De nouveaux bureaux seront construits améliorer les services de la Direction des Impôts. L'annonce a été faite ce mercredi 10 décembre 2025, en Conseil des ministres.
Le gouvernement poursuit la modernisation de l'administration fiscale avec le lancement de plusieurs chantiers destinés à améliorer les conditions de travail des agents et la qualité de service offerte aux contribuables. Réuni en Conseil des ministres, l'Exécutif a validé la construction de nouveaux bureaux au profit de la Direction générale des Impôts. Selon le Conseil des ministres, il Il s'agit, d'une part, d'ériger les centres des impôts pour les moyennes entreprises du littoral 2 et de l'Atlantique ; les infrastructures dédiées aux petites entreprises de la commune d'Abomey Calavi puis, d'autre part, procéder à l'achèvement du bâtiment R+3 devant abriter la Recette des Finances de l'Atlantique.
Ces investissements répondent aux besoins opérationnels actuels de l'administration fiscale et s'inscrivent dans une stratégie plus large visant à optimiser l'efficacité et la sécurité. L'objectif est aussi d'améliorer les performances internes des équipes et offrir aux usagers un environnement plus accueillant et fonctionnel.
Pour garantir une exécution rigoureuse des travaux, le Conseil des ministres a donné son accord pour la contractualisation avec des sociétés expérimentées. Celles-ci assureront, selon les cas, la maîtrise d'œuvre complète, la maîtrise d'ouvrage déléguée ou encore le contrôle technique.
A. A. A
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Le “Caftan Marocain : arts, traditions et savoir-faire” est désormais inscrit sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. La décision a été adoptée ce mercredi 10 décembre 2025 par le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO, réuni en sa 20ème session à New Delhi, en Inde.
Cette reconnaissance internationale du “Caftan Marocain : arts, traditions et savoir-faire”, comme patrimoine de l'UNESCO, traduit l'estime de la communauté internationale pour la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, en faveur de la préservation du patrimoine culturel, de la mise en valeur des expressions artistiques authentiques et de la sauvegarde des savoir-faire traditionnels en tant que leviers essentiels du développement durable et de la cohésion sociale.
L'inscription de ce patrimoine immatériel du Royaume consacre, ainsi, la richesse séculaire du caftan marocain, témoin vivant de l'histoire du Royaume, de son identité plurielle et de son génie créatif. Porté et préservé à travers les générations, le caftan constitue un symbole d'élégance, de raffinement et de transmission des savoir-faire artisanaux uniques à travers les régions du Maroc.
Cette reconnaissance reflète également le rôle actif et constructif du Royaume du Maroc au sein de l'UNESCO, ainsi que son engagement constant pour la protection et la promotion du patrimoine culturel immatériel, dans toute sa diversité et sa profondeur historique.
À travers cette décision, le Comité du patrimoine immatériel de l'UNESCO salue la contribution du Maroc à la préservation d'un patrimoine vivant où se conjuguent créativité, identité et transmission intergénérationnelle, et qui continue d'enrichir le dialogue interculturel et la compréhension mutuelle entre les peuples.
Le Royaume du Maroc poursuivra, dans le cadre de cette reconnaissance, ses efforts en faveur de la sauvegarde, de la valorisation et de la transmission des savoir-faire liés au caftan marocain, et réaffirme son attachement aux valeurs universelle, de diversité culturelle et de respect mutuel et qui sont au cœur du mandat de l'UNESCO.
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Les Émirats arabes unis annoncent un nouvel engagement de 550 millions de dollars pour soutenir le Plan de réponse humanitaire des Nations Unies pour 2026.
Sur les directives de Son Altesse Cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyan, Président de l'État, qu'Allah le préserve, les Émirats arabes unis ont annoncé un nouvel engagement de 550 millions de dollars américains en soutien au Plan de réponse humanitaire global des Nations Unies pour l'année 2026, qui vise à mobiliser 33 milliards de dollars afin de fournir une aide urgente à près de 135 millions de personnes dans 23 opérations humanitaires à travers le monde, ainsi que des programmes dédiés aux réfugiés et aux migrants. Les priorités immédiates se concentrent sur la sauvegarde de 87 millions de personnes ayant besoin d'une assistance urgente évaluée à 23 milliards de dollars.
Cette initiative reflète l'engagement constant des Émirats arabes unis en faveur des efforts internationaux visant à sauver des vies et à répondre aux catastrophes et crises touchant les populations les plus vulnérables à travers le monde. Elle confirme également la coopération étroite entre les Émirats et les agences des Nations Unies, notamment le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), afin de garantir l'acheminement rapide et efficace de l'aide à ceux qui en ont le plus besoin, conformément aux directives de la direction émiratie accordant la priorité à une réponse humanitaire rapide et efficace.
Dans ce contexte, Son Excellence Reem bint Ibrahim Al Hashimy, Ministre d'État à la Coopération internationale, a déclaré :
« Les Émirats arabes unis réaffirment leur engagement durable envers les efforts humanitaires mondiaux, en travaillant avec nos partenaires au sein des Nations Unies pour garantir l'accès de l'aide aux populations les plus touchées. Ce nouvel engagement incarne les directives de Son Altesse Cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyan, Président de l'État, qu'Allah le préserve, ainsi que notre profonde conviction de la nécessité d'une solidarité internationale et d'une réponse urgente, efficace et durable, qui préserve la dignité humaine et protège les vies. »
De son côté, Tom Fletcher, Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d'urgence au sein de l'OCHA, a salué le soutien émirien, affirmant :
« Notre appel mondial vise à sauver des vies dans les zones les plus touchées et à transformer les plans en protection réelle sur le terrain. Le soutien généreux et rapide apporté par les Émirats arabes unis au plan 2026 envoie un message fort, centré sur l'aide à ceux qui en ont le plus besoin. Il est de notre devoir de fournir une réponse efficace et innovante, adaptée aux défis actuels. »
Le lieutenant-colonel Pascal Tigri, auteur du coup d'Etat déjoué au Bénin, dimanche 7 décembre dernier, a trouvé refuge dans un état voisin.
Le chef de la mutinerie de dimanche dernier au Bénin a réussi à s'échapper pour se réfugier à quelques kilomètres de Cotonou de l'autre côté de la frontière . Selon des sources confidentielles, un mandat sera émis auprès de l'Interpol pour demander son extradition.
Depuis dimanche dernier, le lieutenant-colonel Pascal Tigri et ses complices sont recherchés par les Forces de défense et de sécurité pour la tentative de coup d'Etat visant à remettre en cause l'ordre constitutionnel au Bénin.
Plusieurs personnes sont arrêtées et d'autres recherchées.
La tentative de putsch survenue au Bénin le 7 décembre 2025 n'a pas seulement mis à l'épreuve les dispositifs sécuritaires de l'État. Elle a surtout révélé, avec une intensité rare, la puissance de la désinformation contemporaine dans les contextes de crise politique. Quelques heures après l'apparition de militaires se présentant comme putschistes à la télévision nationale, le jour même des faits, l'espace informationnel béninois et régional a été saturé de rumeurs, d'affirmations contradictoires et de récits concurrents.
Comprendre la désinformation en contexte de crise politique
La désinformation désigne un processus consistant à produire, amplifier ou orienter des récits trompeurs afin d'influencer les perceptions, d'alimenter la confusion ou defragiliser la confiance dans les institutions. En période de tentative de coup d'État, ce phénomène s'intensifie mécaniquement.
Une apparition télévisée, puis une prolifération immédiate de récits contradictoires
L'intervention de militaires à la télévision nationale, limitée dans le temps, a constitué un choc symbolique. Dans les heures qui ont suivi, les réseaux sociaux sont devenus le
principal théâtre de la bataille des récits.
Rumeur n°1 : Le putsch aurait renversé le président Patrice Talon
Une vidéo militante a affirmé la chute du pouvoir. Les faits établissent pourtant que le président est demeuré en sécurité et que les institutions ont continué de fonctionner.
Rumeur n°2 : Une armée béninoise divisée ou neutralisée
Les éléments vérifiés indiquent une armée structurée, loyale et rapidement mobilisée, contredisant toute hypothèse d'effondrement.
Rumeur n°3 : Une CEDEAO silencieuse
Les communications officielles de la CEDEAO ont condamné la tentative et confirmé l'activation des mécanismes régionaux, notamment avec le Nigeria.
Rumeur n°4 : Une intervention occulte de la France
Les sources concordantes indiquent un appui diplomatique officiel, sans engagement militaire direct.
Rumeur n°5 : Un Comité militaire pour la refondation au pouvoir
Aucune institution n'a reconnu ce comité et aucun contrôle effectif n'a été constaté.
La réponse institutionnelle
Les autorités béninoises ont rétabli la chronologie, confirmé la sécurité du chef de l'État et rappelé la loyauté des forces armées.
Le rôle des médias béninois
Les médias professionnels ont ralenti le flux, croisé les sources et refusé les contenus non vérifiés.
Conclusion
La tentative de putsch a échoué rapidement sur le plan sécuritaire. La désinformation, elle, a prospéré durant plusieurs heures, soulignant l'importance stratégique du fact-checking
Karine Oriot
Le commissaire de police Landry Bignon Delcoz Kindjanhoundé à l'origine d'une vidéo pamphlétaire a été interpellé ce mardi 9 décembre 2025.
Moins de 24 heures après la diffusion de sa vidéo hostile contre le pouvoir, le commissaire de police, identifié sous le nom de Landry Bignon Delcoz Kindjanhoundé a été interpellé.
L'officier de police apparaissait dans une courte séquence diffusée sur les réseaux sociaux le 8 décembre. Dans cette vidéo, il s'en prenait vivement au chef de l'État et exigeait sa démission.
« Moi, capitaine Kindjanhoudé, je lui donne 24 heures pour déposer sa démission. Lui et toute sa clique, son gouvernement y compris », déclare-t-il dans la vidéo.
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Many sub-Saharan African countries are increasingly adopting national health insurance policies to improve access to essential services. Informal sector workers, however, often lack coverage because their earnings are typically not low enough to qualify for government subsidies but insufficient to cover insurance premiums, resulting in a phenomenon known as "missing middle". This paper examined socioeconomic inequalities in national health insurance enrolment and determinants of participation among informal sector workers in Kenya. We used nationally representative cross-sectional household survey data (n = 5168) collected from informal sector workers in Kenya in December 2020. First, we examined levels of national health insurance enrolment among informal sector workers. Second, we examined socioeconomic inequalities in national health insurance enrolment using concentration curves and the Wagstaff index. Third, we employed a three-level mixed effects logistic regression model to assess the determinants of national health insurance enrolment. Overall, 21.75% (95% Confidence Interval 20.63–22.89) of informal sector workers in Kenya were enrolled in the national health insurance scheme. We observed pro-rich inequalities in national health insurance enrolment, with a concentration index of 0.35 (95% CI 0.30–0.41). Older age (adjusted odds ratio (AOR) = 1.66, 95% CI 1.31–2.10), employment in the non-agricultural sector (AOR = 1.96, 95% CI 1.60–2.39), microfinance institutional membership (AOR = 1.44, 95% CI 1.23–1.69), higher education level (AOR = 2.49, 95% CI 1.99–3.11), household’s prior positive experience with healthcare (AOR = 1.45, 95% CI 1.22–1.72), and higher socioeconomic status based on the wealth asset index (AOR = 3.87, 95% CI 2.97–5.05) were all significantly positively associated with national health insurance enrolment. Larger households had lower odds of enrollment (AOR = 0.76, 95% CI 0.60–0.96). Our findings suggest that enrollment rates among informal sector workers remain low, and important pro-rich inequalities prevail. Economic factors, education, and prior experience with healthcare services were key drivers of national health insurance enrollment. Further policies are needed to increase enrollment among informal sector workers, including differential premium levels, reliance on expanded targeted subsidies, and enhanced awareness campaigns. Our findings are also applicable to other low-resource settings experiencing conditions similar to those in Kenya as they transition toward national health insurance policies, with the goal of achieving universal health coverage.
La Fondation Ladima annonce l'ouverture des inscriptions pour l'édition 2026 du Prix Adiaha du Meilleur Documentaire réalisé par une Femme Africaine.
Du 10 décembre 2025 au 10 mars 2026, les femmes africaines, vivant et/ou travaillant sur le continent peuvent s'inscrire pour remporter le prestigieux Prix Adiaha du Meilleur Documentaire réalisé par une Femme Africaine.
Les inscriptions sont désormais ouvertes sur Film Freeway.
Le gagnant remportera un prix en espèces de 2 000 $. Pour cette 8e édition du prix, la Fondation Ladima est en partenariat avec Afrikama- Current Cinema From Africa.
Le cinéaste gagnant sera invité à l'événement pour projeter son film et participer à des opportunités de réseautage et médiatiques. Le festival Afrikama s'engage depuis 2007 en faveur du dialogue interculturel entre l'Afrique et l'Allemagne et se considère comme une plateforme permanente de dialogue entre les cinéastes africains et le public berlinois, ainsi qu'un lieu d'échange entre les cinéastes, les producteurs et les distributeurs.
De 2024 à 2027, Afrikama- Current Cinema From Africa se concentre sur des perspectives diverses, inspirantes, novatrices et parfois contradictoires sur les questions sociales et politiques clés du présent et de l'avenir du continent africain, avec ses quatre thèmes principaux : Croire, Changer, Réfléchir et Créer.
Le Prix Adiaha pour les Réalisatrices de Documentaires Africaines a été lancé au Festival International du Film de Zanzibar en 2018 et y a été décerné jusqu'en 2019. Les éditions de 2020 à 2024 du Prix ont été présentées dans le cadre du Festival International du Film Documentaire Encounters, en Afrique du Sud, l'édition de 2025 se déroulant en ligne.
Au fil des années, le Prix Adiaha est devenu une distinction prestigieuse et a vu de nombreux lauréats remporter des prix dans des festivals à travers le monde. Les lauréats précédents incluent Miki Redelinghuys, Pearlie Joubert : Mother City (2025), Zippy Kimundu et Meena Nanji : Our Land, Our Freedom (2024) et Cyrielle Raingou : Le Spectre de Boko Haram (2023).
À PROPOS DE LA FONDATION LADIMA
La Fondation Ladima est une organisation à but non lucratif, fondée en 2018 et enregistrée en Afrique du Sud et en Tanzanie dans le but de contribuer à corriger les déséquilibres majeurs au sein des industries du cinéma, de la télévision et du contenu.
À travers un certain nombre d'initiatives, la Fondation Ladima soutient, forme et encadre les femmes dans divers rôles au sein des industries du cinéma, de la télévision et du contenu.
Grâce à des partenariats et des collaborations dans divers pays, ainsi qu'à des réseaux et interventions panafricains, la Fondation Ladima s'engage à développer des formations, des opportunités de réseautage et des opportunités connexes pour les professionnelles qui démontrent leur sérieux et leur engagement envers leur métier.
La Fondation Ladima se concentre sur un certain nombre d'initiatives clés telles que la formation via l'Académie Ladima, la reconnaissance à travers le Prix Adiaha dans le Film Documentaire, et le réseautage et la communauté via les Panels des Femmes d'Influence et la base de données en ligne et la communauté de l'A-List.
L’annonce touche des centaines de milliers d’épargnants, Algérie Poste a lancé une opération de remplacement des anciens carnets de dépôt de CNEP-Banque par une carte […]
L’article Annonce importante d’Algérie Poste : nouvelle procédure pour les détenteurs de ces carnets est apparu en premier sur .
Le journaliste et éditorialiste d’AL24 News, Mehdi Ghezzar, a été interpelé et brièvement détenu mardi à Paris, où il réside, avant d’être relâché. Selon l’APS, […]
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Au terme de la Conférence ministérielle africaine sur le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration (DDR) des enfants soldats, tenue le 20 novembre 2025, une Déclaration a été adoptée à Rabat, au Maroc. Elle a été publiée comme document conjoint du Conseil de Sécurité et de l'Assemblée Générale de l'ONU.
La Déclaration de Rabat a été adoptée lors de la Conférence ministérielle africaine sur le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration (DDR) des enfants soldats, tenue le 20 novembre 2025, sous le thème “Construire des voies durables pour les enfants touchés par les conflits armés”.
Cette rencontre de Haut niveau, qui coïncidait avec la Journée Mondiale de l'Enfance, a permis un engagement collectif en faveur de la protection des droits de l'enfant, la prévention du recrutement et l'utilisation d'enfants par les groupes armés et la promotion de leur réintégration durable dans les communautés locales.
La Déclaration de Rabat constitue un complément africain aux cadres juridiques et institutionnels internationaux existants relatifs à la protection des enfants, tout en soutenant les efforts déployés par les Nations Unies, traduits par des résolutions successives sur la thématique des enfants et des conflits armés.
La Déclaration souligne la détermination des pays africains participants à la Conférence Ministérielle de Rabat de lancer un processus pour l'élaboration d'un instrument africain spécifique, sous la forme d'une Convention sur la Prévention du Recrutement des Enfants-Soldats et leur Intégration. A cet effet, un Groupe des Amis a été lancé pour concrétiser cette ambition.
Cette contribution africaine opportune et importante enrichit les efforts des Nations Unies pour prévenir et lutter sur le plan continental contre le recrutement et l'utilisation d'enfants-soldats et favoriser une coopération internationale visant à renforcer leur protection.
Ce document est le fruit d'un processus multilatéral initié par le Royaume du Maroc en faveur de la lutte contre l'exploitation des enfants dans les conflits armés.
La Déclaration de Rabat sur le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration axée sur les enfants a été publiée dans les 6 langues officielles des Nations Unies, comme document conjoint du Conseil de Sécurité et de l'Assemblée Générale de l'ONU. Ce document a été inscrit sous le point 67 de l'agenda de l'Assemblée Générale intitulé “Promotion et protection des droits de l'enfant”, ainsi que parmi les documents officiels du Conseil de Sécurité des Nations Unies.