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Addressing the urban food insecurity crisis will require vision, coordinated actions and strategies, and sustained commitment from city governments, academia, the private sector, and NGOs. Credit: Shutterstock
By Esther Ngumbi
URBANA, Illinois, US, Oct 7 2025 (IPS)
Millions of people in the United States and around the world continue to face food insecurity, meaning they cannot access safe and nutritious food necessary for living their fullest lives, and they often do not know where their next meal will come from. According to Feeding America, 47 million people in the United States are food insecure. Worldwide, 673 million people experience food insecurity.
Traditionally, efforts to address food insecurity have focused on populations in rural and suburban areas; however, recent census data and statistics show that more people now live in urban areas. According to the 2020 U.S. census, 80% of the U.S. population resides in urban areas, and this is expected to rise to 89% by 2050. Similarly, a United Nations report states that over half of the world’s population lives in urban areas, and this proportion is projected to grow to 70 percent by 2050.
As city populations continue to grow and urban food insecurity remains a persistent and urgent issue, reimagining urban and peri-urban spaces as centers of food-growing innovation is no longer optional; it is essential
Unsurprisingly, a groundbreaking 2024 report by the High-Level Panel of Experts on Food Security and Nutrition showed that more than 75 percent of the world’s food-insecure population lives in urban and peri-urban areas, depending on markets for their food instead of growing it themselves.
Therefore, it is becoming increasingly important to broaden initiatives focused on addressing food insecurity to include populations in urban and peri-urban areas. Several interconnected strategies can be put into action to accomplish this.
Food insecurity in urban communities can be tackled through various strategies.
First, efforts to expand urban agriculture through community gardens, rooftop farms, container gardens, and other innovative urban farming methods that transform unused spaces and farmlands into productive food-growing areas should be supported.
Investing in food production near urban cities provides several benefits, including shortening supply chains, reducing dependence on imports, improving nutrition, and strengthening local resilience against climate-related shocks and disruptions in the food system.
Second, there is a need to improve food distribution within urban communities. Even when food is plentiful and easy to access, unequal distribution and access can still cause urban hunger.
Therefore, it remains essential to invest in mobile markets, expand cold storage facilities, and explore innovative and creative ways to deliver food to vulnerable households and communities. Doing so will help close this gap and ensure that food reaches those who need it most.
Third, there is a need to support and promote investments and policies that aim to build sustainable and inclusive urban food systems. Therefore, city councils and governments should intentionally incorporate food security goals into their planning.
These goals can include allocating land for local food production, establishing formal city food policy councils, and addressing unequal access to affordable and healthy food for all residents in urban areas.
The good news is that several cities across the United States have embraced this shift. For example, Seattle’s initiative was established under the city’s local food program to create a strong and resilient food system. Similar efforts have been carried out in other U.S. cities, including Detroit, Minneapolis, Austin, and Chicago.
Complementing these efforts is the need to strengthen social protection programs and safety nets for vulnerable populations living in cities. These include initiatives like school feeding programs, food vouchers, and other innovative nutrition and food assistance projects.
These initiatives can also incorporate education and awareness campaigns to promote healthy eating, reduce food waste, and motivate urban community members to engage in local food-growing activities.
As city populations continue to grow and urban food insecurity remains a persistent and urgent issue, reimagining urban and peri-urban spaces as centers of food-growing innovation is no longer optional; it is essential.
Addressing the urban food insecurity crisis will require vision, coordinated actions and strategies, and sustained commitment from city governments, academia, the private sector, and NGOs.
By investing in inclusive, evolving food systems and empowering communities to shape their food futures, our cities can transform from hunger hotspots into vibrant, nourished communities where all residents have access to healthy, affordable, and nutritious food. The time to act is now.
Esther Ngumbi, PhD is Assistant Professor, Department of Entomology, African American Studies Department, University of Illinois at Urbana-Champaign
Le ministère de l'Économie et des Finances a procédé, ce mardi 7 octobre 2025, à Bénin Royal Hôtel, au lancement officiel de la plateforme numérique de dialogue public-privé. La cérémonie s'est déroulée en présence d'acteurs gouvernementaux, de représentants du secteur privé, de la société civile et de partenaires techniques et financiers.
Le Bénin franchit un nouveau cap dans l'amélioration de son environnement des affaires avec le lancement officiel de la plateforme numérique de dialogue avec le secteur privé. C'est un outil digital mis en place par le gouvernement béninois, via la Cellule technique d'appui à l'amélioration du Climat des Affaires (CCA) du ministère de l'Économie et des Finances avec l'appui de la Coopération allemande-GIZ pour instaurer un canal formel et permanent de dialogue entre le public et le privé.
Dans son discours d'ouverture, Ilyass Sina, coordonnateur de la Cellule technique d'appui à l'amélioration du climat des affaires (CCA), a exprimé sa joie et sa reconnaissance envers tous les acteurs qui ont contribué à la réalisation de ce projet. Il a retracé les grandes étapes du processus entamé depuis un an. Le projet s'est construit à travers une série de dialogues multi-acteurs, impliquant la Chambre de Commerce et d'industrie du Bénin (CCI Bénin), les agences gouvernementales et les communes. « Nous avons été dans quelques communes du Bénin parce que la plateforme allait servir également à présenter les opportunités d'investissement dans nos communes au secteur privé », informe Ilyass Sina.
À ce jour, plus de 20 communes ont déjà publié sur la plateforme des idées de programmes d'investissement à l'intention des opérateurs économiques. « Le processus va se poursuivre parce que nous allons passer à une autre phase d'expérimentation et nous aurons besoin des contributions et critiques de chaque acteur », a indiqué le coordonnateur de la CCA. Il a également insisté sur l'importance de la réactivité des points focaux désignés au sein des agences gouvernementales. « Vous aurez 72 heures pour répondre aux requêtes. Il va falloir répondre rapidement dans la dynamique de satisfaire le secteur privé qui va soumettre ses préoccupations », a-t-il ajouté.
Vue partielle des participantsJacky Barboza, représentant de la GIZ, a rappelé que la plateforme est le fruit d'un travail collaboratif visant à renforcer la synergie public-privé au service d'un développement économique durable. « L'objectif principal de cette plateforme est double. D'une part, c'est de créer un canal d'écoute et de prise en compte des enjeux spécifiques du secteur privé pour mieux orienter les politiques publiques et d'autre part, mettre en lumière les projets d'investissement structurant capables de transformer durablement nos territoires », a déclaré le représentant de la GIZ. Il a invité la CCI Bénin à mobiliser les entreprises autour de l'outil.
Investissement privé comme moteur de croissance et d'emplois
Au nom du ministre d'État en charge de l'Économie et des Finances, Awaou Baco, Secrétaire générale adjointe du ministère, a salué l'initiative qui s'inscrit dans la volonté du gouvernement de renforcer l'investissement privé comme moteur de croissance et d'emplois. Elle a rappelé que le Bénin a engagé des réformes structurelles significatives : modernisation des infrastructures, renforcement du cadre législatif, adoption d'un nouveau Code du travail et d'un Code des investissements plus attractif. Selon Awaou Baco, la plateforme numérique vient compléter ces efforts en créant un espace de dialogue permanent et structuré entre le public et le privé. Elle a remercié les équipes de la CCA, la coopération allemande, ainsi que les équipes techniques pour leur contribution à la réussite de l'initiative.
Un aperçu de la plateforme du dialogue public-privé« Nous croyons fermement que cette plateforme contribuera à accroître la transparence dans le traitement des doléances du secteur privé et favoriser la réactivité du gouvernement, faciliter l'accès à des informations essentielles sur les opportunités d'investissement, promouvoir le dialogue entre le secteur public et le secteur privé », a conclu la représentante du ministère de l'Économie et des Finances.
La plateforme numérique de dialogue public-privé, désormais accessible sur www.dialogue.finances.bj, permet au secteur privé de soumettre ses préoccupations ; de découvrir les investissements publics proposés par le gouvernement du Bénin, les communes et les intercommunalités et de manifester son intérêt pour un projet.
Le lancement de cette plateforme marque une nouvelle ère de gouvernance économique participative au Bénin. Elle symbolise un engagement fort du gouvernement et de ses partenaires à construire un climat des affaires plus transparent, efficace et attractif, dans l'optique de faire du secteur privé un véritable pilier du développement national.
Akpédjé Ayosso