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Emmanuel Macron a appelé la Commission européenne à imposer des droits de douane « secteur par secteur » pour défendre une industrie européenne fragilisée, notamment face à la concurrence chinoise et américaine.
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Le Bénin dispose désormais d'un Système automatisé d'identification par empreintes digitales et palmaires (AFIS). Il a été officiellement mis en exploitation, mardi 30 septembre 2025, à la Direction générale de la Police républicaine.
Un nouveau système au Bénin pour identifier plus rapidement et avec fiabilité les auteurs potentiels d'infractions à partir des empreintes relevées sur les scènes de crime. Le Système automatisé d'identification par empreintes digitales et palmaires (AFIS) est opérationnel depuis le 30 septembre 2025.
Mis en place avec l'appui financier de l'Union européenne dans le cadre du programme SIPAO (Système d'Information Policière d'Afrique de l'Ouest), ce dispositif permet aussi un échange automatisé d'informations entre les services de police des 17 pays membres.
Pour le Ministre de la Justice, Yvon Détchénou, « l'AFIS s'inscrit dans la continuité du programme d'actions du gouvernement » et vise à renforcer l'efficacité de la chaîne pénale.
Le représentant de la CEDEAO au Bénin, Amadou Diongue, a salué un outil qui permettra « d'identifier de manière fiable les auteurs d'infractions, de consolider les preuves et d'innocenter les personnes injustement soupçonnées ».
Pour le représentant de l'Union Européenne, Faure Remy, ce système ouvre la voie à d'autres innovations comme l'analyse ADN ou la reconnaissance faciale. Il estime que « l'identification sur la base de preuves matérielles est essentielle dans le processus pénal ».
Des perspectives pour toute la sous-région
Selon le Directeur général de la Police républicaine, Brice Allowanou, ce système est le fruit de plus de dix ans de travail. Il affirme que l'AFIS va permettre une meilleure prévention de la criminalité, une accélération des enquêtes et une meilleure coopération régionale.
Marc MENSAH
L'ancien Premier ministre béninois, Lionel Zinsou a été nommé, mercredi 1er octobre 2025, président de la Fondation Sèmè City.
En conseil des ministres, ce mercredi 1er octobre 2025, le gouvernement a nommé Lionel Zinsou, président de la Fondation Sèmè City.
Ancien premier ministre et économiste de renom, Lionel Zinsou aura pour mission de piloter le développement de ce hub d'innovation.
À ses côtés, Fructeux S. Aho a été désigné directeur exécutif de la fondation. Ensemble, ils dirigeront cette initiative dédiée à l'éducation, à la recherche, à l'innovation et à l'entrepreneuriat.
Fructueux Aho est l'actuel directeur général de l'Agence de Développement de l'Enseignement Technique (ADET).
Lionel Zinsou a été membre du gouvernement du président Boni Yayi, de juin 2015 à avril 2016. Candidat à la présidentielle de 2016, il a été battu au deuxième tour du scrutin par son challenger Patrice Talon.
Ancien associé-gérant de la banque Rothschild, puis président de PAI Partners, Lionel Zinsou est également connu pour son engagement en faveur du développement du continent africain.
Il a enseigné l'économie, conseillé plusieurs gouvernements africains, et siégé dans de nombreuses instances internationales.
M. M.
Le Conseil des ministres s'est tenu ce mercredi 1er octobre 2025 sous la présidence du président de la République Patrice Talon. Voici les décisions qui ont été prises.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a critiqué la Commission européenne pour son excès de règlementation, quelques heures avant le début d’une réunion informelle des dirigeants de l’UE à Copenhague, mercredi 1er octobre.
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La Société Immobilière et d'Aménagement Urbain (SimAU) annonce la construction d'une aire de jeux moderne à Ouèdo, dans le cadre du programme des 20 000 logements sociaux. Les travaux dureront 7 mois.
L'aire de jeux de Ouèdo, dans la commune d'Abomey-Calavi, sera un lieu polyvalent, conçu pour favoriser les interactions sociales et le sport. Elle s'inscrit dans une volonté de promouvoir l'épanouissement de la jeunesse et d'améliorer la qualité de vie dans la Nouvelle Cité de Ouèdo.
Un appel d'offres a été lancé pour les travaux. La SimAU invite les entreprises qualifiées à soumettre leurs offres pour la réalisation des travaux. Le projet sera exécuté en sept mois, selon les normes définies par les procédures de passation des marchés.
Les entreprises intéressées doivent répondre à des exigences techniques et financières précises. Elles doivent notamment justifier d'expériences similaires et disposer de moyens matériels et financiers adéquats.
Les offres doivent être soumises en version numérique avant le 23 octobre 2025. L'ouverture des plis se fera le même jour, en présence des soumissionnaires.
Les travaux débuteront après la sélection des candidats.
M. M.
L'AVIS D'APPEL D'OFFRES RELATIF A L'AIRE DE JEUX DE OUEDO
L’Algérie s’apprête à mettre en œuvre une mesure inédite pour renforcer la sécurité dans le monde du travail. La nouvelle loi 25-03, promulguée en juillet […]
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A resident of Bahi, Dodoma, in Tanzania adopts drip irrigation to grow vegetables as part of a climate change adaptation scheme. Credit: Zuberi Mussa
By Kizito Makoye
DAR ES SALAAM, Tanzania, Oct 1 2025 (IPS)
The dust was already swirling when Asherly William Hogo lifted himself from a makeshift bed before dawn. The 62-year-old pastoralist, lean from a lifetime of walking these plains, slipped into his sandals and stepped outside. Stars glittered over Dodoma, but the air was warmer than it used to be, Hogo swears. He whistled for his cows. Years ago, this hour meant an arduous trek to distant waterholes.
“Sometimes we’d find only mud,” Hogo recalls.
Today, though, his herd drinks from a solar-powered borehole that hums quietly behind Ng’ambi village. Nearby, a rain-fed reservoir gleams faintly under the moonlight.
“Now we don’t go far like we used to,” he says.
This change is part of a United Nations Environment Programme (UNEP) initiative rewriting the story of survival in Tanzania’s drought-hit Dodoma region—while offering a potent message for global negotiators heading to COP30 in Brazil: climate justice is not an abstract slogan. It is a water trough filled close to home, a tree shading a schoolyard, and a beehive buzzing with possibility.
A Land of Extremes
Dodoma’s landscape is a mosaic of brittle acacia trees and windswept soil. Droughts here are not new, but villagers say they have grown harsher and less predictable. The Tanzania Meteorological Agency reports rainfall across the central plateau has declined by 20 percent over the last two decades. When rain does arrive, it often falls in violent bursts that tear through gullies and sweep away topsoil.
In April, parched pastures turned to tinder, and cattle carcasses littered the plains. Then came the deluge: flash floods drowned fields, destroyed homes, and contaminated water sources.
“This year is the biggest wake-up call we have seen in Tanzania in terms of what climate change is doing to rural families,” says Oscar Ivanova, Liaison for Africa, Global Adaptation Network. “We need fast action on mitigation and adaptation. Otherwise, it won’t only be the climate that is breaking down but also the communities themselves.”
For Hogo’s neighbour, 48-year-old farmer and father of five Mikidadi Kilindo, the crisis is grim. “The situation is very scary. The drought kills our crops, and when the rain comes it washes everything away,” he says.
A technician inspects solar panels in Bahi, Dodoma, Tanzania. Credit: Zuberi Mussa
The UNEP-led Adaptation Programme
Launched in 2018 and funded by the Global Environment Facility (GEF) with support from Tanzania’s government, the UNEP-led Ecosystem-based Adaptation for Rural Resilience project has helped thousands of smallholder farmers build resilience to climate change.
Since its launch, the programme has drilled 15 boreholes—12 powered by solar energy—bringing clean water to over 35,000 people, built earthen dams with capacity to trap three million cubic metres of rainwater, planted 350,000 trees to restore 9,000 hectares of degraded forest and rangeland, placed 38,000 hectares under sustainable land management, and trained thousands of farmers, particularly women and youth, in drought-resilient farming and alternative livelihoods.
“When villagers no longer have to fight over a single muddy waterhole, you ease conflicts and give people hope,” says Fredrick Mulinda, a project coordinator with the National Environment Management Council (NEMC). “Most of the conflicts have been settled.”
Water as Justice
Water is an important resource in Dodoma. Women once trekked more than five kilometres with jerry cans on their heads. Children skipped school to fetch water.
“Before, we would leave at sunrise and return at noon,” says Zainabu Mkindu, who grows vegetables near a borehole in her village. “We are very thankful to those who brought this project to us.”
The boreholes are solar-powered, eliminating the need for polluting, costly diesel pumps. Engineers laid underground pipes to protect water lines from vandalism and evaporation. Villagers formed committees to collect small fees for maintenance to ensure sustainability.
Restored reservoirs now double as micro-ecosystems, replenishing groundwater, attracting birds, and even supporting small fish farms.
“We can irrigate without fuel pumps, and now my children eat fish we never had before,” says Hogo.
Healing Communities
Tanzania loses about 400,000 hectares of forest each year—one of Africa’s highest deforestation rates—as impoverished farmers cut trees for charcoal and firewood, intensifying droughts and floods.
UNEP’s project taught villagers to manage tree nurseries and plant drought-tolerant species like baobab, acacia, mango, and orange.
“We plant more trees to create shade and attract rain. The dam became completely silted because farmers cultivated too close,” says Paul Kusolwa, who supervises tree planting at Bahi village.
Globally, UNEP notes that restoring ecosystems can provide up to 30 percent of the climate mitigation needed to meet the Paris Agreement’s 1.5°C target.
Women at the Forefront
In these traditionally patriarchal communities, women have long been confined to domestic chores. But the project deliberately placed women in leadership positions—on borehole committees, tree nursery groups, and even livestock health teams.
Mary Masanja, 34, learned to build fuel-efficient brick stoves, a craft once reserved for men. “I’m happy to be a craftswoman. Women are no longer denied certain jobs because of gender,” she says.
In Bahi, women manage beehives and earn income from honey sales. They also run block farms, rotating through plots of drought-resistant tomatoes, onions, and plantains. The farm supplies markets across Dodoma.
Despite promising projects, uncertainty looms over Dodoma as rising temperatures—forecast to climb 0.2–1.1°C by 2050—threaten crops, livestock, and food security. Warmer conditions fuel pests, disease, and crop.
For villagers like Hogo, the conversation at COP30 may feel distant—but its outcome could decide whether his grandchildren inherit a viable livelihood.
“We don’t need promises,” he says. “We need water, trees, and respect for our knowledge.”
Note: This feature is published with the support of Open Society Foundations.
IPS UN Bureau Report
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Excerpt:
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