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Initialement annoncée pour le 11 octobre 2025, le candidat des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), Paul Hounkpè, et son colistier seront investis le 19 octobre prochain.

L'investiture de Paul Hounkpè et de son colistier aura lieu le 19 octobre prochain. L'investiture sera précédée du Conseil National le même jour. En prélude à la cérémonie, une session du Bureau Exécutif National se tiendra le 18 octobre toujours à Cotonou. Selon des sources proches du parti, la décision a été prise lors d'une réunion du bureau politique nationale des FCBE ce mercredi 8 octobre 2025. Lors de cette réunion, le bureau a également examiné les dossiers de candidatures au poste de vice-président sans trancher. Le nom du candidat du parti à la vice-présidence de la République n'est donc pas encore dévoilé. L'identité du colistier sera rendue public avant le dimanche 12 octobre 2025.

Marina HOUENOU (Stag)

Corinne Suter und Malorie Blanc bilden ein neues Duo im Schweizer Speed-Team. Die erfahrene Olympiasiegerin Suter unterstützt die talentierte Newcomerin Blanc. Die beiden Freundinnen erinnern an ein Männer-Duo

Mfor.hu: Erősödött a forint szerdán (10. 8.) kora estére a bankközi devizapiacon. Az euró árfolyama a reggel hét órakor jegyzett 393,35 forintról 391,75 forintra változott este hat órára. A svájci frank jegyzése a reggeli 422,73 forintról 420,88 forintra csökkent, míg a dolláré 338,60 forintról 337,58 forintra süllyedt. (MTI)

Weil er seine Hausaufgaben am besten erledigt hat, ist Omar Adlani (36) neuer Cheftrainer der Frauen des FC Basel. Der algerisch-kanadische Doppelbürger glaubt, dass sein Team das Zeug für Titel hat.

Szerda (10. 8.) este a Szlovák Információs Szolgálat (SIS) pozsonyi székháza elé szervez tüntetést az ellenzéki SaS. Pavol Gašpar, a titkosszolgálat vezetőjének távozását követelik.

Du 16 au 18 octobre 2025, Lagos (Nigéria) accueillera la seconde édition du Forum Création Africa. Le Bénin y sera fortement représenté avec une délégation de 19 jeunes créateurs issus de divers secteurs des industries culturelles et créatives. En prélude à l'évènement, une conférence de presse a été organisée ce mercredi 8 octobre à l'Institut Français du Bénin, en présence de Nadège Chouat, ambassadrice de France au Bénin.

Porté par le ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères et organisé par la Maison des Mondes Africains, le Forum Création Africa, édition 2025 annonce les couleurs. Après le succès de la première édition à Paris en 2023, Forum Création Africa s'installe à Lagos du 16 au 18 octobre. Selon l'Ambassadrice de France au Bénin Nadège Chouat, cet événement continental vise à connecter les talents créatifs africains notamment dans les secteurs du jeu vidéo, de l'animation, de la réalité virtuelle, de la culture numérique avec des investisseurs, entreprises et institutions françaises et européennes. Cette année, Forum Création Africa sera enrichi de nouveaux axes dédiés à l'innovation digitale dans l'industrie de la mode, au sound design et aux effets spéciaux.

« La délégation béninoise va être très importante par rapport aux autres pays. Ce n'est pas que parce que le Bénin est limitrophe du Nigéria. Il se trouve qu'ici au Bénin, il y a aussi un écosystème dans la filière des Industrie Culturelles Créatives qui est très en croissance », a soutenu Nadège Chouat.

Une belle opportunité pour les créateurs béninois

Lancé à l'initiative du président Emmanuel Macron, Création Africa est né d'un constat simple : les jeunes créateurs africains regorgent de talents et d'idées, mais peinent à passer à l'échelle faute de financements, de visibilité ou de connexions internationales. La première édition à Paris, a rassemblé plus de 600 invités dont près de 400 venant d'Afrique.

La délégation béninoise qui s'envolera pour Lagos est constituée d'artistes, de créateurs et d'entrepreneurs des Industries Culturelles et Créatives (ICC). Pour Ineck Houngbédji, productrice et scénariste, ce forum représente une opportunité de partage et de consolidation des collaborations. « C'est l'occasion d'élargir mon réseau, de trouver des coproducteurs potentiels pour ma série (…) et surtout de rencontrer des créatifs africains, français, européens qui partagent quand même cette même passion », a-t-elle confié.
Médard Djékété, président de la Fédération Béninoise des Sport Électroniques, voit dans ce forum une plateforme idéale pour consolider l'écosystème de l'e-sport au Bénin.

« Ma première participation à Création Africa m'a permis de passer d'une simple association à une fédération, grâce au réseau et aux appuis obtenus », rappelle-t-il. À l'en croire l'édition 2025 est une occasion de renforcer les liens culturels à travers le jeu vidéo, un domaine qu'il juge naturellement inclusif et universel. Il espère y nouer des partenariats pour l'organisation de compétitions intercontinentales, et promouvoir l'idée d'une diplomatie culturelle portée par les écrans et les manettes.

Ce Forum Création Africa permettra aussi à l'illustrateur et animateur 2D Gilchrist Domingo d'élargir son réseau. « C'est une immense opportunité pour nous. Cela va nous permettre de faire du networking, de rencontrer des partenaires et producteurs potentiels », confie-t-il.

Le Conseiller de coopération et d'action culturelle de l'Ambassade de France au Bénin et Directeur de l'institut français Lionel Briand n'a pas manqué de saluer le talent des créateurs béninois.

Un partenariat Afrique-France renouvelé

La France a renforcé sa diplomatie culturelle, économique, universitaire ou encore sportive sur le continent africain. Les liens avec les sociétés civiles se sont renforcés avec la création des Fonds Équipe France pour la mise en œuvre de plusieurs projets de coopération. La formation professionnelle, les industries culturelles créatives, le sport, l'entreprenariat, l'innovation (où l'impact est le plus fort pour les jeunesses africaines) sont des domaines prioritaires dans la politique de coopération de la France. Depuis la restitution des trésors royaux d'Abomey en 2021, la culture est devenue un axe prioritaire de la coopération franco-béninoise.

Akpédjé Ayosso

Children in Bangladesh riding a boat through a flooded river to attend school. Bangladesh is one of the most climate-sensitive regions in the world. Credit: UNICEF/Suman Paul Himu

By Oritro Karim
UNITED NATIONS, Oct 8 2025 (IPS)

In recent years, international climate financing has declined sharply, leaving billions of people in developing nations increasingly vulnerable to natural disasters and unable to adapt effectively. With major cuts in foreign aid, these communities are expected to face the brunt of the climate crisis, while wealthier nations continue to reap economic benefits.

A new report from Oxfam and CARE Climate Justice Center, Climate Finance Shadow Report 2025: Analyzing Progress on Climate Finance Under the Paris Agreement, showcases the significant gaps in climate financing for developing countries in the Global South, and the far-reaching implications for climate resilience and global preparedness.

This comes ahead of the 30th United Nations (UN) Climate Change Conference (COP30), in which world leaders, diplomats, and civil society groups will converge in Belém, Brazil, from November 10–21, to discuss strategies to strengthen global cooperation, advance inclusive and sustainable development, and accelerate efforts to address the climate crisis. The United Nations Environment Programme (UNEP) states that there will be a major focus on allocating public funds for mitigation and adaptation efforts in developing countries, aiming to mobilize at least USD 300 billion annually by 2035 for developing countries and a yearly USD 1.3 trillion over the same period.

In the report, CARE and Oxfam found that developing countries are paying disproportionately high disbursements to wealthy nations in exchange for comparatively modest climate finance loans—spending about seven dollars for every five dollars they receive in return. This, compounded with “the most vicious foreign aid cuts since the 1960s”, shows a nearly 9 percent drop in climate funding in 2024, which is projected to drop by a further 9-17 percent in 2025.

“Rich countries are failing on climate finance and they have nothing like a plan to live up to their commitments to increase support. In fact, many wealthy countries are gutting aid, leaving the poorest to pay the price, sometimes with their lives” said John Norbo, Senior Climate Advisor at CARE Denmark. “COP30 must deliver justice, not another round of empty promises.”

As of 2022, developed nations reported pledging approximately USD 116 billion in climate funding for developing countries. However, the actual amount delivered is less than one-third of the pledged total — estimated at only USD 28–35 billion. Nearly 70 percent of this funding came in the form of loans, often issued at standard rates of interest without concessions. As a result, wealthy nations are driving developing countries deeper into debt, despite these nations contributing the least to the climate crisis and lacking the resources to manage its impacts.

It is estimated that developing countries are indebted by approximately USD 3.3 trillion. In 2022, developing countries received roughly USD 62 billion in climate loans, which is projected to produce over USD 88 billion for wealthy countries, yielding a 42 percent profit for creditors. The countries issuing the highest concessional loans in climate financing were France, Japan, Italy, Spain, and Germany.

“Rich countries are treating the climate crisis as a business opportunity, not a moral obligation,” said Oxfam’s Climate Policy Lead, Nafkote Dabi. “They are lending money to the very people they have historically harmed, trapping vulnerable nations in a cycle of debt. This is a form of crisis profiteering.”

Despite wealthy nations issuing high loans to developing countries, Least Developed Countries (LDCs) received only 19.5 percent of the total public climate funding over 2021-2022, while Small Island Developing States (SIDs) received roughly 2.9 percent. Only 33 percent of this funding went toward climate adaptation, a “critically underfunded” measure according to Oxfam, as the majority of creditors favor investing in mitigation efforts that deliver faster financial returns. Additionally, only 3 percent of this funding went to gender equality efforts, despite women and girls being disproportionately impacted by the climate crisis.

The report also underscores the dire impacts of the misallocation of climate financing and funding cuts, as vulnerable communities in particularly climate-sensitive environments find themselves with far fewer resources to adapt to natural disasters.

In 2024, communities in the Horn of Africa were ravaged by brutal cycles of droughts and flooding, which displaced millions of civilians and pushed tens of millions into food insecurity. In Rio Grande do Sul, Brazil, massive floods caused over 180 civilian deaths, displaced 600,000 people, and the resulting damage led to billions of dollars in losses. According to figures from UNICEF, around 35 million children in Bangladesh experienced school disruptions in 2024 due to heatwaves, cyclones, and floods, posing serious risks to their long-term development. The United Nations Environment Programme (UNEP) warns that global temperatures are on course to rise to a “catastrophic” 3°C by the end of the century, with extreme weather events expected to intensify further.

Ahead of the COP30 conference, Oxfam has urged wealthy nations to honor their climate finance commitments, including the delivery of the full USD 600 billion pledged for the 2020–2025 period, aligning with the UN’s target of mobilizing USD 300 billion annually. The organization also called for a substantial increase in global funding for climate adaptation and loss management, alongside the implementation of higher taxes on the wealthiest individuals and fossil fuel companies—which could generate an estimated USD 400 billion per year. Additionally, Oxfam emphasized the need for developed countries to stop deepening the debt of climate-vulnerable nations by expanding the share of grants and highly concessional financing instead of standard loans.

IPS UN Bureau Report

 

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Une mesure inscrite à l’article 157 du projet de loi de finances 2026 vise à modifier les règles douanières pour certains biens stratégiques. Le gouvernement […]

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TASR: Minden kétséget kizáróan sikerült igazolni, hogy a vádlott a terrortámadás különösen súlyos bűncselekményét követte el – jelentette ki szerdán David Lindtner, Robert Fico (Smer) kormányfő jogi képviselője a Besztercebányai Speciális Büntetőbíróságon (ŠTS), Juraj Cintula tárgyalásán, aki tavaly május 15-én merényletet követett el a kormányfő ellen. A bíróság október 21-én hirdet ítéletet.

Während Goalie Kristian Pilipovic sein Comeback gibt, knackt die Offensive der Kadetten Schaffhausen zum fünften Mal hintereinander die 35-Tore-Marke. GC Amicitia Zürich ist auswärts gegen den Ligakrösus chancenlos.

La Commission électorale nationale autonome (CENA) a publié, à travers un communiqué, ce mercredi 8 octobre 2025, le calendrier électoral devant servir à l'organisation des élections couplées communales et législatives de 2026. Selon ce calendrier, l'affichage de la liste électorale démarre le 15 octobre 2025 avec l'Agence nationale d'identification des personnes (ANIP). Cette étape sera suivie de l'enregistrement des déclarations de candidatures à l'élection des membres des conseils communaux le 24 novembre 2025. La campagne électorale démarre le 26 décembre 2025, et le scrutin 11 janvier 2026.

Le calendrier au complet

Defence Commissioner Andrius Kubilius says Mediterranean countries are on the frontline and have “different needs”

Man kann es fast nicht glauben, aber es ist Tatsache: Luca Cereda (44) und Paolo Duca (44) sind nicht mehr bei Ambri. Ihre Reise in der sportlichen Verantwortung ihres Herzensklubs bis zum unwürdigen Abgang im Zeitraster.

Bestimmte Berufe sind mit einem besonderen Unfallrisiko verbunden. Eine Suva-Studie hat das Risiko für Berufsunfälle in verschiedenen Bereichen verglichen. Blick verrät, welche Berufe in der Schweiz besonders riskant sind und welche Unfälle am häufigsten passieren.

J. Cintula szinte semmit nem mondott a bírósági tárgyalás során, de a szerdai (10. 8.) záróbeszédében mindent elárult. Teljesen nyilvánvaló, hogy nem személyes motívumok vezették, hanem kifejezetten politikai célja a merénylettel – jelentette ki Katarína Habčáková ügyész a Besztercebányai Speciális Büntetőbíróságon (ŠTS).

Es ist ein Schlag ins Gesicht der Angehörigen der vier Todesopfer. Thomas Nick (heute 42), der vor zehn Jahren in Rupperswil AG eines der schlimmsten Verbrechen der Schweizer Kriminalgeschichte begangen hat, soll nun eine Therapie erhalten. Wie ist das möglich?

Mit der Parlamentsentscheidung ist der Weg frei für Verhandlungen mit Kommission und Rat, die ihr Mandat bereits im Mai beschlossen hatten.

Oxfam and CARE Climate Justice Centre argue that wealthy nations are profiteering through climate finance loans. Credit: CARE Climate Justice Center

By Oxfam and CARE Climate Justice Center
THE HAGUE, Netherlands , Oct 8 2025 (IPS)

New research by Oxfam and the CARE Climate Justice Centre finds developing countries are now paying more back to wealthy nations for climate finance loans than they receive—for every USD 5 they receive, they are paying USD 7 back, and 65 percent of funding is delivered in the form of loans.

This form of crisis profiteering by rich countries is worsening debt burdens and hindering climate action. Compounding this failure, deep cuts to foreign aid threaten to slash climate finance further, betraying the world’s poorest communities, who are facing the brunt of escalating climate disasters.

Some key findings of the report:

• • Rich countries claim to have mobilized USD 116 billion in climate finance in 2022, but the true value is only around USD 28–35 billion, less than a third of the pledged amount.
  • Nearly two-thirds of climate finance was made as loans, often at standard rates of interest without concessions. As a result, climate finance is adding more each year to developing countries’ debt, which now stands at USD 3.3 trillion. Countries like France, Japan, and Italy are among the worst culprits.
  • Least Developed Countries got only 19.5 percent and Small Island Developing States 2.9 percent of total public climate finance over 2021-2022 and half of that was in the form of loans they have to repay.
  • Developed nations are profiting from these loans, with repayments outstripping disbursements. In 2022, developing countries received USD 62 billion in climate loans. We estimate these loans to lead to repayments of up to USD 88 billion, resulting in a 42 percent ‘profit’ for creditors.
  • Only 3 percent of finance is specifically aimed at enhancing gender equality, despite the climate crisis disproportionately impacting women and girls.

“Rich countries are treating the climate crisis as a business opportunity, not a moral obligation,” said Oxfam’s Climate Policy Lead, Nafkote Dabi. “They are lending money to the very people they have historically harmed, trapping vulnerable nations in a cycle of debt. This is a form of crisis profiteering.”

This failure is occurring as rich countries are conducting the most vicious foreign aid cuts since the 1960s. Data by the OECD shows a 9 percent drop in 2024, with 2025 projections signaling a further 9–17% cut.

As the impacts of fossil fuel-fueled climate disasters intensify—displacing millions of people in the Horn of Africa, battering 13 million more in the Philippines, and flooding 600,000 people in Brazil in 2024 alone—communities in low-income countries are left with fewer resources to adapt to the rapidly changing climate.

“Rich countries are failing on climate finance and they have nothing like a plan to live up to their commitments to increase support. In fact, many wealthy countries are gutting aid, leaving the poorest to pay the price, sometimes with their lives,” said John Norbo, Senior Climate Advisor at CARE Denmark. “COP30 must deliver justice, not another round of empty promises.”

Adaptation funding is also critically underfunded, receiving only 33 percent of climate finance, as investors favor mitigation projects with more immediate financial returns.

Ahead of COP30, Oxfam and CARE are calling on rich countries to:

Live up to climate finance commitments: Provide the full USD 600 billion for 2020–2025 and clearly outline how they plan to scale up to the agreed USD 300 billion annually, and lead on the USD 1.3 trillion Baku to Belém roadmap.

• • Stop crisis profiteering: Drastically increase the share of grants and highly concessional finance to prevent further indebting the world’s most climate-vulnerable communities.
  • Multiply adaptation finance: Commit to at least triple adaptation finance by 2030, using the COP26 goal to double adaptation financing by 2025 as a baseline.
  • Provide finance for loss and damage: The global Fund for Responding to Loss and Damage must be adequately capitalized. Victims of climate change must not continue to be ignored.
  • Mobilize new sources of finance: Raise funds by taxing the super-rich, which in OECD countries alone can raise 1.2 trillion a year, and the excess profit of fossil fuel companies globally, which could raise 400 billion per year annually.

You can read the full report here.

The CARE Climate Justice Center (CJC) leads and coordinates the integration of climate justice and resilience across CARE International’s development and humanitarian work. The CJC is an initiative powered by CARE Denmark, CARE France, CARE Germany, CARE Netherlands, and CARE International UK.

Results of a global survey by Oxfam International and Greenpeace show 8 out of 10 people support paying for public services and climate action through taxing the super-rich.

The research was conducted by first-party data company Dynata in May-June 2025, in Brazil, Canada, France, Germany, Kenya, Italy, India, Mexico, the Philippines, South Africa, Spain, the UK and the US.

The survey had approximately 1 200 respondents per country, with a margin of error of +-2.83%. Together, these countries represent close to half the world’s population.

IPS UN Bureau Report

 

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Excerpt:

Nearly two-thirds of climate finance was made as loans, often at standard rates of interest without concessions, research by Oxfam and CARE Climate Justice Centre has found.

Im September 2023 brachte Netflix mit «Beckham» eine Dokumentation über den Aufstieg von David Beckham heraus. Nach dem Megaerfolg zieht der Streaming-Gigant nun nach und beleuchtet in «Victoria Beckham» die Karriere seiner Ehefrau. Und diese verrät Überraschendes.