le commissaire Rock Eriola a présenté les interventions de l'unité chargée de la surveillance des zones balnéaires.

‎La rencontre, suivie en visioconférence par Alain Godonou, chargé de mission du président aux patrimoines et aux musées, s'est achevée par une séance de travail.
‎M. M.

Categories: Afrique

Le député guadeloupéen Olivier Serva naturalisé Béninois

24 Heures au Bénin - Thu, 09/25/2025 - 11:19

Le député Olivier Serva a obtenu la nationalité béninoise.

‎Le choix de Olivier Serva est symbolique. Il veut dénoncer la montée du racisme en France.

Le Bénin a adopté en 2024 une loi permettant aux descendants d'esclaves d'obtenir la nationalité. Serva, 51 ans, a saisi cette opportunité après un voyage au Bénin, terre d'origine de ses ancêtres. Grâce à des recherches généalogiques et un test ADN, ses racines au Dahomey ont été confirmées.

‎Lors de sa visite, le député découvre un pays en plein développement, tourné vers l'avenir. Il est particulièrement marqué par la statue monumentale d'une guerrière amazone, érigée à Cotonou. Mais c'est en marchant sur la route des esclaves, à Ouidah, qu'il vit un moment bouleversant. « Penser que mes aïeux ont traversé cela… », confie-t-il.

Face à la xénophobie en France
‎De retour en métropole, Serva s'alarme du climat actuel. Il dénonce les discours stigmatisants, les termes comme « Français de papiers » ou « submersion migratoire ». Il accuse certains responsables politiques, dont Bruno Retailleau, d'attiser la peur de l'autre.

Revendiquer son identité africaine‎
‎Olivier Serva siège aujourd'hui au groupe Liot et a cofondé le parti Utiles. Pour lui, assumer ses origines africaines est aussi une manière de rappeler que l'histoire de France est indissociable de celle de l'Afrique. « Ce n'est pas l'Afrique qui affaiblit la France, c'est l'oubli de son passé », a-t-il indiqué.

Categories: Afrique

Un vaste chantier de réhabilitation des universités publiques lancé

24 Heures au Bénin - Thu, 09/25/2025 - 11:18

Le gouvernement a donné, ce mercredi 24 septembre 2025 en Conseil des ministres, son feu vert à la contractualisation pour la réhabilitation des infrastructures dans plusieurs universités publiques du Bénin.

L'Université d'Abomey-Calavi (UAC), l'Université de Parakou, l'Université nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques (UNSTIM) notamment le campus de Lokossa, ainsi que l'Université nationale d'Agriculture seront réhabilitées bientôt.

Des travaux sont également prévus à l'École normale supérieure (ENS) de Porto-Novo, l'ENS de Natitingou et à la Faculté des Sciences de la Santé (FSS).

L'annonce a été faite, le 24 septembre 2025 en Conseil des ministres.

Selon le compte rendu du Conseil, « des dégradations ont été enregistrées sur des infrastructures administratives, pédagogiques et connexes » sur l'ensemble de ces sites.

Le gouvernement justifie cette décision par la nécessité d'« améliorer à terme, les capacités d'accueil » d'offrir aux étudiants « un bon cadre de travail, toutes choses contribuant à améliorer leurs performances ».

Pour garantir une exécution rapide et conforme des travaux, « le Conseil a autorisé la contractualisation avec diverses entreprises, à charge pour les ministres concernés de veiller au respect de leurs cahiers des charges ».

Categories: Afrique

Un accord d'exemption de visa entre le Bénin et le Tchad

24 Heures au Bénin - Thu, 09/25/2025 - 11:15

Le Bénin et le Tchad franchissent un nouveau cap dans leur coopération. En marge de la 80ᵉ Assemblée générale des Nations unies à New York, les deux pays ont signé, mercredi 24 septembre 2025, un accord d'exemption de visa.

Grâce à un accord d'exemption de visa, les ressortissants du Bénin et du Tchad peuvent circuler librement entre les deux territoires. L'accord a été conclu entre le Ministre d'Etat tchadien en charge des Affaires étrangères, Dr Abdoulaye Sabre Fadoul, et le chef de la diplomatie béninoise, Olushegun Adjadi Bakari. Cet engagement marque une étape majeure dans le rapprochement entre les deux nations.

Au-delà de cette mesure facilitant la mobilité, les discussions entre les deux ministres ont porté sur des sujets d'intérêt commun pour le renforcement de la coopération bilatérale.

Dans cette dynamique, le Tchad a annoncé l'ouverture prochaine d'une ambassade au Bénin, qui viendra remplacer le Consulat général. De son côté, le Bénin prévoit installer une représentation diplomatique à N'Djaména.

A.A.A

Categories: Afrique

Gemeinschaftsdiagnose Herbst 2025: Expansive Finanzpolitik kaschiert Wachstumsschwäche

Pressemitteilung der Projektgruppe Gemeinschaftsdiagnose: Deutsches Institut für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin), ifo Institut – Leibniz-Institut für Wirtschaftsforschung an der Universität München e. V. in Kooperation mit dem Österreichischen Institut für Wirt­schaftsforschung (WIFO), Kiel ...

La Pologne cherche à contourner l’OTAN et l’UE pour abattre des drones au dessus de l’Ukraine

Euractiv.fr - Thu, 09/25/2025 - 09:19

Varsovie s’apprête à donner à son armée l’autorisation d’abattre des drones russes au-dessus de l’Ukraine sans attendre l’approbation de l’OTAN ou de l’UE.

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Categories: Afrique, Union européenne

IFMBTP/CONIDA ВТР DCE offre l'opportunité à six étudiants béninois

24 Heures au Bénin - Thu, 09/25/2025 - 09:00

Six étudiants béninois bénéficiaires d'une bourse de formation aux métiers du BTP ont atterri au Maroc, ce jeudi 25 septembre 2025, dans le cadre d'un accord de partenariat intervenu le 09 mai 2025 entre l'Association professionnelle dénommée Coordination Nationale de l'Interprofession des acteurs du secteur BTP pour le Développement des Compétences et de l'Émergence du secteur (CONIDA ВТР DCE) et l'Institut de Formation aux Métiers du Bâtiments et Travaux Publics (IFMBTP) de Fès (Maroc).

Les étudiants béninois (cinq filles et un garçon) ont été accueillis au Maroc, ce jeudi, dans le cadre d'un programme de formation professionnelle aux métiers du bâtiment et des travaux publics (BTP).
Ce programme de formation fait suite à un accord de partenariat intervenu le 09 mai 2025 entre CONIDA ВТР DCE et IFMBTP de Fès (Maroc).

Ces étudiants ont été admis à l'Institut de Formation aux Métiers du BTP (IFMBTP) de Fès, où ils suivront un cursus spécialisé visant à leur donner des compétences techniques dans les métiers choisis et à favoriser leur insertion professionnelle à leur retour au Bénin.
CONIDA ВТР DCE et ENABEL Bénin prennent en charge les frais de voyage et forfait de subsistance des bénéficiaires.

‘'Leur séjour au Maroc s'inscrit dans une dynamique de coopération entre nos deux pays, et nous sommes convaincus que cette formation contribuera significativement au développement du secteur BTP au Bénin'', a déclaré Badirou Kouféidji, président du CONIDA ВТР DCE.
C'est la première fois que cette association professionnelle décroche des bourses d'études pour de jeunes étudiants pour la formation de techniciens en BTP. Cette première promotion est baptisée “Zounon Désiré” du nom de feu l'ancien secrétaire général de l'association qui avait entamé ces négociations.

“Je suis très honorée d'avoir été choisie par mon pays pour participer à cette formation de l'IFMBTP. Je remercie l'université de nous accueillir, de nous offrir ces deux ans de formation qui nous aiderons pour le développement de notre pays surtout dans le domaine des BTP.”, a déclaré l'une des bénéficiaires SANNY Romanelle. Le même sentiment a été exprimé par son camarade. “Je suis aussi très honoré de faire partie de ce projet. C'est une vraie opportunité pour nous d'avoir cette formation et faire partie des meilleurs là-bas, revenir au pays et être capable de relever plusieurs défis ici au Bénin.”, a ajouté COFFI K. Amen.

Par rapport au grand nombre de filles sélectionnées parmi les bénéficiaires, la Cheffe Projet de promotion des filles et des femmes dans les métiers maritimes et portuaires du PAC a donné quelques explications. “On s'est rendu compte que dans l'économie bleue, c'est-à-dire sur toute la plateforme portuaire, les femmes sont presque inexistantes et très faiblement représentées dans les métiers essentiels qui sont souvent fait pas les hommes comme les métiers de BTP, de spécialité de digitalisation, de mécanique, d'électricité, les métiers qui rendent également service aux navires.”, a expliqué CATRAYE Pauline épse Mèdagbé.

“Aujourd'hui, nous sommes vraiment très contents d'accompagner les pionniers. La première promotion qui a pu saisir l'opportunité de faire le voyage sur le Maroc. Nous souhaitons qu'ils reviennent bien formés, compétents et prêts à être employés par nos entreprises, pour impacter le développement de notre pays. “, a-t-elle indiqué.

Selon le Secrétaire général de CONIDA ВТР DCE, c'est la première fois qu'une organisation professionnelle des BTP mobilise des bourses de formation au profit des jeunes étudiants béninois. “Nous attendons beaucoup de ces jeunes-là, qu'ils nous reviennent avec une formation solide pour qu'on puisse les utiliser au sein de nos entreprises, au sein de nos Bureaux d'études ou comme dans d'autres administrations telles que le Port, la SIRAT, la SIMAU, etc.“, a-t-il souligné.

“C'est une fierté pour nous de participer à cette initiative. Et je remercie sincèrement le président qui a été celui que nous avons désigné au sein du Conida BTP-DCE pour conduire le processus. “, a conclu Bertin K. Assogba Nongnide.

Categories: Afrique

Tax expenditures country report: Colombia

Tax expenditures (TEs) in Colombia accounted for approximately 7.8% of Gross Domestic Product (GDP) in 2022, broken down as follows: the fiscal cost of this expenditure was 0.6% in terms of personal income tax and 1.5% in terms of corporate income tax. The remaining 5.6% corresponded to VAT. In total, this represents a four-percentage-point increase on the previous year.
This report stresses the need to review TEs. Such an evaluation was already crucial before the pandemic, but has now become all the more urgent in the wake of COVID-19 and its impact on inequality and state revenue.
Transparency: there is no comprehensive data available on TEs in Colombia and the data that does exist is not accessible to researchers or the general public. In several cases, information is patchy or aggregated, making it difficult to evaluate.
Complex fiscal landscape: the Colombian tax system is complex, due in part to the numerous special exemptions, exclusions and deductions inherent in the regulatory framework. This complicates matters in terms of tax compliance, oversight and auditing.
Evaluation challenges: Colombia had no defined benchmark for determining its TE. While initial work was undertaken in mid-2024 to define a benchmark for income tax and VAT, the disaggregated report is not available at the time of writing this analysis. Additionally, the absence of effective and ongoing assessment to determine the appropriateness of tax benefits has led to an accumulation of incentives, many of them unjustified, and an increase in the country’s TE.
Fiscal sustainability: limited tax collection is impinging on the ability of the Colombian state to maintain healthy public finances and comply with its fiscal rule. This is not only the result of a stagnating economy, but also stems from numerous tax benefits that drive up TE. These benefits already corresponded to 7.4% and 7.8% of GDP in 2021 and 2022 respectively.
Policy recommendations: there is a need to restructure the Colombian tax system to make it more efficient, sustainable and equitable. Tax benefits must be reviewed and, in some cases, progressively removed in order to help achieve tax justice and streamline the system.

 

Tax expenditures country report: Colombia

Tax expenditures (TEs) in Colombia accounted for approximately 7.8% of Gross Domestic Product (GDP) in 2022, broken down as follows: the fiscal cost of this expenditure was 0.6% in terms of personal income tax and 1.5% in terms of corporate income tax. The remaining 5.6% corresponded to VAT. In total, this represents a four-percentage-point increase on the previous year.
This report stresses the need to review TEs. Such an evaluation was already crucial before the pandemic, but has now become all the more urgent in the wake of COVID-19 and its impact on inequality and state revenue.
Transparency: there is no comprehensive data available on TEs in Colombia and the data that does exist is not accessible to researchers or the general public. In several cases, information is patchy or aggregated, making it difficult to evaluate.
Complex fiscal landscape: the Colombian tax system is complex, due in part to the numerous special exemptions, exclusions and deductions inherent in the regulatory framework. This complicates matters in terms of tax compliance, oversight and auditing.
Evaluation challenges: Colombia had no defined benchmark for determining its TE. While initial work was undertaken in mid-2024 to define a benchmark for income tax and VAT, the disaggregated report is not available at the time of writing this analysis. Additionally, the absence of effective and ongoing assessment to determine the appropriateness of tax benefits has led to an accumulation of incentives, many of them unjustified, and an increase in the country’s TE.
Fiscal sustainability: limited tax collection is impinging on the ability of the Colombian state to maintain healthy public finances and comply with its fiscal rule. This is not only the result of a stagnating economy, but also stems from numerous tax benefits that drive up TE. These benefits already corresponded to 7.4% and 7.8% of GDP in 2021 and 2022 respectively.
Policy recommendations: there is a need to restructure the Colombian tax system to make it more efficient, sustainable and equitable. Tax benefits must be reviewed and, in some cases, progressively removed in order to help achieve tax justice and streamline the system.

 

Tax expenditures country report: Colombia

Tax expenditures (TEs) in Colombia accounted for approximately 7.8% of Gross Domestic Product (GDP) in 2022, broken down as follows: the fiscal cost of this expenditure was 0.6% in terms of personal income tax and 1.5% in terms of corporate income tax. The remaining 5.6% corresponded to VAT. In total, this represents a four-percentage-point increase on the previous year.
This report stresses the need to review TEs. Such an evaluation was already crucial before the pandemic, but has now become all the more urgent in the wake of COVID-19 and its impact on inequality and state revenue.
Transparency: there is no comprehensive data available on TEs in Colombia and the data that does exist is not accessible to researchers or the general public. In several cases, information is patchy or aggregated, making it difficult to evaluate.
Complex fiscal landscape: the Colombian tax system is complex, due in part to the numerous special exemptions, exclusions and deductions inherent in the regulatory framework. This complicates matters in terms of tax compliance, oversight and auditing.
Evaluation challenges: Colombia had no defined benchmark for determining its TE. While initial work was undertaken in mid-2024 to define a benchmark for income tax and VAT, the disaggregated report is not available at the time of writing this analysis. Additionally, the absence of effective and ongoing assessment to determine the appropriateness of tax benefits has led to an accumulation of incentives, many of them unjustified, and an increase in the country’s TE.
Fiscal sustainability: limited tax collection is impinging on the ability of the Colombian state to maintain healthy public finances and comply with its fiscal rule. This is not only the result of a stagnating economy, but also stems from numerous tax benefits that drive up TE. These benefits already corresponded to 7.4% and 7.8% of GDP in 2021 and 2022 respectively.
Policy recommendations: there is a need to restructure the Colombian tax system to make it more efficient, sustainable and equitable. Tax benefits must be reviewed and, in some cases, progressively removed in order to help achieve tax justice and streamline the system.

 

Réfugiés Balkans | Les dernières infos • Grèce : 145 migrants secourus au large de la Crète

Courrier des Balkans / Bosnie-Herzégovine - Thu, 09/25/2025 - 08:15

La route des Balkans reste toujours l'une des principales voies d'accès l'Union européenne, pour les exilés du Proche et du Moyen Orient, d'Afrique ou d'Asie. Alors que les frontières Schengen se ferment, Frontex se déploie dans les Balkans, qui sont toujours un « sas d'accès » à la « forteresse Europe ». Notre fil d'infos en continu.

- Le fil de l'Info / , , , , , , , , , , , , , , , ,

Informe sobre gastos tributarios: Colombia

En 2022, los gastos tributarios (GTs) en Colombia representaron aproximadamente el 7.8% del PIB, desglosándose de la siguiente manera: el costo fiscal de estos gastos en el impuesto sobre la renta fue del 0.6% para personas naturales y del 1.5% para personas jurídicas. El otro 5.6% corresponde al IVA. Este total representa un aumento de 4 puntos porcentuales en comparación con el año anterior.
Este informe destaca la necesidad de revisar los GTs, una evaluación que ya era crucial antes de la pandemia, pero que se ha vuelto aún más urgente en el contexto post-COVID-19, dado su impacto en la desigualdad y en los ingresos estatales.
Transparencia: La información sobre GTs en Colombia no es detallada ni accesible para los ciudadanos o los investigadores. En algunos casos está dispersa o solo se dispone de información agregada, lo que dificulta su evaluación.
Escenario fiscal complejo: El sistema tributario colombiano es complejo, en parte, debido a las numerosas exenciones, exclusiones y deducciones especiales presentes en la regulación, lo que complejiza el cumplimiento tributario y el proceso de fiscalización y control.
Desafíos en la evaluación: Colombia no tenía definido su sistema de referencia (Benchmark) para la determinación del gasto tributario (GT). A mediados de 2024 se realizó el primer acercamiento a dicha definición para el impuesto sobre la renta y para el IVA, pero, al momento de este análisis no está disponible el informe desagregado. Sumado a ello, los beneficios tributarios no son objeto de una evaluación permanente y efectiva que permita determinar su pertinencia, lo que ha generado una acumulación de incentivos, muchas veces injustificados y que implican un elevado GT para el país.
Sostenibilidad fiscal: La capacidad del Estado colombiano para mantener unas finanzas saludables y cumplir con la regla fiscal se está viendo afectada por el escaso recaudo tributario. Esto se debe no solo al estancamiento de la economía sino, a la existencia de numerosos beneficios impositivos que conducen a un elevado GT que, solo en 2021 y 2022 representó 7.4% y 7.8% del PIB respectivamente.
Recomendaciones de política: en Colombia se requiere una reestructuración del sistema tributario para hacerlo más eficiente, sostenible y equitativo. Los beneficios tributarios se deben evaluar y, en ciertos casos, desmontar gradualmente con el fin de contribuir a la justicia tributaria y a la simplicidad del sistema.

Informe sobre gastos tributarios: Colombia

En 2022, los gastos tributarios (GTs) en Colombia representaron aproximadamente el 7.8% del PIB, desglosándose de la siguiente manera: el costo fiscal de estos gastos en el impuesto sobre la renta fue del 0.6% para personas naturales y del 1.5% para personas jurídicas. El otro 5.6% corresponde al IVA. Este total representa un aumento de 4 puntos porcentuales en comparación con el año anterior.
Este informe destaca la necesidad de revisar los GTs, una evaluación que ya era crucial antes de la pandemia, pero que se ha vuelto aún más urgente en el contexto post-COVID-19, dado su impacto en la desigualdad y en los ingresos estatales.
Transparencia: La información sobre GTs en Colombia no es detallada ni accesible para los ciudadanos o los investigadores. En algunos casos está dispersa o solo se dispone de información agregada, lo que dificulta su evaluación.
Escenario fiscal complejo: El sistema tributario colombiano es complejo, en parte, debido a las numerosas exenciones, exclusiones y deducciones especiales presentes en la regulación, lo que complejiza el cumplimiento tributario y el proceso de fiscalización y control.
Desafíos en la evaluación: Colombia no tenía definido su sistema de referencia (Benchmark) para la determinación del gasto tributario (GT). A mediados de 2024 se realizó el primer acercamiento a dicha definición para el impuesto sobre la renta y para el IVA, pero, al momento de este análisis no está disponible el informe desagregado. Sumado a ello, los beneficios tributarios no son objeto de una evaluación permanente y efectiva que permita determinar su pertinencia, lo que ha generado una acumulación de incentivos, muchas veces injustificados y que implican un elevado GT para el país.
Sostenibilidad fiscal: La capacidad del Estado colombiano para mantener unas finanzas saludables y cumplir con la regla fiscal se está viendo afectada por el escaso recaudo tributario. Esto se debe no solo al estancamiento de la economía sino, a la existencia de numerosos beneficios impositivos que conducen a un elevado GT que, solo en 2021 y 2022 representó 7.4% y 7.8% del PIB respectivamente.
Recomendaciones de política: en Colombia se requiere una reestructuración del sistema tributario para hacerlo más eficiente, sostenible y equitativo. Los beneficios tributarios se deben evaluar y, en ciertos casos, desmontar gradualmente con el fin de contribuir a la justicia tributaria y a la simplicidad del sistema.

Informe sobre gastos tributarios: Colombia

En 2022, los gastos tributarios (GTs) en Colombia representaron aproximadamente el 7.8% del PIB, desglosándose de la siguiente manera: el costo fiscal de estos gastos en el impuesto sobre la renta fue del 0.6% para personas naturales y del 1.5% para personas jurídicas. El otro 5.6% corresponde al IVA. Este total representa un aumento de 4 puntos porcentuales en comparación con el año anterior.
Este informe destaca la necesidad de revisar los GTs, una evaluación que ya era crucial antes de la pandemia, pero que se ha vuelto aún más urgente en el contexto post-COVID-19, dado su impacto en la desigualdad y en los ingresos estatales.
Transparencia: La información sobre GTs en Colombia no es detallada ni accesible para los ciudadanos o los investigadores. En algunos casos está dispersa o solo se dispone de información agregada, lo que dificulta su evaluación.
Escenario fiscal complejo: El sistema tributario colombiano es complejo, en parte, debido a las numerosas exenciones, exclusiones y deducciones especiales presentes en la regulación, lo que complejiza el cumplimiento tributario y el proceso de fiscalización y control.
Desafíos en la evaluación: Colombia no tenía definido su sistema de referencia (Benchmark) para la determinación del gasto tributario (GT). A mediados de 2024 se realizó el primer acercamiento a dicha definición para el impuesto sobre la renta y para el IVA, pero, al momento de este análisis no está disponible el informe desagregado. Sumado a ello, los beneficios tributarios no son objeto de una evaluación permanente y efectiva que permita determinar su pertinencia, lo que ha generado una acumulación de incentivos, muchas veces injustificados y que implican un elevado GT para el país.
Sostenibilidad fiscal: La capacidad del Estado colombiano para mantener unas finanzas saludables y cumplir con la regla fiscal se está viendo afectada por el escaso recaudo tributario. Esto se debe no solo al estancamiento de la economía sino, a la existencia de numerosos beneficios impositivos que conducen a un elevado GT que, solo en 2021 y 2022 representó 7.4% y 7.8% del PIB respectivamente.
Recomendaciones de política: en Colombia se requiere una reestructuración del sistema tributario para hacerlo más eficiente, sostenible y equitativo. Los beneficios tributarios se deben evaluar y, en ciertos casos, desmontar gradualmente con el fin de contribuir a la justicia tributaria y a la simplicidad del sistema.

Inaugural Forum on Africa and the Global Order: A Focus on the G20

European Peace Institute / News - Thu, 09/25/2025 - 02:35
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In partnership with the government of South Africa, the African Union, and the Institute for Justice and Reconciliation, IPI co-hosted the inaugural forum on “Africa and the Global Order” under the theme Reform of the Global Financial Architecture: G20 Imperatives for Sustainable Debt and Inclusive Growth. This year’s G20 carries both substantive and symbolic weight, as it is the first ever hosted by an African country. Taking place at the end of South Africa’s presidency and ahead of the November summit, the event reflected on South Africa’s progress in advancing its stated priorities, particularly on debt sustainability and inclusivity in the global financial architecture.

The event was chaired by IPI President Zeid Ra’ad Al Hussein and co-hosted by the governments of South Africa and the African Union, represented respectively by Ronald Ozzy Lamola, Minister of International Relations and Cooperation of South Africa, and Téte António, Minister of External Relations of the Republic of Angola and Chair of the Executive Council of the African Union. 

Participants had a frank discussion on regional issues held under the Chatham House Rule.

Atendees included Gesa Bräutigam, Director for Sub-Saharan Africa and the Sahel at the Federal Foreign Office, Germany; Márcio Burity, Political Advisor to the Minister of External Relations of Angola; Işıl Cemali Doğan, Deputy Directorate General for Multilateral Economic Affairs at the Ministry of Foreign Affairs of Türkiye; Berris Ekinci, Deputy Minister of Foreign Affairs of the Republic of Türkiye; Philip Fox-Drummond Gough, Secretary for Economic and Financial Affairs in the Ministry of External Relations of the Federative Republic of Brazil; Shambhu Hakki, Joint Secretary in the Ministry of External Affairs of the Republic of India; Freya Jackson, Director of Multilateral and Human Rights at the Foreign, Commonwealth, and Development Office of the United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland; Mathu Joyini, Permanent Representative of the Republic of South Africa to the United Nations; Thani Mohamed-Soilihi, Minister Delegate for Francophonie and International Partnerships of the French Republic; Masotsha Mnguni, Director of Economic Development at the Department of International Relations and Cooperation (DIRCO) and G20 Project Coordinator, South Africa; Stephen Del Rosso, Vice President, International Program at the Carnegie Corporation of New York; Hedda Samson, Deputy Head of the Delegation of the European Union to the United Nations; and Thomas Schnöll, Permanent Observer for the Organisation for Economic Cooperation and Development to the United Nations (OECD).

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Journée d'étude : les 30 ans des accords de Dayton

Courrier des Balkans / Bosnie-Herzégovine - Wed, 09/24/2025 - 23:59

Lien zoom :
https://univ-amu-fr.zoom.us/j/99698494397?pwd=ODlFEJx4aCXgygCiAWKJHxRF3kLqFP.1

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